Ah parlons-en de la saint Valentin !
Je me suis rendu compte que cela faisait pas mal d'années que je ne marquais plus le coup, pour cette fête. Faut dire que cela fait 46 ans que nous sommes mariés; y'a des coutumes qui s' émoussent avec le temps.
Toutefois, cette année, je me suis dis : " oh, bonhomme ! ça te ferait mal, un peu de délicatesse et d'attention, de temps en temps ? " J'ai eu honte .
Dès qu'elle est partie se coucher, je lui ai envoyé un petit sms ( je suis très ' in ' ) lui disant que le lendemain, je l'emmènerai faire du shopping et qu'après,on se ferait un petit resto.
Dès mon réveil, c'est tout juste si elle ne m'a pas accueilli en pom-pom girl !
J'ai profité qu'elle était en train de faire une boutique pour aller lui acheter une belle composition florale d' orchidées et je l'ai déposé dans la voiture, en face de son fauteuil.
Je sais ce que c'est que de découvrir qu'on est superman !
Bref...resto et après-midi peinards.
Ce que je n'avais pas prèvu, c'est l'accueil que me font toutes les vendeuses , dans les commerces où nous avons l'habitude d'aller !
Depuis la St Valentin, elles viennent toutes me voir, la larme à l'oeil, en me disant que c'est très beau , ce que j'ai fait à mon épouse, et elles prennent les clients à témoin pour donner les détails!
Que dois-je faire ? rester enfermé jusqu'à ce que l'oubli ait fait son oeuvre ?

Celui-là, quand j'ai vu sa tête, je me suis dit : " je l'ai déjà vu quelque part, j' t' en fiche mon billet ! "
Blague à part, j'ai tout lu avec beaucoup d'intérèt. Le fait est que mes connaissances sont limités dans ce domaine ( et dans tant d'autres ). Je suis heureux de pouvoir continuer à apprendre.
Merci pour ton dévouement constant Bacchus

Je n'ai pas oublier mon embrouille, en classe de 4ème , lors d'une interrogation, en oral, de science-nat . Je crois que d'autres ont fait la même, mais j'assure l'avoir faite, celle-là:
- Les risques, pour les os de la jambe, sont la fraction et la luxure !
Comme j'étais le petit rigolo de la classe, je revois le prof me regardant du coin de l'oeil pour voir si je rigolais. C'est l'éclat de rire général qui m'a mis la puce à l'oreille.

Ah c'est ben vrrai, çâ ! en faît, quand on commence à écrire, on pense qu'on se contentera de quelques mots et finalement on continue d'écrire et à la fin de l'envoi, on est mouché ! Il faut donc rédiger ailleurs et copier-coller ( ce que je ne fais pas en ce moment ).
Emma, je pense que tu te fais trop rare sur l'orée . Je suis allé sur ton site. Je ne suis, hélas, pas capable de trouver comment te laisser un commentaire...Non non, c'est pas l'âge; je manque de formation , c'est tout.

Quand l'homme, après des millénaires
De plaisirs trouvés au combat,
Comprendra que, lorsqu'il se bat,
Ce sont ses enfants qu'il enterre,
Lorsqu'il se sera convaincu
Que sur les ruines de sa gloire,
Tout ce qui lui reste d'espoir,
Sera d'épargner les vaincus,
Quand il ne sera plus vat-en-guerre
Sitôt que sonne le clairon,
Que les souvenirs lui viendront
De ses défaites de naguère,
Peut-être qu'en ce jour fragile
Nous saurons que l'homme a changé,
Qu'il est enfin temps de ranger
Tous les arsenaux inutiles.

Et oui Loriane ! Après la guerre, les gens avaient un féroce appétit de vie, de rires et de chansons. Nous écoutions la tsf et nous nous arrètions, sur les trottoirs, pour écouter les chanteurs qui vendaient les partitions des chansons à la mode.
Tout le monde chantait, partout. La moindre fête familiale était l'occasion pour chacun d'y aller de son petit couplet. Mon père, c'était ' le chaland qui passe ' et ma mère s'entêtait à chanter une chanson que mon père ne tolèrait pas : ' Jean-des-liquettes '. Je crois que c'était sa façon de tenir tête.

...Et je retrouvais ma Normandie après quelques années de marine. Je venais de changer de nostalgie.

C'est incroyable cette cascade de souvenirs nostalgiques qui déferlent, à l'improviste, en écoutant cette chanson.
Je la ressens différemment qu'à l'époque de sa sortie. Le temps de comprendre quelques trucs, surement.

Je n'avais pas revu de film de James Dean depuis bien longtemps.
L'habitude prise, dans le milieu du spectacle, d'encenser les chanteurs et acteurs disparus, et ce, à des fins plus pratiques que sentimentales, me laisse toujours méfiant sur leurs réelles valeurs.
J'ai revu tout dernièrement ' A l'est d' Eden ', en me disant que je le regarderai sans faire de concessions à l'acteur disparu. J'ai été très impressionné. C'était un grand, un très grand acteur. IL mérite sa légende.

Merci beaucoup d'avoir imaginé un scenario catastrophe.
Il faut savoir que, dans ces cas de figures, je me décrètecomme le fin stratège dont les compétences doivent être utilisées comme il convient: préparer le travail de chacun, distribuer et répartir le travail par zones, selon les compétences particulières, apaiser les belliqueux et bien faire comprendre que mon rôle est essentiel.
Je sais mettre la main à la pâte et emballer moi-même les bibelots qui me sont chers et que je tiens à préserver.