| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Afficher/Cacher la colonne
Accueil >> newbb >> Domenico Cimarosa [Les Forums - Le coin des Musiciens]

Parcourir ce sujet :   1 Utilisateur(s) anonymes





Domenico Cimarosa
Administrateur
Inscrit:
14/12/2011 15:49
De Montpellier
Messages: 9501
Niveau : 63; EXP : 93
HP : 629 / 1573
MP : 3167 / 56493
Hors Ligne
Le 7 Février 1792 succès de l'opéra " le mariage secret "

à Vienne, oeuvre du compositeur Domenico Cimarosa, qui connaît un triomphe avec cet opéra-bouffe, Le Mariage secret.
Domenico Cimarosa est un compositeur italien, né le 17 décembre 1749 à Aversa royaume de Naples, et mort le 11 janvier 1801 à 51 ans,à Venise.il reçoit sa formation au Conservatoire de Santa Maria di Loreto. l matrimonio segreto Le Mariage secret est un dramma giocoso de Domenico Cimarosa sur un livret de Giovanni Bertati1, basé sur la comédie The clandestine Marriage de George Colman1 et David Garrick.
L’œuvre est mise en scène pour la première fois le 7 février 1792 au Burgtheater de Vienne. Le succès auprès du public viennois est immédiat et retentissant, à un point tel qu’il se passe un fait qui ne s’était jamais produit dans l'histoire de la musique jusqu’alors et qui ne se répétera plus après : le bis de l’œuvre entière. En fait, l’empereur Léopold II roi qui, paradoxalement, ne montrait aucun intérêt pour la musique aime tellement l’œuvre qu'il décide de la faire rejouer immédiatement.
Ce ne fut pas seulement un triomphe momentané et local : de fait, l’œuvre, qui est applaudie partout 110 représentations en 5 mois à Naples en 1793 et à toutes les époques, reste à ce jour au programme des grandes salles du monde entier et est toujours considérée comme vivante, pleine de fraîcheur, et l'opéra bouffe par excellence.

En bref

Sans doute le plus grand représentant italien de l'opéra bouffe dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, Cimarosa naît à Aversa près de Naples, reçoit à Santa Maria di Loreto de Naples un enseignement musical très complet il y compose quelques œuvres religieuses d'intérêt inégal, et débute au théâtre en 1772 avec Les Extravagances du comte (Le Stravaganze del conte, sorte de comédie musicale, et Les Sortilèges de Merlin et de Zoroastre Le Magie di Merlina e Zoroastro, intermède burlesque. À partir de 1780 environ, il est reconnu partout comme le rival de Paisiello, et ses œuvres sont représentées dans toute l'Italie (Rome, Vérone, Venise, Milan, Florence, Turin). Son plus grand succès a été jusqu'ici L'Italienne à Londres L'Italiana in Londra, Rome, 1779. Durant les années suivantes, les œuvres bouffes, toujours majoritaires, alternent avec quelques opéras sérieux, dont Le Festin de pierre Il Convito di pietra, 1781, sur le thème (simplement esquissé il est vrai) de Don Juan. Invité en 1787 à la cour de Russie, que Paisiello a quittée trois ans plus tôt, il s'y rend en un voyage de six mois qui fait figure de tournée