Un ami m’a dit un jour Que le oinj demeurait plus que l’amour Son bonheur de la journée Mais aussi de ses soirées
Il m’a dit aussi Que maintenant, sans lui Il ne pouvait plus s’endormir Loin de me faire rire
J’ai compris alors que ce stade Était dépassé Et que d’être défoncé Lui permettait d’être nomade
Il voyage, loin de moi Sur une route que je ne peux suivre Et tout en sachant ça Je ne peux que frémir
Cette douce plante Qui attire tant de jeunes Ceux qui la fréquentent Me fredonnent
Vite vite ramène un splif Emmène-moi loin S’il y a un flic Mets-le dans un coin
Loin de moi l’idée De ne jamais y avoir goûté Douce sensation que voilà là Je l’assume et le conçois
Malheureusement il existe une limite pour chaque plaisir Je paraphraserai donc pour décrire Ce cher ami L’univers est égal à son vaste appétit
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