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Théodore Dubois
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Le 24 août 1837 à Rosnay Marne naît François Clément Théodore Dubois,

mort, à 86 ans le 11 juin 1924 à Paris, organiste, pédagogue et compositeur français, il est formé au Conservatoire de Paris, il a pour maîtres Marmontel, François Benoist, François Bazin, Ambroise Thomas, li reçoitr le prix de Rome en 1861 et est fait Commandeur de la Légion d'honneur et de l'Académie des beaux-arts
Le compositeur Théodore Dubois refait surface après une longue période d'oubli. Son retour au cœur de la musique de son temps, au milieu de ses pairs, s'est amorcé et, depuis quelques années, il reprend sa place parmi les compositeurs de la période charnière entre le 19ème et le 20ème siècle.

Concerts, enregistrements, édition de ses écrits éclairent son œuvre d'une lumière nouvelle, comme pour répondre à son souhait lorsqu'il écrivait, vers la fin de sa vie : "... si, plus tard, après moi, mes compositions tombent sous les yeux de musiciens et de critiques non prévenus, un revirement se fera en ma faveur."
Il fit ses études à Reims, puis au Conservatoire de Paris avec Marmontel, Benoist, Bazin et Ambroise Thomas. En 1861, il obtint le grand prix de Rome avec la cantate Atala. Il devint maître de chapelle à Sainte-Clotilde et composa les Sept Paroles du Christ 1867. Puis il fut nommé maître de chapelle à la Madeleine où il succéda à Saint-Saëns comme organiste en 1877. Au Conservatoire de Paris, il fut professeur d'harmonie 1871, professeur de composition 1891 et directeur de 1896 à 1905. Ses œuvres, très nombreuses 3 symphonies, des concertos, 2 quatuors à cordes, de la musique religieuse, etc., sont pour la plupart aujourd'hui oubliées ; en revanche, son Traité d'harmonie Paris, 1921 et 1968 sert toujours de référence.

Premières années

Il est le fils de Nicolas Dubois et de Célinie Charbonnier, ils eurent comme enfants Ferdinand né en 1832, instituteur emporté par la typhoïde et Théodore. Alors qu'il avait été à la cathédrale à Reims à l'âge de dix ans, il revint en proclamant qu'il voulait être organiste.
Son grand père François Charbonier lui achetait l'harmonium du château du village et lui faisait donner des cours par le tonnelier Dissiry organiste à Gueux. Il du rapidement prendre des cours à Reims, auprès de Melle Charpentier puis de l'organiste de la cathédrale, Louis Fanart. Il se rendait à pied deux fois par semaine pour suivre ses cours et devint rapidement le titulaire de l'orgue de Gueux.
En 1853, il entre au Conservatoire de Paris où il suit les cours de piano de Marmontel, apprend l'orgue avec François Benoist et la composition avec François Bazin et Ambroise Thomas. En 1861, il en sort après avoir obtenu toutes les récompenses et remporte le Premier Grand Prix de Rome avec la cantate Atala.

Prix de Rome

Après son séjour à la Villa Médicis, il devient d'abord, jusqu'en 1869, maître de chapelle à l'Église Sainte-Clotilde dont il était auparavant organiste, puis à l'Église de la Madeleine, jusqu'en 1877. Il succède alors à Camille Saint-Saëns au poste d'organiste de cette église. En 1871, il est professeur d'harmonie et de composition au Conservatoire de Paris et il est élu membre de l'Académie des beaux-arts sur le fauteuil de Charles Gounod en 1894.

Église de la Madeleine à Paris

En 1896, il devient directeur du Conservatoire, succédant à son ancien professeur et ami Ambroise Thomas. Il y demeure jusqu'en 1905, année où il démissionne. Vers cette époque également, se développe la polémique qui suit l'exclusion de Maurice Ravel du concours d'essai au Prix de Rome. La question a donc été posée d'un lien entre les deux évènements, Dubois s'étant montré hostile aux musiciens de la jeune génération, trop éloignés des conceptions qui prévalaient au XIXe siècle. En fait, il s'avère qu'il ne s'agissait pas de démission de sa part, mais de départ à la retraite, conformément au désir souvent exprimé de se consacrer plus complètement à la composition.