triomphale (Livourne, Parme, Vienne, Varsovie), et prend à son arrivée la succession momentanée de Giuseppe Sarti. Il fait représenter à Saint-Pétersbourg des œuvres précédemment écrites et en compose de nouvelles, dont deux opéras sérieux, Cleopatra (1789) et La Vierge du Soleil (La Vergine del Sole, 1789) et un Requiem pour les funérailles de l'épouse de l'ambassadeur de Naples. Ayant quitté la Russie, il arrive à Vienne à la fin de 1791, au moment de la mort de Mozart. Son ancien protecteur, le grand-duc de Toscane, devenu l'année précédente l'empereur Léopold II, lui commande un opéra bouffe : ce sera Le Mariage secret (Il Matrimonio segreto, Vienne, 7 février 1792), son ouvrage le plus célèbre, celui auquel son nom restera associé à l'exclusion de tout autre ou presque (à Naples en 1793, il sera donné cent dix fois en cinq mois). De retour à Naples, il compose encore quelques-unes de ses partitions les meilleures, dont Les Ruses féminines (Le Astuzie femminili, 1794). Ayant accepté, durant l'éphémère République parthénopéenne 1799, d'écrire et de diriger un Hymne républicain au cours d'une cérémonie organisée par les Français, il est emprisonné au retour des Bourbons. Gracié, mais ayant jugé plus prudent de s'expatrier, il meurt à Venise, non pas empoisonné comme le veut la légende, mais d'une tumeur au bas-ventre.
Sa production instrumentale est des plus réduites : un concerto pour deux flûtes, quelques pièces et trente-deux sonates (en un seul mouvement) pour clavecin. Quant à ses opéras, ils se comptent par dizaines. Rares, bien sûr, sont les connaisseurs qui ont pu les découvrir tous. Mais ce qu'on en connaît permet d'affirmer qu'il s'agit bien là de ce que l'opéra bouffe italien du temps eut à offrir de meilleur (du moins si l'on s'en tient aux compositeurs de la péninsule). Une phrase de Stendhal, qui l'idolâtrait et qui ne se lassa pas d'en parler, définit assez bien sa situation : « En musique, il y a deux routes pour arriver au plaisir : le style de Haydn et le style de Cimarosa, la sublime harmonie ou la mélodie délicieuse » Journal de Paris, 1826). En fait, Cimarosa fut bien plus qu'un mélodiste délicieux. Doué d'un sens inné du théâtre, il sut également quoique d'une façon typiquement italienne donner vie à l'orchestre, et surtout, tendant en cela la main à Mozart, se révéla remarquable constructeur d'ensembles vocaux, non seulement dans ses finales d'actes mais en d'autres endroits en cours d'action. Il Matrimonio Segreto, qu'on le veuille ou non, est un chef-d'œuvre : Léopold II eut beau méconnaître Mozart, on ne saurait lui reprocher d'avoir fait rejouer le jour même cet ouvrage lors de sa création à Vienne. De la renommée de son auteur témoigne aussi le fait que, de tous les compositeurs dont Joseph Haydn dirigea des opéras à Esterhaza de 1780 à 1790, celui qui fut représenté par le plus grand nombre de partitions différentes treize eut nom Domenico Cimarosa. Marc Vignal

