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Louis Armstrong
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Le 4 août 1901 naît à la nouvelle-Orléans Louis Armstrong, trompettiste, chanteur et chef d'orchestre américain


Louis Armstrong est, avec Duke Ellington et Charlie Parker, un des trois génies reconnus de la musique de jazz.
Alors que le jazz instrumental était encore proche des fanfares, que l'improvisation sur un thème donné – une des caractéristiques essentielles de cet art – se déployait surtout collectivement et à l'intérieur de cadres assez étroits, Armstrong inaugura le règne du soliste, donnant l'exemple, par son imagination créatrice, d'une liberté et d'une richesse d'expression jusqu'alors inconnues.
De ce fait, l'importance, sur le plan esthétique, du grand trompettiste et chanteur noir constitue également un fait historique décisif : d'entreprise collective, liée à un milieu et à toutes sortes d'alluvions culturelles, le jazz, grâce à Armstrong, acquiert en effet son unité, sa dimension d'universalité et ses moyens originaux, à partir desquels deviendront possibles création et évolution, bref, les apports successifs des individualités qui jalonnent son histoire.
Caractéristiques de son art
Si l'on excepte les années d'enfance et d'adolescence (1901-1918), la vie de Louis Armstrong – engagements, disques, tournées – se soumet presque entièrement à sa carrière, à son itinéraire musical. Il est donc licite de recenser les données principales de sa musique avant même de suivre sa biographie.
Instrumentiste – d'abord au cornet à pistons, puis, à partir de la fin des années vingt, à la trompette – Louis Armstrong apparaît, dans l'histoire du jazz, comme le premier soliste véritable : avant lui, en effet, les formations se vouaient essentiellement à une polyphonie improvisée.
Si, dans les groupes auxquels il appartient, la musique se recentre autour de lui, c'est qu'il en impose, tout d'abord, par une virtuosité sans précédent, tout au moins jusqu'en 1934, époque où ses lèvres blessées le contraindront à un jeu plus décanté.
Mais c'est qu'Armstrong, aussi, affirme très rapidement un langage personnel, plus complet et plus complexe que celui des jazzmen de son temps, et que sert, en outre, une sonorité demeurée, aujourd'hui encore, absolument unique, sonorité ample, éclatante et majestueuse, dont le grain serré n'est jamais rompu par les inflexions incisives et l'expressivité fervente qui la mettent en œuvre : Armstrong, par exemple, n'utilisera jamais de procédés extérieurs, comme la sourdine wa wa dont certains trompettistes qui lui sont contemporains – Bubber Miley, entre autres – devaient user de manière si savoureuse.
Ainsi Louis Armstrong fait-il rapidement éclater les données du jeu Nouvelle-Orléans dont il procède cependant : la puissance de son tempérament lyrique lui permet d'user, avec une liberté toute nouvelle, du répertoire exécuté, soit qu'il transfigure un thème par quelque éblouissante paraphrase, soit qu'il le recrée, le dote d'une intensité dont il était initialement dépourvu, en se bornant à en décaler quelques notes et à l'épurer.
Gagnant en liberté mélodique, le discours improvisé gagne aussi en liberté rythmique : au phrasé un peu uniforme – en avant du temps ou assez pesamment sur le temps – des artistes Nouvelle-Orléans, Armstrong substitue une phrase infiniment plus souple en son accentuation et son découpage, où le swing, cette pulsation qui est au cœur du jazz et le définit, s'épanouit avec une force d'évidence qui est absente du jeu de la plupart des premiers jazzmen.
Cela dit, Louis Armstrong reste, fondamentalement, attaché à l'esprit de la musique Nouvelle-Orléans : même lorsqu'on y rencontre de grands élans expressionnistes, son jeu demeure ramassé et plutôt carré, et la note, presque toujours attaquée, y acquiert, souvent, autant d'intensité expressive qu'une phrase entière.
En outre, bien que sollicitant à l'occasion les airs à la mode, le trompettiste sera toujours fidèle au répertoire du vieux jazz originel.
Louis Armstrong, enfin, est un des plus grands chanteurs de l'histoire de la musique négro-américaine et un des plus caractéristiques, également, de cet art vocal si chaleureux qui, dans le même temps, s'épanouit à travers le blues et le spiritual. Sa voix, rugueuse et âpre, va à l'encontre des critères occidentaux de jugement et s'impose, au contraire, par son pouvoir émotionnel, transposition directe de celui qui informe le jeu de l'instrumentiste.

