Sujet difficile :
La femme objet, les bas-fonds
La violence de l'homme
La négation de l'autre
Et toute ta sensibilité pour aborder ses sujets
Merci Marco
Amitiés.

Beau texte pour une Marie Madeleine des temps moderne !
Quelles femmes courageuses que celles qui exercent le plus vieux métier du monde...

J'aime beaucoup...je serais pour les maisons closes pour éviter toute cette déchéance dans les chemins cachés.

Du Grand Marco!! J'aime ce poème où tout est beau même quand il descend dans l'obscurité de la honte.
Mais Il y a un vers que j'aime tout particulièrement. Ce vers est tout au début et je le cite.
"Où la vie n'est plus qu'une épure."
Je l'aime car le mot "épure" suggère "pure". Ainsi nous avons deux mots Presque opposés. "pure" et "épure". Cette femme don't la description morale est extraordinaire est peut-être : "pure" et "pure" repetition peut être voulue par l'auteur qui resent une passion et une repulsion ppour elle mais qui la sent toujours pure et pure.
Mais Non! Le mot juste, en fait, est bien "épure" car ce que l'auteur veut dire c'est que la vie de cette femme n'est qu'un semblant de vie, un croquis de vie, un fantôme de vie. Cette vie ce sont comme trois lignes de Picasso qui suggèrent une vie mais ne la peint pas. La vie de cette femme n'est qu'une espèce de vie. Mais en écrivant "épure" l'auteur nous fait entendre :Et Pure". Alors, là on réagit. On comprend. On aime. On aime mieux et plus.
Je parlais plus haut de "trois lignes de Picasso", eh bien en un mot on en voit deux. Et trois. Et toute une vie de rien mais que Marco veut transformer dans son rêve et ses sentiments.
Le reste du poème est pure beauté et chagrin. Je ne peux ni ne veux rien ajouter à ce que mes chers amis ont déjà écrit dans leurs commentaires,
Je veux simplement aller goûter encore tout seul ce vers, simple et lourd de sens :
"Où la vie n'est qu'une épure"