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Jean-Léon Gérôme
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Le 11 mai 1824, à Vesoul en haute Saône, naît Jean-Léon Gérôme,

mort à Paris le 10 janvier 1904, peintre et sculpteur français du mouvement orientalisme, membre de l'Académie des beaux-arts. Il composa des scènes orientalistes, mythologiques, historiques et religieuses. À partir de 1878, il réalise des sculptures, principalement réalisées en polychromie, ses sculptures représentent souvent des scènes de genre, des personnages ou des allégories. Il a pour maîtres Paul Delaroche et Charles Gleyre
et pour élève Jean-Amédée Gibert. Il meurt à Paris, à 79 ans le 10 janvier 1904,

Nommé grand officier de la Légion d'honneur, Gérôme est distingué lors des différentes Expositions universelles auxquelles il participe et il fait figure de peintre officiel à la fin du XIXe siècle. Il devient professeur à l’École des beaux-arts, durant près de quarante années, et forma plus de 2000 élèves.
Considéré comme l'un des artistes français les plus célèbres de son temps, Jean-Léon Gérôme est l'un des principaux représentants de la peinture académique du Second Empire. Après avoir connu un succès et une notoriété considérable de son vivant, son hostilité violente vis-à-vis des avant-gardes, et principalement des impressionnistes, le fait tomber dans l'oubli après sa mort. Son œuvre est redécouverte à la fin du XXe siècle, et rencontre une postérité inattendue en devenant, entre autres, une source d'inspiration pour le cinéma.

Sa vie

Il débuta ses études au collège Gérôme de Vesoul, qui lui prit son nom en hommage.
Jean-Léon Gérôme est né le 11 mai 1824, au 9 rue d'Alsace-Lorraine à Vesoul, préfecture du département de la Haute-Saône. Son père, Pierre Gérôme, est orfèvre et sa mère, Mélanie Vuillemot, est la fille d’un négociant. Ses parents sont tous deux âgés de vingt-trois ans lorsqu'il est né. Il étudie au collège Gérôme de Vesoul, établissement scolaire qui prit le nom de l’artiste en 1907, où il montra des talents naturels pour le dessin.
En 1840, à 16 ans, il décroche son baccalauréat, puis part faire ses études à Paris en 1841. Par la suite, il devient l’élève du peintre Paul Delaroche, qu’il accompagnera en Italie quelques années plus tard. Aussi, durant son adolescence, Gérôme suit des cours des Beaux-Arts. En 1842, il expose à Vesoul ses premiers tableaux : Esquisse de bataille ; Chiens savants ; Moines au lutrin.

Carrière de peintre

Gérôme fait des excursions en Turquie, sur les bords du Danube en 1854 et en Égypte en 1857, tout en remplissant ses carnets de nombreux dessins. En 1855, il envoie à l'Exposition universelle Pifferaro, Gardeur de troupeaux, Concert russe et une grande toile représentant Le Siècle d'Auguste et la naissance de Jésus-Christ, acquise par le ministère d'État. Sa réputation augmente considérablement au Salon de 1857, où il expose sept tableaux d'un genre plus populaire, entre autres La Sortie du bal masqué et Le Duel de Pierrot.

En 1859, il envoie au salon une Mort de César et deux petites compositions, pleines de détails érudits, l'une retraçant un détail de gladiateurs et intitulée Ave Caesar, l'autre représentant Le Roi Candaule. En 1861, il fait paraître : Phryné devant l'aréopage, Socrate venant chercher Alcibiade chez Aspasie, Les Deux Augures.
Au même salon, il envoie une scène orientale, Le Hache-paille égyptien, et Rembrandt faisant mordre une planche à l'eau-forte. Ses meilleures œuvres lui ont été inspirées par le courant orientaliste, sur la base de sujets égyptiens ou ottomans : Le Prisonnier et le Boucher turc en 1861, La Prière, La Porte de la mosquée El-Hasanein au Caire en 1866, Le Charmeur de serpent en 1880, Le Marché d'esclaves, Le Marché ambulant au Caire et Promenade du harem.
À son retour d'Italie, il se fait connaître au Salon de 1847 par son Jeunes Grecs faisant battre des coqs en 1846, toile qui déjà illustre son souci du détail authentique et pour laquelle il reçut la médaille d'or. Il devient alors chef de file d'un nouveau courant, les néogrecs, qui comptait également parmi ses membres les peintres Jean-Louis Hamon et Henri-Pierre Picou. Puis il change de genre et expose La Vierge, L'Enfant Jésus et Saint Jean, et, comme pendant Anacréon, Bacchus et l'Amour. Gérôme obtient en 1848 une deuxième médaille. Cette même année, il peint La République, prêtée par la Ville de Paris aux Lilas, où elle est exposée depuis 1922 à la mairie. Il réalise ensuite : Bacchus et l'Amour ivres, Intérieur grec et Souvenir d'Italie en 1851, Vue de Paestum en 1852, Idylle en 1853.