Enfance.

Louis Armstrong naît le 4 août 1901 dans une famille pauvre de La Nouvelle-Orléans, et non le 4 juillet 1900, comme l'ont longtemps fait croire la légende et le trompettiste lui-même, dans le quartier pauvre de Perdido.
Louis, suite à l'absence de son père William Armstrong qui a quitté le foyer familial, est élevé par sa grand-mère Joséphine et sa mère.
Enfant il chante dans les rues de La Nouvelle-Orléans dans un petit groupe vocal. Puis de bonne heure, il chante dans des cabarets et reçoit quelques leçons du trompettiste légendaire Bunk Johnson.
En grandissant dans un quartier difficile, il est plusieurs fois renvoyé, en raison d’actes de délinquance, dans un foyer pour enfants abandonnés de couleur : le Home for Coloured Waifs.
Il y fait notamment un long séjour selon les fichiers de la police après avoir tiré un coup de feu en l’air avec un pistolet pour fêter la nouvelle année.
En 1913, le jour de la Saint-Sylvestre, il s'empare d'un pistolet et s'amuse à tirer en l'air : cela lui vaut une année de maison de correction, durant laquelle il développe sa technique instrumentale.
Il apprend à jouer du cornet à pistons dans l’orchestre de ce centre, grâce à son premier instrument offert par les Karnofsky, une famille juive d’origine russe qui s'était prise d'affection pour ce jeune enfant.
Une fois libre il joue du cornet dans les cabarets du quartier downtown Storyville.
À sa sortie, il joue dans des ensembles de danse mais aussi, pour vivre, vend des journaux, livre du charbon et travaille dans une laiterie.
Il rencontre King Oliver qui lui donne quelques conseils, joue peu de temps dans l'orchestre du tromboniste Kid Ory sur le riverboat capitol où il remplace King Oliver.
Il assiste fréquemment aux parades des brass-bands et écoute les vieux musiciens dès qu’il en a l’occasion, apprenant de Bunk Johnson, Buddy Petit et par-dessus tout Joe "King" Oliver.
Il joue plus tard dans les brass bands et avec le réputé orchestre de Fate Marable sur les bateaux à vapeur qui remontaient le Mississipi.

Débuts de carrière

En 1922, Louis, après la fermeture de Storyville en 1917 part dans le mouvement général d'exode, pour Chicago, où il est engagé comme second trompettiste par Joe King Oliver dans son Creole Jazz Band.
Chicago dès lors devient la mecque du style New-Orleans. Dans ce contexte bouillonnant il enregistre ses premiers disques.
Le grand départ de la carrière d'Armstrong coïncide avec son entrée, en 1922, dans le Creole Jazz Band de "King" Oliver, qu'il rejoint à Chicago. C'est avec ce petit orchestre qui, par sa qualité et l'équilibre de sa section mélodique cornet, clarinette, trombone, fixe pour nous, à travers les quelques documents qui nous restent, l'image exemplaire du jeu Nouvelle-Orléans, qu'il grave ses premiers enregistrements.
Ceux-ci inaugurent une discographie abondante et suivie, d'autant plus précieuse qu'en jazz le disque est le seul moyen de conservation des œuvres.
Il travaille un temps avec le batteur et chef d'orchestre Ollie Powers avant d'être engagé l'année suivante en 1925 dans l'un des big bands phares de New York celui de Fletcher Henderson.
Il épouse la pianiste Lil Hardin et se fait l'accompagnateur attitré de quelques grandes chanteuses de blues comme Bessie Smith, Ma Rainey puis enregistre quelques faces avec le pianiste Clarence Williams avant d'intégrer la formation de sa femme les dreamland syncopators.
Il retourne à Chicago et pour la firme okey enregistre le 12 novembre 1925 la toute première séance du hot five en compagnie de Lil Hardin au piano, Johnny Dodds à la clarinette, Baby Dodds à la batterie et Kid Ory au trombone.
De retour à Chicago, en 1925, il réunit, pour divers enregistrements, son premier Hot Five cinq musiciens qui comprend, notamment, le clarinettiste Johnny Dodds et le trombone Kid Ory principales exécutions : Cornet Chop Suey, Heebie Jeebies, Big Butter and Egg Man, Muskrat Ramble, puis, en 1927, son Hot Seven , sept musiciens, qui s'enrichit d'un batteur, Baby Dodds, grâce auquel le petit groupe acquiert cette assise rythmique qui faisait un peu défaut au Hot Five principales exécutions : Willie the Weeper, Alligator Crawl, Twelfth Street Rag, Potato Head Blues, Wild Man Blues.
En 1928, enfin, Louis Armstrong dirige son second Hot Five, où l'on relève le nom du grand batteur Zutty Singleton et, surtout, celui de Earl Hines, dont le jeu plein de verve réalise, avec un brio presque égal à celui de son modèle, une transposition pianistique du style d'Armstrong, principales exécutions :
Weather Bird – un duo Hines-Armstrong seuls – Fireworks, A Monday Date, Basin Street Blues, Hear Me Talking to Ya, St. James Infirmary et deux chefs-d'œuvre, West End Blues et Tight like This.