Sa vie

Ses parents sont pauvres le père est maçon et la mère fait des ménages, mais ils veulent lui donner la meilleure instruction possible. Lorsqu'ils s'installent à Naples ils l'envoient dans une école religieuse dépendant du monastère San Severo dei Patri Conventuali. Il y a là un organiste, le père Polcano, qui, frappé par les dons musicaux et l'intelligence du jeune garçon, prend à cœur de lui apprendre les bases de la musique ainsi que la littérature italienne, ancienne et moderne. Grâce à lui, Cimarosa est admis comme élève au conservatoire de Santa Maria di Loreto, où il reste onze années, étudiant particulièrement l'œuvre des grands compositeurs italiens. Il apprend le chant, le violon et les instruments à clavier. Grâce au castrat Giuseppe Aprile qui s'est pris d'amitié pour lui, il étudie les œuvres de Pergolese, Piccini et Sacchini.
À 23 ans, Cimarosa commence sa carrière de compositeur avec un opéra-bouffe intitulé Le Stravaganze del Conte dont la première représentation a lieu en 1772 au Teatro dei Fiorentini de Naples. Cette œuvre est suivie la même année par Le Pazzie di Stelladaura e di Zoroastro, une farce marquée par l'humour et la fantaisie qui rencontre le succès. La renommée du jeune compositeur commence à se répandre dans toute l'Italie. On l'invite à Rome pour qu'il y produise un opéra pour la saison théâtrale de cette année-là. Ce fut une autre œuvre comique L'Italiana in Londra.
Pendant les treize années suivantes, aucun fait marquant n'est à noter dans la vie et la carrière de Cimarosa, sinon qu'il écrit de nombreux opéras pour les différentes scènes italiennes, résidant à Rome, Naples ou là où l'appelle son travail. De 1784 à 1787, Cimarosa vit à Florence et se consacre entièrement à composer pour l'opéra de cette ville.
Les œuvres de cette période sont nombreuses, principalement des opéras, comiques ou seria, des cantates, et d'autres compositions sacrées parmi lesquelles un très beau Requiem Missa pro Defunctis, l'opéra seria Caio Mario, des oratorios bibliques Assalone, La Giuditta et Il Sacrificio d'Abramo, ainsi que Il Convito di Pietra et La Ballerina amante, opéra comique créé à Venise et plus de 80 sonates pour clavecin dont 32 seront publiées pour la première fois à Paris par F. Boghen4 en 1926 ; elles obtiendront un grand succès.
Au cours du voyage en Italie, Goethe assiste à une représentation de L'Impresario in Angustie5, petit chef-d'œuvre d'opéra bouffe en un acte qui met en scène un directeur d'opéra aux prises avec les caprices de ses divas. De retour en Allemagne l'illustre écrivain traduit le livret et fait jouer l'œuvre en 1791 au théâtre de Weimar dont il est devenu directeur. Entre temps, la renommée de Cimarosa s'est répandue dans toute l'Europe et plusieurs souverains désirent l'attirer à leur cour. Vers 1788, Cimarosa se rend à Saint-Pétersbourg à l'invitation de Catherine II. Il y restera quatre ans, obtenant la nationalité autrichienne et russe et composant énormément. On estime à 70 le nombre d'opéras qu'il aurait composés dont les noms de certains sont perdus. En 1792, Cimarosa quitte Saint-Pétersbourg pour Vienne à la demande de Leopold II. C'est devant l'empereur et toute la Cour qu'il produit son chef d'œuvre, Il matrimonio segreto6, sur un livret de Giovanni Bertati, pétillant d'humour et de finesse, qui prend rang parmi les compositions les plus achevées de la musique vocale profane. Fait unique dans l'histoire de l'opéra, l'œuvre sera bissée intégralement le soir même de la première à la demande de l'empereur. En 1793, Cimarosa retourne à Naples, où Il Matrimonio segreto et ses autres opéras sont acclamés par une foule de connaisseurs enthousiastes. Il faudra attendre Rossini pour retrouver un tel succès. Parmi les compositions du dernier séjour napolitain de Cimarosa on doit mentionner le charmant opéra Le Astuzie femminili. Cette période de sa vie est assombrie par les intrigues d'envieux dont son vieux rival Paisiello. Républicain convaincu, partisan de l'unité italienne, Cimarosa salue la proclamation de l'éphémère République parthénopéenne par les troupes françaises (1799) et compose un hymne patriotique pour une cérémonie durant laquelle on brûle symboliquement le drapeau des Bourbons. Lors de la restauration de la monarchie, il s'empresse de composer un hymne dédié au roi Ferdinand IV ce qui n'empêche pas le cardinal Ruffo de le faire emprisonner durant quatre mois. Grâce à l'intercession d'admirateurs influents, sa sentence est commuée en bannissement, et il quitte Naples avec l'intention de retourner à Saint-Pétersbourg. Mais sa santé est déclinante et il meurt à Venise d'une inflammation des intestins le 11 janvier 1801. Une plaque sur la façade du Palais Duodo, Campo Sant'Angelo, commémore son décès. La popularité de Cimarosa, sa réputation d'opposant politique et la nature du mal qui l'a emporté firent naître une rumeur tenace d'empoisonnement. Une enquête officielle menée par le docteur Piccioli, médecin personnel du pape, viendra bientôt la démentir. Un demi-siècle avant Verdi, Cimarosa fut le plus engagé politiquement des musiciens italiens. Son dernier opéra, Artemizia, restera inachevé.
Une remarquable faculté d'invention mélodique, la maîtrise de la forme, une utilisation parfaite et sans excès de l'instrument vocal soutenu par une orchestration sans faille, font de Cimarosa le plus parfait exemple du musicien classique de qualité. Il fut aussi un des premiers compositeurs d'opéra à attacher beaucoup d'importance à la qualité de l'intrigue et du livret. Entre les Noces de Figaro de Mozart et le Barbier de Séville de Rossini, Le Mariage secret, chef-d'œuvre de Domenico Cimarosa, occupe une place privilégiée.