En 1864, il devient professeur de peinture à l'École des beaux-arts nouvellement créé. Il y enseigne avec Alexandre Cabanel et Isidore Pils. La base de son enseignement repose sur le dessin.

Amoureux du fini, de la précision et du détail objectif tout en manifestant une sensualité ingresque, il a cultivé la scène de genre antique, moderne ou orientale thèmes puisés dans ses voyages. Professeur à l'École des beaux-arts à partir de 1863, il fut un ennemi juré de l'impressionnisme.
Jean Léon Gérôme accompagna Delaroche en Italie en 1844, il fut d'abord attiré par l'Antiquité, qui lui inspira quelques œuvres ingresques de grande qualité où se mêlent les réminiscences grecques et pompéiennes, Jeunes Grecs faisant battre des coqs, 1846, Paris, musée d'Orsay. Son vaste tableau le Siècle d'Auguste 1855, id. fut une tentative assez froide d'ample allégorie historique. Puis la culture antique du peintre servit surtout de prétexte à l'illustration habile de faits divers, la Mort de César, 1865, Baltimore, W. A. G. ; Pollice Verso, 1874, musée de Phoenix, Arizona, de même que son intérêt pour Louis XIV et la légende napoléonienne. Il voyagea plusieurs fois en Égypte, en Turquie et en Algérie et fut séduit par l'exotisme coloré des costumes et des paysages. Les cavaliers arabes et les odalisques devinrent alors ses thèmes favoris la Garde du sérail, Londres, Wallace Coll.. Les petites toiles orientalistes de l'artiste sont savoureuses, bien composées et d'une facture très savante, le Prisonnier, 1861, musée de Nantes. Professeur à l'École des beaux-arts 1863, il fut, bien que rigoureux et caustique, très aimé de ses élèves. Il s'opposa avec acharnement aux impressionnistes lors du Salon des refusés en 1863, lors du legs Caillebotte en 1894 et de l'Exposition universelle de 1900, et se montra toujours le défenseur de l'art officiel. Son œuvre, très appréciée aux États-Unis, a été remise à l'honneur par une exposition organisée par le Dayton Art Inst. en 1972. Gérôme fut aussi sculpteur.

Les honneurs dont a été couvert Gérôme, sa célébrité contrastent avec la défaveur qui suivit bientôt une carrière tard prolongée. Son hostilité à l'impressionnisme il proteste en vain, en 1884, contre l'exposition Manet à l'École des beaux-arts où il professe, mène campagne en 1894-1895 contre le legs Caillebotte devait assimiler à un pompier un artiste remarquablement doué qui a illustré, dans la seconde moitié du XIXe siècle, cette tradition d'une peinture objective et réaliste qui connaît depuis les années 1970 un net regain d'intérêt. Il est significatif, à ce propos, que Gérôme n'ait cessé d'être apprécié aux États-Unis, patrie de l'hyperréalisme, où une importante exposition lui a d'ailleurs été consacrée en 1972-1973 Dayton, Minneapolis, Baltimore.
Après avoir été l'élève de Delaroche, il présente au Salon de 1847 Le Combat de coqs musée d'Orsay, Paris, tableau qui allait connaître une éclatante célébrité et où se révèlent bien les deux aspects de son talent : un réalisme et une virtuosité dignes d'un peintre flamand dans le traitement des animaux et une souplesse de la ligne comme une sensualité dans les figures humaines qui viennent directement d'Ingres. Assez vite, il abandonne la grande peinture, l'immense et ambitieux Siècle d'Auguste, 1855, Amiens pour s'illustrer dans des sujets très divers : thèmes antiques, les célèbres scènes de cirque comme l'Ave Caesar, 1859, Yale, modernes Louis XIV recevant à sa table Molière, 1862, Malden, États-Unis, contemporains (Réception des ambassadeurs du Siam à Fontainebleau, 1864, Versailles, mais d'abord, à la suite de ses voyages répétés en Turquie, en Grèce et surtout en Égypte, orientaux, Le Prisonnier, 1863, Nantes ; le Marchand de tapis au Caire, 1887, Minneapolis.
On y trouve, avec un certain humour, le sénateur qui dort dans La Mort de César, 1867, Baltimore et un érotisme évident, scènes de bains maures, marchés d'esclaves, un souci archéologique digne de Flaubert, le casque du gladiateur dans Pollice verso, 1874, Phœnix, des curiosités ethnographiques et psychologiques qui donnent à l'anecdote le caractère d'un véritable document. Enfin, le souci de précision qui veut rivaliser avec la photographie s'appuie sur un sens pictural que révèle à l'évidence la liberté des esquisses, Les Conspirateurs, 1892, Vesoul. À la fin de sa vie, le passage à la troisième dimension et à la sculpture témoigne de cette fondamentale obsession de l'illusion spatiale, tactile et visuelle, puisque certaines de ses sculptures reprennent même les techniques chryséléphantines.