En 1929, Armstrong accède au sommet de sa courbe créatrice.
Il est une grande vedette, maintenant, et il lui faut compter avec le public.
L'ère du jazz Nouvelle-Orléans est bien close et le trompettiste, délaissant le petit groupe, se produit avec ces grands orchestres qui sont désormais en faveur, et notamment avec ceux de Luis Russell, de Carroll Dickerson, de Les Hite, de Chick Webb.
Son jeu, qui est parvenu à sa plus grande virtuosité instrumentale, penche vers l'expressionnisme et cultive un peu l'effet principales exécutions :
I Can't Give You, Mahogany Hall Stomp, St. Louis Blues, Shine, Chinatown, You Rascal You, Lawd You Made the Night too Long.

L'Europe le voit en 1932 et en 1933-1934.
C'est alors que l'état de ses lèvres le contraint à suspendre son activité.
Quand il la reprend, toujours accompagné par une grande formation, son style s'est modifié dans le sens d'une sobriété et d'une concentration plus grandes, principales exécutions :
Thanks a Million, un remake de West End Blues, et, surtout, I Can't Give You Anything But Love – nouvelle et magistrale version.
Puis, à partir de 1940, Louis Armstrong participe au mouvement Revival qui s'efforce de reconstituer et de relancer le jazz Nouvelle-Orléans.
Il enregistre avec Sidney Bechet, 2/19 Blues, Perdido Street Blues, puis réunit un petit orchestre qui s'apparente aux Hot Five et dont il maintiendra la formule jusqu'à sa mort le 6 juillet 1971, à travers de nombreux remaniements de personnel, d'une production phonographique abondante et inégale, retenons surtout une Musical Autobiography en plusieurs disques, où Louis, avec assez de bonheur, reprend les principaux thèmes qui ont jalonné sa carrière.

Le Louis Armstrong d'après 1960, étant donné la vie épuisante de tournées qui fut la sienne à cette époque – 1967 le vit encore au festival d'Antibes –, ne peut, évidemment, être mis au même niveau que celui des années 1929 :
son jeu de trompette, encore remarquable dans le médium, avait perdu de sa sûreté et, surtout, de sa mobilité ; son style s'était figé, bien souvent jusqu'à la stéréotypie.
Tout cela est normal.
Satchmo, tel est son surnom le plus connu, contraction de satchel mouth qui signifie à peu près bouche en porte-monnaie n'en est pas moins resté étonnamment présent dans la vie jazziste, et son art de chanteur avait encore, au fil des ans, enrichi ses ressources et ses nuances expressives.
En 1964, Armstrong fit chuter les Beatles du top du hit-parade, le Billboard Hot 100 avec Hello, Dolly, qui donna à l’interprète âgé de 63 ans le record aux États-Unis d'Amérique du plus vieil artiste à avoir un titre au top du classement. En 1968, Armstrong marqua un dernier succès populaire au Royaume-Uni avec la chanson pop très sentimentale What a Wonderful World, qui fut premier des hits-parades britanniques pendant un mois ; néanmoins, le single ne fut pas du tout un succès en Amérique.
La chanson eut un grand succès dans la conscience populaire quand elle fut utilisée en 1987 dans le film Good Morning, Vietnam, sa réédition s'élevant au sommet des hit-parades dans de nombreux pays.
Armstrong appréciait beaucoup de styles différents de musique, du blues le plus direct aux doux arrangements sirupeux de Guy Lombardo, aux chansons folkloriques latino-américaines, aux symphonies classiques et l’opéra.
Armstrong incorpora les influences de toutes ces sources dans ses représentations, rendant parfois perplexes ses fans qui auraient préféré qu’Armstrong reste dans un style plus conformiste.
Cependant, il n'appréciait pas véritablement le mouvement bop et ses successeurs.
Armstrong fait partie du Rock and Roll Hall of Fame en tant qu'influence majeure.

