Le chant des villes
Au lever, au coucher Fredonnaient les rues L'épopée de la vie
Tôt, sentaient bon le matin Le café chaud, les brioches, Les petits pain au chocolat
Il est bientôt huit heures La vie reprend son train le tapage, le tintamarre, le potin Le gazouillis des oiseaux sur les chemins
Répercutés par les échos les cris des vendeurs de journaux Du babil agréable, à portée de voix résonnaient en blablabla
Quand, arrive le jour s' assouplissent les vigiles Au ronron des chats se mêlait une friture sur la télé
d'aucunes images sont réticentes d'autres indiscrètes, volubiles
le parvis devant la mairie la pelouse simulait la prairie dessus le pare brise d'une caisse mal garée sur la chaussée paraît-il la chignole de Mr le préfet deux poulets hésitaient y coller un papillon
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