Il peint souvent des scènes historiques telles que Louis XIV et Molière en 1863, La Réception des ambassadeurs du Siam à Fontainebleau en 1865, La Mort du Maréchal Ney en 1868, L'Éminence grise en 1873, Réception du Grand Condé à Versailles en 1878, scènes qui privilégient la théâtralisation de l'anecdote et le goût du détail par rapport aux tableaux d'histoire traditionnels. Dès 1862, ses toiles connaissent une large diffusion, notamment due au fait qu'il épouse en 1863 Marie Goupil, la fille d'Adolphe Goupil, un éditeur d'art renommé.

Carrière de sculpteur

Gérôme arrive tardivement à la sculpture. Il débute sa carrière officielle de sculpteur à l'Exposition universelle de 1878 avec Les Gladiateurs, inspirés de groupe central de son tableau Pollice verso en 1872, premier exemple des allers-retours permanents entre son œuvre peint et sculpté. Ses groupes Anacréon, Bacchus et l'Amour, et ses statues d’Omphale en 1887 et de Bellone en 1892, cette sculpture polychrome en ivoire, métal et pierres précieuses, est exposée à l'Académie Royale de Londres et attira beaucoup l'attention, Tanagra. La polychromie est une caractéristique technique de ses sculptures. Gérome parvient à ses fins soit en variant les matériaux comme dans son Bellone, soit en peignant directement la pierre à l'aide d'une cire teintée, Sarah Bernhardt, 1894-1901. Il entreprend aussi une série de sculptures de conquérants, travaillées dans l'or, l'argent et les gemmes : Bonaparte entrant au Caire en 1897
, Tamerlan en 1898 et Frédéric le Grand, 1899. C'est également à Gérôme que l'on doit la statue du duc d'Aumale qui se trouve devant les grandes écuries à Chantilly en 1899. Enfin, sa sculpture la plus célèbre restera certainement " L'Aigle blessé", monument érigé à Waterloo, à l'emplacement du dernier carré, deux ans après sa mort.
Gérôme s'est souvent représenté dans ses propres tableaux en train de sculpter Le travail du marbre, 1895, Autoportrait peignant la joueuse de boule, 1901-1902. Il existe également un certain nombre de photographies où il se met en scène devant ses propres œuvres.

Succès

Gérôme connaît un large succès de son vivant, si bien qu'il a son buste dans la cour de l'Institut de France. Pourtant, à la fin de sa vie, sa farouche hostilité envers les impressionnistes, qu'il considérait comme le déshonneur de l'art français, contribue au déclin de sa popularité, notamment en France. En France, il devient le symbole de l'académisme.

De nombreux musées conservent ses œuvres aux États-Unis, dus aux collectionneurs américains qui l'achetèrent de son vivant, Son influence a été déterminante dans l'esthétique des peplums du cinéma italien et hollywoodien9.

Expositions consacrées

Un universitaire américain, Gerald Ackermann, a établi le catalogue de ses œuvres et a organisé la première exposition à lui être consacrée, en 1981, à Vesoul, ville natale de Gérôme10. En conséquence, un grand nombre de ses œuvres sont visibles au Musée Georges-Garret de Vesoul, et la municipalité donna son nom à un collège de Vesoul. En 2000, Hélène Lafont-Couturier a organisé une exposition ayant pour thème Jean-Léon Gérôme et son marchand de tableaux, Adolphe Goupil, à Bordeaux, New York et Pittsburgh. Une importante rétrospective lui a été consacrée au musée d'Orsay en 201011. Une exposition lui est consacrée au musée Anne-de-Beaujeu de Moulins (Allier du 20 janvier au 29 avril 2012, autour du tableau La Vérité sortant du puits, armée de son martinet, pour châtier l'humanité appartenant à ce musée12.