Timbre de voix

Au niveau du larynx, les cordes vocales sont surplombées par des bandes ventriculaires au nombre de deux, appelées également fausses cordes vocales.
Chez l'être humain, leur rôle n'a qu'un intérêt phonatoire restreint.
La voix si particulière de Louis Armstrong était due à un œdème et à une hypertrophie de ses fausses cordes vocales. Jouer de la trompette était une action aggravante.


Louis Armstrong meurt d’une crise cardiaque le 6 juillet 1971, à l’âge de 69 ans, onze mois après son célèbre show à l’Empire Room du Waldorf Astoria.

Il est enterré au cimetière de Flushing à New York, près de sa dernière demeure à Corona, dans le Queens New York.
L'influence d'Armstrong sur le développement du jazz est sans commune mesure.


Son charisme, en tant que divertisseur et personnalité publique, était si fort vers la fin de sa carrière, qu'il éclipsait parfois ses contributions en tant que musicien ou chanteur.
Armstrong était un virtuose de la trompette, avec un son unique et un talent extraordinaire pour l'improvisation. C'est avec son jeu que la trompette est apparue en tant qu'instrument soliste de jazz.
Il était également un accompagnateur et un musicien d'ensemble magistral en plus de ses talents extraordinaires de soliste. Avec ses innovations, il a élevé musicalement la barre plus haut pour tous ceux qui viendraient après lui.
Armstrong peut être considéré comme l'inventeur du jazz chanté.
Il jouait de sa voix râpeuse si reconnaissable avec une grande maîtrise dans l'improvisation, liant les paroles et la mélodie des chansons de manière particulièrement expressive.
Il était également très doué pour le scat, dont il s'est servi pendant l'enregistrement de "Heebie Jeebies" lorsque ses partitions tombèrent au sol et qu'il entonna alors un chant composé d'onomatopées comme on avait coutume de le faire à La Nouvelle-Orléans.
Si, contrairement à l'idée reçue, il n'a pas inventé le scat, il fut en revanche le premier à inclure une improvision scat dans un titre. Billie Holiday et Frank Sinatra reprirent ensuite ce principe.
Armstrong fit de la figuration dans plus d'une douzaine de films hollywoodiens mineurs, jouant généralement un chef d'orchestre de jazz ou un musicien.
Il fut le premier Afro-Américain à organiser une émission de radio à portée nationale dans les années trente. Il a également fait des apparitions télévisées, particulièrement dans les années cinquante et soixante, et notamment dans The Tonight Show Starring Johnny Carson.
Louis Armstrong a une étoile à son nom sur le Walk of Fame d'Hollywood, au 7601 Hollywood Boulevard.
De nombreux enregistrements d'Armstrong continuent à être populaires. Plus de trois décennies après sa mort, de très nombreux enregistrements datant des différentes périodes de sa carrière sont maintenant plus facilement accessibles que lorsqu'il était en vie.
Ses chansons sont diffusées et écoutées tous les jours dans le monde entier et sont mises à l'honneur dans des films, des séries télévisées, des publicités et même des dessins animés ou des jeux vidéo Fallout 2, notamment, a A Kiss to Build a Dream on pour musique d'introduction.
Son enregistrement de 1923 avec Joe Oliver et son Creole Jazz Band continue à être écouté comme une référence en matière d'ensembles de jazz Nouvelle-Orléans.
Très souvent, néanmoins, Armstrong enregistra avec des orchestres standards et guindés, où seul son sublime jeu de trompette était intéressant.
Melancholy Blues , joué par Armstrong et les Hot Seven, fait partie des enregistrements sonores embarqués à bord des sondes Voyager envoyées dans l'espace.
Armstrong prit des dispositions pour qu'après sa mort et celle de sa femme Lucille, une fondation pour l'éducation musicale des enfants défavorisés soit créée, et pour que sa maison et des archives substantielles d'écrits, de livres, d'enregistrements et de souvenirs soient léguées au Queens College de la City University of New York.
Les archives Louis Armstrong sont accessibles aux chercheurs en musicologie, et sa maison, transformée en musée, a ouvert ses portes au public le 15 octobre 2003.
L'écrivain argentin Julio Cortázar, se décrivant lui-même comme un admirateur d'Armstrong, affirme qu'en 1952, le concert de Louis Armstrong au théâtre des Champs-Élysées à Paris l'a inspiré pour imaginer des créatures appelées Cronopios, sujets de nombre de ses histoires courtes.
Cortázar qualifia un jour Louis Armstrong de Grandísimo Cronopio (plus grand Cronopio).
Le principal aéroport de La Nouvelle-Orléans s'appelle le Louis Armstrong New Orleans International Airport.

