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Accueil >> xnews >> Périple - Poèmes - Textes
Poèmes : Périple
Publié par Flixioto le 26-01-2021 03:00:00 ( 769 lectures ) Articles du même auteur



À quel moment tout cela a pu commencer ?
Quand ma peine est-elle devenue mon seul thème ?
Je me trouvais plus fort que le plus grand des chênes
Tout en sachant que mon issue est incertaine.

Je chancelle dans la ville en attendant l'aube
Le soleil ne suffit plus à réchauffer mon cœur.
Je les vois avec leurs regards accusateurs
Tout en se demandant si je suis vraiment probe ?

Ne songeant qu'à mon périple sur l'Achéron
La mort ne signifie surement pas la fin
Mais la conclusion d'un immense chagrin
Ne laissant que pour seule compagnie Charon.

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Auteur Commentaire en débat
Flixioto
Posté le: 26-01-2021 17:25  Mis à jour: 26-01-2021 17:25
Débutant
Inscrit le: 07-09-2020
De: France
Contributions: 4
 Re: Périple
Bonjour,
Je vous remercie pour votre réponse ! N'ayant pas forcément l'habitude de partager mes écrits j'apprécie fortement votre réaction.
Je ne manquerais pas de me présenter et je vous remercie pour l'accueil ainsi que les divers conseils
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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