Le mariage secret Intrigue

Paolino et Carolina, en proie à un coup de foudre, se sont mariés en secret depuis deux mois et, partagés entre l'anxiété et le subterfuge, s’adorent sans pouvoir s’appartenir, ce qui accroît leur tendresse et leur ardeur. Paolino veut persuader son épouse secrète à fuir, mais elle hésite, torturée par mille douleurs. Autour des deux amants, gravite une petite foule de personnages typiques de la comédie du dix-huitième siècle : Geronimo, le père de Carolina, sourd, marchand cupide et riche (il est le patron de Paolino) ; le comte Robinson, riche prétendant anglais ; Elisetta, sœur aînée de Carolina, au tempérament espiègle, ambitieuse, acerbe et maligne (et destinée par son père à épouser le comte Robinson) ; la tante Fidalma, riche veuve qui a investi son capital dans les entreprises de son frère Geronimo, également prise d’une passion dévorante pour le jeune Paolino.
L’intrigue s'embrouille agréablement : le comte Robinson, qui, selon les plans de Paolino doit se marier avec Elisetta, tombe amoureux de Carolina dès qu’il la voit et l'autre ne veux pas le savoir. Geronimo proteste, mais Robinson lui propose de renoncer à la moitié de la dot s’il lui donne la main de Carolina au lieu de celle d’Elisetta. La colère d’Elisetta et les déclarations d'amour de Fidalma à Paolino compliquent les choses encore plus, et en conséquence, ils décident alors de s’enfuir. Mais la fuite ne réussit pas, car tout est découvert, mais heureusement, tout s'arrange dans une fin heureuse.

Œuvres principales

Concerto pour hautbois et orchestre il s'agit en réalité d'un arrangement écrit par l'australien Arthur Benjamin en 1942, à partir de sonates pour clavecin de Cimarosa.
Le stravaganze del conte 1772 Naples Le magie di Merlina e Zoroastro; Le pazzie di Stelladaura e Zoroastro
La finta parigina 1773 Naples
I sdegni per amore 1776 Naples
I matrimoni in ballo 1776 Naples
La frascatana nobile 1776 Naples La finta frascatana
I tre amanti 1777 Rome [Le gare degl'amanti
Il fanatico per gli antichi romani 1777 Naples
L'Armida immaginaria 1777 Naples
Gli amanti comici, o sia La famiglia in scompiglio 1778 Naples) [Il matrimonio in commedia; La famiglia stravagante, ovvero Gli amanti comici
Il ritorno di Don Calandrino 1778 Rome Armidoro e Laurina
Le stravaganze d'amore 1778 Naples
Il matrimonio per industria 1778? Naples?
La contessina 1778 Bologne G. Astaritta, F.L. Gassmann
Il matrimonio per raggiro 1778/9? Rome La donna bizzarra
L'italiana in Londra 1779 Rome La virtù premiata
L'infedeltà fedele 1779 Naples
Le donne rivali 1780 Rome et al.
Cajo Mario 1780 Rome
I finti nobili 1780 Naples
Il falegname 1780 Naples L'artista
L'avviso ai maritati 1780? Naples
Il capriccio drammatico 1781? Turin
Il pittor parigino 1781 Rome Le brame deluse
Alessandro nell'Indie 1781 Rome
L'amante combattuto dalle donne di Punto 1781 Naples La biondolina; La giardiniera fortunata
Giunio Bruto 1781 Vérone
Giannina e Bernardone 1781 Venise Il villano geloso
Il convito carn.1782 Venise Der Schmaus
L'amor costante 1782 Rome Giulietta ed Armidoro
L'eroe cinese 13.8.1782 Naples
La ballerina amante 1782 Naples L'amante ridicolo
La Circe 1783 Milan
I due baroni di Rocca Azzurra 1783 Rome Dve nevesty; I due baroni; La sposa in contrasto; Il barone deluso
La villana riconosciuta 1783 Naples La villanella rapita
Oreste 13.8.1783 Naples
Chi dell'altrui si veste presto si spoglia 1783 Naples Nina e Martuffo
Il vecchio burlato 1783 Venise
I matrimoni impensati 1784 Rome La bella greca
L'apparenza inganna, o sia La villeggiatura 1784 Naples
La vanità delusa1784 Florence Il mercato di Malmantile
L'Olimpiade 10.7.1784 Vicense
I due supposti conti, ossia Lo sposo senza moglie 1784 Milan Lo sposo ridicolo
Artaserse 26.12.1784 Turin
Il barone burlato 1784 Naples rev. Il pittor parigino + F. Cipolla
Li finti conti 1785 Turin
I fratelli papamosche 1785 Turin