Hommages

Miles Davis rendit un hommage pour le moins éloquent à l'intention d'Armstrong dans cette célèbre phrase :
"Dès qu'on souffle dans un instrument, on sait qu'on ne pourra rien en sortir que Louis n'ait déjà fait".
Certaines sources ont affirmé à tort que le dessinateur Al Taliaferro avait baptisé un des neveux de Donald Duck, Riri, Fifi et Loulou Huey, Dewey and Louie en version originale)d'après Louis Louie Armstrong, ce qui est aujourd'hui démenti.
Le chanteur John Scatman lui rend hommage dans sa chanson "Everybody Jam".
Claude Nougaro lui rend hommage dans sa chanson Armstrong, qui reprend la mélodie de Go Down Moses.
Le musicien Irakli est le plus grand spécialiste français d'Armstrong, il lui rend hommage depuis plus de 30 ans.

Oeuvre

Discographie sélective et restreinte.
The Best of the Hot 5 and 7 recordings, Columbia, 1925-1927
The Quintessence, Frémeaux & Associés/Night & Day 1925/1940
Ella and Louis, Verve, 1957
Louis and the Good Book, MCA, 1958
Louis Armstrong & Ella Fitzgerald, Porgy and Bess, Verve, 1958
Louis Armstrong & Duke Ellington, The Complete Sessions, 1961
What a wonderful world
Go down moses, 1996

Filmographie
dans son propre rôle
1953 : Romance inachevée (The Glenn Miller Story), d'Anthony Mann
1953 : La Route du bonheur (film franco-italien), de Maurice Labro
1956 : Haute Société (High Society), de Charles Walters
1957 : Satchmo the Great (Satchmo the Great), d'Edward R. Murrow
1959 : Millionnaire de cinq sous (The Five Pennies), de Melville Shavelson
1961 : Paris Blues (Paris Blues), de Martin Ritt
1969 : Hello, Dolly ! (Hello, Dolly !), de Gene Kelly
1969 : L'Aventure du jazz (L'Aventure du jazz), de Louis Panassié
(Voix)

Liens cliquez

http://youtu.be/b8z-QJ0Aut0 Tribute
http://youtu.be/E2VCwBzGdPM a wonderful world
http://youtu.be/OtG9CnMtzZk Ella Fitzgerald and Louis Armstrong - Learnin' The Blues
http://youtu.be/OFl97eZbruc Louis Armstrong and Ella Fitzgerald - Dream a little dream of me
http://youtu.be/bOH_mioL3TU Louis Armstrong - When You're Smiling
http://youtu.be/Fd_JDrnBMMA LOUIS ARMSTRONG ~ Moon River ~
http://youtu.be/tNsEd0XD82w Louis Armstrong Only you
http://youtu.be/OFCS7kZwxug C'est si bon
http://youtu.be/dqRq6qF7YgY la vie en rose
http://youtu.be/wyLjbMBpGDA When the saints go marching in

http://www.youtube.com/watch?v=Ae5WtA ... e&list=PLEFD827D53FB7180C 47 titres

http://youtu.be/TqzmrgBU6bE Armstrong par Nougaro



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Posté le : 03/08/2013 23:01

Edité par Loriane sur 04-08-2013 11:40:14
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Re: Louis Armstrong
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Bechet, Armstrong...Le jazz à la portée de tous....
La sonorité inégalable de la trompette de Satchmo...Oua dou be da be da be dou.. oh yaaa !

Posté le : 06/08/2013 00:41
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Re: Louis Armstrong
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Yaa, Yeeeah, yeeeah !
On danse, balance ...

Posté le : 06/08/2013 09:22
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Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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