Å’uvres

Cave canem, prisonnier de guerre à Rome (1881), Musée Georges-Garret, Vesoul
Phryné devant l'aréopage (1861), Hamburg Kunsthalle
Marchand de peaux, Le Caire (1869), Collection privé
L'éminence grise (1873), Museum of Fine Arts, Boston
Bonaparte devant le Sphinx (1867-68), Hearst Castle, San Simeon, Californie
Golgotha Consummatum est, (1867), Musée d'Orsay, Paris
Pygmalion et Galatée (1890), Metropolitan Museum, New Yor
Après le bain
Tigre à l'affût (1888), avec son encadrement

En France- Musée Georges-Garret de Vesoul

La Danse, marbre, h. 87 cm, (inspirée de Loïe Fuller (1862-1928), fameuse danseuse et chorégraphe américaine), Musée Georges-Garret, Vesoul.
Femmes au bain, huile sur toile, 66 × 55 cm, Musée Georges-Garret, Vesoul.
Les Mouettes, vers 1902, huile sur toile, 60 × 92 cm, Musée Georges-Garret, Vesoul.
Cléopâtre devant César, vers 1865, esquisse pour César et Cléopâtre (tableau perdu), Musée Georges-Garret, Vesoul.
Paysages d’Orient, 1868, huile sur toile, 24 × 32 cm, Musée Georges-Garret, Vesoul.
Prisonnier de guerre à Rome, dit aussi Cave Canem, 1880, huile sur toile, 108 × 91 cm, Musée Georges-Garret, Vesoul13.
Saint Vincent de Paul, 1847, huile sur toile, 175 × 135 cm, Musée Georges-Garret, Vesoul13.
Anachréon, Bacchus et l'Amour, 1881, bronze, 75 × 28,5 × 18,9 cm, Musée Georges-Garret, Vesoul13.
Nominor Leo, Musée Georges-Garret, Vesoul.

Musée du Louvre

Le Baron Alphonse Delort de Gléon, 1894, huile sur toile, 39 × 31 cm, Musée du Louvre, Paris14
Dante méditant dans le jardin des Cascine à Florence, aquarelle, crayon et rehaut de gouache, 51 × 31 cm, Département des arts graphiques, Musée du Louvre, Paris.
Deux Têtes de cantatrices et une Tête de chanteur, dessin (mine de plomb), 23 × 18 cm, Département des arts graphiques, Musée du Louvre, Paris.
Ephèbe agenouillé, dessin, 13,4 × 13,4 cm, Département des arts graphiques, Musée du Louvre, Paris.
Portrait de la tragédienne Rachel en buste, costume antique, 1859, dessin (pierre noire sur papier), 60 × 47,2 cm, Département des arts graphiques, Musée du Louvre, Paris.
Tête de garçon, de profil à droite, 1881, dessin (mine de plomb), 23 × 18 cm, Département des arts graphiques, Musée du Louvre, Paris.
Tête de profil à droite, 1881, dessin (mine de plomb), 23 × 18 cm, Département des arts graphiques, Musée du Louvre, Paris.
La République, 1848, huile sur toile, 292 × 193 cm, Mairie des Lilas, Les Lilas, Seine-Saint-Denis13.

Musée d'Orsay

Jeunes Grecs faisant battre des coqs, 1846, huile sur toile, 143 × 204 cm, Musée d'Orsay, Paris.
Corinthe, 1903, sculpture, 47,5 × 33 × 30 cm, Musée d'Orsay, Paris13.
Intérieur grec, 1848, huile sur toile, 155 × 210 cm, Musée d'Orsay, Paris.
Golgotha Consummatum est, 1867, huile sur toile, 63.5 × 98 cm, Musée d'Orsay, Paris.
La Nuit, vers 1850, huile sur toile, 76,5 × 46 cm, Musée d'Orsay, Paris.
Henri II, roi de France, vers 1846, huile sur toile, 220,1 × 143 cm, Musée d'Orsay, Paris.
Portrait de la baronne Nathaniel de Rotschild, 1866, huile sur toile, 49,6 × 35,8 cm, Musée d'Orsay, Paris13.
Deux paysannes italiennes et un enfant dit aussi Souvenir d'Italie, 1849, huile sur toile, 88,3 × 67,9 cm, Musée d'Orsay, Paris13.
Frise destinée à être reproduite sur un vase commémoratif de l'exposition universelle de Londres en 1851, dit aussi Les Quatre parties du monde présentant leurs productions à la première exposition internationale de Londres en 1851, 1852, huile sur toile, 55 × 310 cm, Musée d'Orsay, Paris13.
Réception du grand Condé à Versailles par Louis XIV, Versailles, 1674, 1878, huile sur toile, 96.5 × 139,7 cm, Musée d'Orsay, Paris13,15.
Sarah Bernhardt, vers 1895, sculpture (marbre, polychrome), 69 × 41 × 29 cm, Musée d'Orsay, Paris13.
Tanagra (tenant dans sa main gauche la danseuse au cerceau), 1890, sculpture (marbre et polychromie), 154,7 × 56 × 57,3 cm, Musée d'Orsay, Paris.