Le statue parlanti 1785 Correggio
Il marito disperato 1785 Naples Il marito geloso; Die bestrafte Eifersucht
La donna sempre al suo peggior s'appiglia 1785 Naples
Il credulo 1786 Naples La baronessa stramba; Il credulo deluso
Le trame deluse 1786 Naples L'amor contrastato; Li raggiri scoperti
L'impresario in angustie 1786 Naples Die theatralischen Abenteuer Ce petit chef-d'œuvre forme un triptyque avec les deux précédents.
La baronessa stramba 1786 Naples rev. I matrimoni in ballo Il credulo
Gli amanti alla prova 1786 Naples
L'impostore punito 1786/7 Turin
Missa pro defunctis Requiem, 1787.
Volodimiro 1787 Turin
Il fanatico burlato 1787 Naples La burla felice; Der adelsüchtige Bürger
La felicità inaspettata 3.1788 Saint-Pétersbourg
La vergine del sole 1788 Saint-Pétersbourg
La scuffiara 1788
La Cleopatra 8.10.1789 Saint-Pétersbourg Cleopatra e Marc'Antonio
Il matrimonio segreto 7 février 1792 Vienne
Sophie et Dorval rev. Il matrimonio segreto
Il matrimonio per susurro
La calamità dei cuori 1792/3 Vienne
Contrattempi 1793 Bonn
Amor rende sagace 1.4.1793 Vienne
I traci amanti 19.6.1793 Naples Il padre alla moda, ossia Lo Sbarco di Mustanzir Bassà; Gli turchi amanti; Les amants turcs
Le astuzie femminili 26 août 1794 Naples
La pupilla astuta 1794 Naples
La serva innamorata 1794 Naples
Penelope 1795 Naples
Le nozze in garbuglio 1795 Messine
L'impegno superato 1795 Naples
La finta ammalata 1796 Lisbonne
I nemici generosi 1796 Rome Il duello per complimento
Gli Orazi ed i Curiazi 1797 Venise
La morte di Assalonne ? Florence, Oratorio) rev. Gli Orazi ed i Curiazi
Achille all'assedio di Troja 1797 Rome
L'imprudente fortunato 1797 Rome
Artemisia regina di Caria 1797 Naples
Attilio Regolo 1797 Reggio
Le nozze di Lauretta 1797? Turin
L'apprensivo raggirato 1798 Naples
Il secreto 1798 Turin
Semiramide 1799 Naples
Il conte di bell'amore
L'arte contro l'arte carn.1800 Alexandrie
Artemisia carn.1801 Venise
Il nuovo podestà spr.1802 Bologne
Tito Vespasiano 1821 Lisbonne
La discordia fortunata
L'ajo nell'imbarazzo
Le donne vendicate
Il cavalier del dente
La Molinara
88 sonates pour le clavecin
Overture from the opera "The Secret Marriage" transcription pour clavecin Orgue ou Piano, Vienne, Cappi XIX sec. Capua, Esarmonia 2010
Sinfonia in si maggiore per 2 oboi, 2 corni e archi
Sinfonia in re maggiore attribuita anche a Josef Mysliveček
Concerto per clavicembalo o fortepiano in si bemolle maggiore
Concerto per 2 flauti e orchestra in sol maggiore (1793)
Sestetto in sol maggiore per fortepiano, fagotto, 2 violini, viola e violoncello
Sestetto in fa maggiore per fortepiano organizzato, arpa, fagotto, violino, viola da gamba e violoncello
6 quartetti (re maggiore, sol maggiore, do maggiore, fa maggiore, do maggiore, la minore) per flauto, violino, viola e violoncello

Commentaires

Dans sa vie de Rossini, Stendhal écrit : « En 1801, Cimarosa mourut des suites des traitements barbares que lui avait infligés la Reine Caroline. »
« Ci-gît Errico Beyle, milanais, a vécu, écrit, aimé. Cette âme adorait Cimarosa, Mozart, Shakespeare. » Épitaphe désirée par Stendhal
« Je me souviens que le premier microsillon que j'ai écouté était le concerto pour hautbois et orchestre de Cimarosa. » Georges Perec, Je me souviens,



Cliquez pour afficher l





Cliquez pour afficher l





Cliquez pour afficher l







Cliquez pour afficher l







Cliquez pour afficher l





Cliquez pour afficher l







Cliquez pour afficher l





Posté le : 06/02/2016 18:44

Edité par Loriane sur 07-02-2016 22:10:05
Edité par Loriane sur 07-02-2016 22:10:06
Transférer la contribution vers d'autres applications Transférer



 Haut   Précédent   Suivant




[Recherche avancée]


Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
47 Personne(s) en ligne (20 Personne(s) connectée(s) sur Les Forums)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 47

Plus ...