Musée des beaux arts de Nantes

Le Prisonnier, 1861, huile sur toile, 45 × 78 cm, Musée des Beaux-Arts, Nantes 10.
La Plaine de Thèbes (Haute Egypte), 1857, huile sur toile, 76 × 131 cm, Musée des Beaux-Arts, Nantes 10.
Pifferaro, huile sur bois, 1856, 18 × 12,7 cm, Musée des Beaux-Arts, Nantes.
Tête de femme coiffée de cornes de bélier, 1853, huile sur toile, 47,5 cm (diamètre), Musée des Beaux-Arts, Nantes.
Vue de la plaine de Thèbes (Haute-Egypte), 1857, huile sur toile, 76 × 131 cm, Musée des Beaux-Arts, Nantes.
Vue de la plaine de Thèbes (Haute-Egypte), 1847, dessin (crayon noir sur vergé blanc), 23,2 × 34 cm, Musée des Beaux-Arts, Nantes.
Tête de femme coiffée de cornes de bélier -Étude, dit aussi la Bacchante, 1853, huile sur toile, diam. 47,5 cm, Musée des Beaux-Arts, Nantes.

Autres lieux

Jules César en buste, huile sur toile, 38,5 × 32,6 cm, musée national du chateau de Compiègne, Compiègne.
Jules César entouré de ses généraux, huile sur toile, 38,5 × 32,5 cm, musée national du chateau de Compiègne, Compiègne.
La Joueuse de boules ou la Danseuse aux trois masques, vers 1902, huile sur toile, 63 × 36,5 cm, musée des beaux-arts, Caen.
Tête de paysan de la campagne romaine, vers 1843, huile sur toile, 46 × 36 cm, musée national Magnin, Dijon
Femme nue allongée, dessin (graphite sur papier velin), 12,7 × 19,2 cm, musée de l'Ancien Evêché, Évreux.
Pierre et Jean Gérôme, père et fils de l'artiste, sur le seuil de sa maison de campagne, vers 1866, huile sur bois, 26,8 × 21 cm, musée des beaux-arts, Rouen13.
Anachréon, Bacchus et l'Amour, 1848, huile sur toile, 136 × 211 cm, Musée des Augustins de Toulouse.
Portrait de femme, huile sur toile, 114 × 86 cm, Musée Ingres, Montauban.
Bacchus et l'Amour ivres, vers 1850, huile sur toile, 149 × 113 cm, Musée des beaux-arts de Bordeaux13.
La Vérité est au fond du puits, 1895, huile sur toile, 100 × 72 cm, musée des beaux-arts, Lyon.
Les Palmiers, dessin (crayon noir sur papier blanc), 22 × 33 cm, Musée des beaux-arts, Marseille.
La Vérité sortant du puits, armée d'un martinet pour châtier l'humanité, 1896, huile sur toile, 91 × 72 cm, musée Anne-de-Beaujeu, Moulins13,16.
L'Idylle, l'innocence, dit aussi Daphnis et Chloë, 1852, huile sur toile, 252 × 156, Musée Massey, Tarbes13.
Le Siècle d'Auguste : naissance de N.S. Jésus-Christ, 1855, huile sur toile, 620 × 1 015 cm, Musée de Picardie, Amiens, (dépôt du Musée d'Orsay, Paris)13.
Femme nue allongée, graphite sur vélin collé sur carton, signé en bas à droite : J.L.G., 12,7 × 19,2 cm. Musée d'Évreux.
Rachel, « la tragédie », 1859, huile sur toile, 218 × 137 cm, Collections de la Comédie-Française, Paris13.
Portrait de Charles Garnier, 1877, huile sur panneau, 25 × 22 cm, Bibliothèque nationale de France, Bibliothèque-musée de l'Opéra, Paris13.
Suites d'un bal masqué, 1857, huile sur toile, 50 × 72 cm, Musée Condé, Chantilly (deux répliques sont présentes au musée de l'Ermitage, à Saint-Pétersbourg et au Walters Art Museum à Baltimore).
Réception des ambassadeurs siamois par Napoléon III à Fontainebleau le 27 juin 1861, 1864, huile sur toile, 128 × 260 cm, château de Versailles.

Aux États-Unis

Walters Art Museum à Baltimore
Sortie du bal masqué, dit aussi Un Duel après le bal, 1857-1858, huile sur toile, 39,1 × 56,3 cm, The Walters Art Museum, Baltimore, Maryland13.
Le Duel à la tulipe dit aussi Folie tulipière, 1882, huile sur toile, 65,4 × 100 cm, The Walters Art Museum, Baltimore, Maryland13.
Diogène, 1860, huile sur toile, 74,5 × 101 cm, The Walters Art Museum, Baltimore, Maryland13.
Mort de César, vers 1859-1867, huile sur toile, 85,5 × 145,5 cm, The Walters Art Museum, Baltimore, Maryland13.
Vente d'esclaves à Rome, 1866, huile sur toile, 64 × 57 cm, The Walters Art Museum, Baltimore, Maryland.
Dernières prières des martyrs chrétiens, 1883, huile sur toile, 87,9 × 150,1 cm, The Walters Art Museum, Baltimore, Maryland13.
Bachi-bouzouk chantant, 1868, huile sur toile, 46,3 × 66 cm, The Walters Art Museum, Baltimore, Maryland13.

Museum of Fine Arts de Boston

Bain turc ou Bain Maure : deux femmes, 1872, huile sur toile, 50,8 × 40,8 cm, Museum of Fine Arts, Boston13.
L'éminence grise, (1873), huile sur toile, 68,6 × 101 cm, Museum of Fine Arts, Boston13.
Le marchand de couleurs (le pileur de couleurs), 1890-1891, huile sur toile, 65 × 54,9 cm, Museum of Fine Arts, Boston13.

Collection Terence Garnett à San Mateo

Récréation au camp (souvenir de Moldavie, 1854), 1855, huile sur toile, Collection Terence Garnett, San Mateo, Californie13.
Bischarin, buste de guerrier, 1872, huile sur toile, 29,5 × 21,3 cm, Collection Terence Garnett, San Mateo, Californie13.
Markas Botzaris, 1874, huile sur toile, 70,2 × 54,6 cm, Collection Terence Garnett, San Mateo, Californie13.
Enfant avec un masque, 1861, huile sur toile, diam. 50 cm, Collection Terence Garnett, San Mateo, Californie13.
Socrate venant chercher Alcibiade chez Aspasie, 1861, Collection Terence Garnett, San Mateo, Californie.

New York

Pygmalion et Galatée, 1890, huile sur toile, 88,9 × 68,6 cm, Metropolitan Museum, New York13.
La prière à la mosquée, 1871, huile sur toile, 88,9 × 74, 9 cm, Metropolitan Museum, New York.
Bachi-bouzouk nègre, 1869, huile sur toile, 80,6 × 66 cm, don de Mme Charles Wrightsman (2008), Metropolitan Museum, New York13.
Arabes traversant le désert, 1870, huile sur panneau, 41,2 × 56 cm, Metropolitan Museum, New York13.
Le modèle de l'artiste, 1895, huile sur toile, Dahesh Museum of Arts, New York
Le travail du marbre, 1895, huile sur toile, 50,5 × 39,5 cm, Dahesh Museum of Arts, New York13.
Les courreurs du pacha dit aussi Souvenir du Caire, 1867, huile sur panneau, 55,9 × 43,5 cm, New York Historical Society, New York.

Museum of Art de Cleveland

Tête de femme italienne, 1843-1844, huile sur toile, 44,5 × 36 cm, The Cleveland Museum of Art, Cleveland, Ohio13.
Le lion aux aguets, vers 1865, huile sur toile, The Cleveland Museum of Art, Cleveland, Ohio.
Le lion aux aguets, vers 1890, huile sur panneau, 72,3 × 100,5 cm, The Cleveland Museum of Art, Cleveland, Ohio13.

Art Museum de Phoenix

Pollice verso, 1872, huile sur toile, 97,5 × 146,7 cm, Phoenix Art Museum, Phoenix, Arizona.
Mirmillon, vers 1859-1873, bronze, 38,9 × 13,3 × 12,7 cm, Phoenix Art Museum, Phoenix, Arizona13.
Retiaire, 1859, bronze, 39,9 × 15,2 × 14,6 cm, Phoenix Art Museum, Phoenix, Arizona13.

Autres lieux aux États-Unis

Le marché aux chevaux dit aussi Marchands de chevaux au Caire (le cheval à la montre), vers 1876, huile sur panneau, 57 × 45 cm, Hagggin Museum, Stockton, Californie13.
Le porte-drapeau dit aussi L'étendard du prophète, 1876-1878, huile sur toile, 61,6 × 50,1 cm, Hagggin Museum, Stockton, Californie13.
Boucher turc à Jérusalem, 1862, huile sur panneau, 33 × 27,4 cm, collection privée (Frankel Family trust), Santa Ana, Californie13.
La fin de la séance, 1886, huile sur toile, 45 × 40,6 cm, collection privée (Frankel Family trust), Santa Ana, Californie.
Promenade du harem, 1869, huile sur toile, 121,4 × 177,8 cm, Chrysler Museum of Art, Norfolk, Virginie17.
Le bain, 1880-1885, huile sur toile, 73,6 × 59,6 cm, Fine Arts Museums of San Francisco.
Charmeur de serpent, 1880, huile sur toile, 84 × 122 cm, The Sterling and Francine Clark Art Institute, Williamstown, Massachusetts18.
Marché d'esclaves, 1866, huile sur toile, 84,6 × 63,3 cm, The Sterling and Francine Clark Art Institute, Williamstown, Massachusetts13.
Louis XIV et Molière, 1862, huile sur panneau, 45,7 × 78,7 cm, Malden public library, Malden, Massachusetts13.
Le Siècle d'Auguste : naissance de N.S. Jésus Christ, vers 1853-1854, huile sur toile, 37 × 53 cm, J. Paul Getty Museum, Los Angeles, Californie13.
Pifferari, 1857, huile sur panneau, 25,4 × 18,9 cm, Iris and B. Gerald Cantor Center for Visual Arts, Université Stanford, Palo Alto, Californie13.
Bonaparte devant le Sphinx, dit aussi Oedipe, (1863-1886), huile sur toile, 60,1 × × 101 cm, Hearst Castle, San Simeon, Californie13.
Femme du Caire à sa porte, (date à préciser), huile sur toile, 81 × 71 cm, Syracuse University Art Collection, Syracuse, New York17.
Intérieur de mosquée, 1870, huile sur toile, 57 × 89 cm, Memorial Art Gallery of the University of Rochester, New York10.
La danse du sabre dans un café, 1875, huile sur toile, 58,5 × 80 cm, Herbert F. Johnson Museum, Cornell University, Ithaca, New York17.
Le muezzin, 1866, huile sur toile, 100 × 83,8 cm, Joslyn Art Museum, Omaha, Nebraska13.
Marchand de tapis au Caire, 1887, huile sur toile, 86 × 68,7 cm, Minneapolis Institute of Arts, Minneapolis, Minnesota.
Portrait de femme, 1851, huile sur toile, 92,6 × 73,7 cm, The Art Institute of Chicago, Chicago, Illinois13.
La douleur du pacha. Le tigre mort, 1885, huile sur toile, 92,7 x73,6 cm, Joslyn Art Museum, Omaha, Nebraska13.
Ave caesar, morituri te salutant, 1859, huile sur toile, 93,1 × 145,4 cm, Yale University Art Gallery, New Haven, Connecticut13.
Le général Bonaparte au Caire, 1867-1868, huile sur toile, 35,8 cm × 25 cm, Princeton University Art Museum, Princeton, New Jersey13.
Une causerie au coin du feu, 1881, huile sur toile, 46,4 × 38,1 cm, Spencer Museum of Arts, Université du Kansas, Lawrence, Kansas13.
L'odalisque, vers 1902-1903, huile sur toile, 41,2 × 32,5 cm, The Appleton Museum of Art, Florida state University, Ocala, Floride.
L'Almée, 1863, huile sur panneau, 50,2 × 81,3 cm, Dayton Art Institute, Dayton, Ohio13.
Vente d'esclaves au Caire, 1871, huile sur toile, 74,9 × 59,7 cm, Cincinnati Art Museum, Cincinnati, Ohio13.
Le Marabout, 1888-1889, huile sur toile, 73,6 × 59,6 cm, Arnot Art Gallery, Elmira, New York13.

Hors des États-Unis

Le roi Candaule, 1859, 67,3 × 99 cm, Museo de Arte, Ponce, Puerto Rico.
Phryné devant l'aréopage (1861), huile sur toile, 80,5 × 128 cm, Hamburg Kunsthalle, Hambourg, Allemagne.
La prière au Caire, 1865, huile sur panneau, 49,9 × 81,2 cm, Hamburg Kunsthalle, Hambourg, Allemagne.
Portrait d'Armand Gérôme, 1848, huile sur toile, 50,2 × 43,8 cm, The national Gallery, Londres, Royaume Uni13.
Une almée à la pipe, huile sur toile, 53 × 40,5 cm, Mathaf Gallery, Londres, Royaume Uni18.
Le harem au kiosque, huile sur toile, 76,2 × 115 cm, Mathaf Gallery, Londres, Royaume Uni18.
Les joueurs de dames, 1859, huile sur panneau, 40.3 x 28,6 cm, Collection Wallace, Londres, Royaume Uni18.
Vue du Nil à Louxor, 1857, huile sur toile, 16.5 x 28,7 cm, Ashmolean Museum, Oxford, Royaume Uni18.
Circus Maximus, vers 1876, huile sur toile, 16.1 x 32,3 cm, Sudley House (National Museums Liverpool), Liverpool, Royaume Uni.
Le Cardinal Valeane et la Cage de Torture, huile sur toile, 45 × 37 cm, Cooper Gallery, Barnsley, Royaume Uni.
Le 7 décembre 1815, à neuf heures du matin, l'exécution du maréchal Ney, 1855–1865, huile sur toile, 65.2 x 104,2 cm, Sheffield Galeries and Museums Trust, Sheffield, Royaume Uni.
Autoportrait, 1886, huile sur toile, 32.7 x 26 cm, Aberdeen Art Gallery, Aberdeen, Royaume Uni.
Portrait de femme, 1850, huile sur toile, 99,4 × 76,3 cm, Musée des beaux-arts du Canada (National Gallery of Canada), Ottawa, Canada13.
Sculpturae vitam insufflat pictura, 1893, huile sur toile, 50,1 × 69,8 cm, Musée des beaux-arts de l'Ontario, Toronto, Canada13.
Bachi-bouzouk dormant dit aussi La dame pyrrhique, 1878, huile sur toile, 81 × 65 cm, Palais national, Ankara, Turquie13.
La porte de la mosquée El-Hasanein au Caire où furent exposées les têtes des beys immolés par Salek-Kachef, 1866, huile sur panneau, 54 × 43,8 cm, Orientalist Museum, Doha, Qatar13.
Femme circassienne voilée, 1876, huile sur toile, 40,7 × 32,6 cm, Orientalist Museum, Doha, Qatar13.
Le Barde noir dit aussi Le Barde africain, 1888, huile sur toile, 61,2 × 50,8 cm, Orientalist Museum, Doha, Qatar13.

Lieux non précisés

La naissance de Vénus ou L’Étoile ou Vénus sortant des eaux, 1890, collection privée.
Le Tombeau du Sultan, (date à déterminer), huile sur toile, 65 × 54 cm19.
Quittant la mosquée, (date à déterminer), huile sur toile, 54.5 × 78,7 cm19.
Marchand de peaux, Le Caire, 1869, huile sur toile, 61,5 × 50 cm, collection privée19.
L'Arabe et son coursier, (1872), huile sur toile, 59,7 × 99 cm19.
L'Allumeuse de narguilé, (date à préciser), huile sur toile, 54,6 × 66 cm, collection privée19.
Arabe et ses chiens, (date à préciser), huile sur toile, 55 × 37,5 cm, collection privée19.
Grande piscine de Brousse, 1885, huile sur toile, 70 × 100 cm, collection privée17, Londres20.
Le Bain de vapeur, (date à déterminer), huile sur toile, 73 × 101 cm, collection privée17.
Femme du Caire, (date à déterminer), huile sur toile, 81,2 × 64,7 cm, collection privée17.
Intérieur grec, 1850, huile sur toile, 64,5 × 89 cm, collection privée (Micheline Connery)13.
Les Deux augures, 1861, huile sur toile, 65,3 × 50,3 cm, collection privée13.
Un Hache-paille égyptien, vers 1859, huile sur panneau, 21 × 36,2 cm, collection privée13.
Le Général Bonaparte et son état-major en Egypte - esquisse, 1867, huile sur toile, 48 × 80 cm, collection Mohammad Ladjevardian13.
Le Lion aux aguets, vers 1890, huile sur toile, 29,2 × 42,3 cm, collection privée13.
Italien jouant du zamponia, 1855, huile sur panneau, 19 × 12 cm, collection privée13.
La Vierge, l'Enfant Jésus et saint Jean, 1848, huile sur toile, 108 × 75 cm, collcetion privée13.
La Rentrée des félins, 1902, huile sur toile, 83,2 × 129,5 cm, collection privée13.
Le Mur de Salomon, dit aussi Le mur des lamentations, 1876, huile sur toile, 92,4 × 73,7 cm, collection privée13.
La Terrasse du sérail, dit aussi le Harem sur la terrasse, 1886, huile sur toile, 82x 122 cm, collection privée13.
Le Derviche tourneur, 1889, huile sur toile, collection privée13.
Les Baigneuses du Harem, 1901, huile sur toile, 99,7 × 80,6 cm, collection privée13.
Promenade du Harem, (date à déterminer), huile sur toile, 85.50 × 150 cm, collection particulière21.
Socrate venant chercher Alcibiade chez Aspasie - Étude préparatoire, 21 × 33 cm, collection privée.

Å’uvres perdues

1866 : Cléopâtre et César.

Liens

http://youtu.be/j2y-GFJq2qA peintures en musique
http://youtu.be/zvMHtoNyxKU peintures en musique
http://youtu.be/Y6gsZKM_Ogs peintures en musique


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Posté le : 09/05/2014 19:51

Edité par Loriane sur 10-05-2014 17:43:05
Edité par Loriane sur 10-05-2014 18:01:07
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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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