Son œuvre est considérable : plus de 500 œuvres répertoriées au catalogue de Christine Collette-Kléo Université Paul-Valéry, Montpellier.
Sa musique, en partie produite à une époque où elle semblait déjà issue d'un siècle révolu, trouve un regain d'intérêt, grâce au Palazzetto Bru Zane (Centre de musique romantique française, à Venise.
Néanmoins, son oratorio intitulé Les Sept Paroles du Christ en Croix, a toujours été chanté, aux USA et au Canada, jusqu'à aujourd'hui, spécialement pendant la Semaine sainte.

Vie privée

Le 20 août 1872, il épousa la pianiste Jeanne Duvinage (1843-1922), dont le père avait été second chef d'orchestre à l'Opéra-Comique, avant d'entrer dans l'administration des chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée. Ils eurent deux enfants, le premier mouru à neuf ans et Charles, né en 1877 fut membre de l'École française de Rome.

Le retour


Après le 150e anniversaire de Debussy en 2012, puis l'année l'année Poulenc en 2013. C'est un outsider qui fait en ce moment l'objet de toutes les attentions. Son nom? Théodore Dubois. Avec pas moins de dix-sept parutions discographiques à la fin 2013, la publication récente de ses Souvenirs et celle future de son Journal, un festival de deux mois orchestré par le Palazzetto Bru Zane de Venise, ce «soldat inconnu» de la musique française connaît un spectaculaire regain d'intérêt. Aparté, le label qui monte, a fait de son Paradis perdu un oratorio qui n'a guère à envier à certaines pages de Gounod son disque phare du printemps.
Vanessa Wagner vient de livrer un enregistrement live aussi émouvant que passionné de son second concerto pour piano. Et le Brussels Philharmonic, qui ne touche plus terre depuis le succès de la bande originale du film The Artist, s'attelle à sa Symphonie no 2.

Une mauvaise réputation

Mais est-il vraiment un inconnu, celui que la plupart des musiciens professionnels connaissent au moins de nom pour avoir planché sur son Traité d'harmonie? Pour Alexandre Dratwicki, ­directeur scientifique du Centre de musique romantique française et auteur de ce «revival Dubois», «cet ancien directeur du Conservatoire de Paris, assimilé au milieu officiel de la fin du XIXe siècle, cristallise deux enjeux majeurs: la redécouverte de compositeurs célébrés en leur temps mais aujourd'hui oubliés du grand public; et la réhabilitation d'artistes qui, en raison d'une méconnaissance, souffrent dans le milieu musical d'une image catastrophique.
Sa mauvaise réputation, Théodore Dubois la doit avant tout à sa position privilégiée de directeur du Conservatoire élu à l'Académie des beaux-arts en 1894. Or «c'est une chose que d'être académicien, ironise Alexandre Dratwicki. C'en est une autre que d'être académique». Une position qui, selon le chercheur, l'aura desservi jusqu'au bout: Dubois n'a eu le temps de se consacrer à sa musique qu'une fois atteint l'âge de la retraite, en 1905. De fait, nombre de ses compositions parurent has been pour l'époque.

Plus audacieux que Wagner

Mais il la doit aussi à son satané Traité d'harmonie. Geoffroy Jourdain, chef des Cris de Paris, a enregistré le Paradis perdu. Il se souvient de sa première rencontre avec l'équipe du Palazzetto. «Lorsqu'ils m'ont dit qu'ils avaient pensé à nous pour Dubois, j'ai souri. Comme tout le monde, je ne connaissais rien de sa musique. Je n'avais que le souvenir douloureux de ces heures passées à étudier son traité, qui enseigne l'harmonie comme on apprenait l'histoire ou la géographie au début du siècle dernier.» Pourtant, lui et ses chanteurs ont très vite été séduits par la richesse d'invention de sa musique. «Non qu'elle soit exempte de naïveté ou plus novatrice qu'un Debussy, mais, contrairement à la musique chorale de bien des compositeurs à venir, elle fourmille d'une multitude d'idées savamment organisées.» Pour Dratwicki, cette richesse d'invention n'a rien d'étonnant de la part de celui qui enseigna la composition à Guy Ropartz ou Florent Schmitt.
Tous les grands professeurs ne font pas de grands musiciens. Alexandre Dratwicki le sait, d'ici à ce que le «génie de Dubois» soit unanimement reconnu, la route est encore longue. Question de temps, espère-t-il. «Ceux qui mettent encore en doute la légitimité de Dubois sont le plus souvent incapables de citer un seul de ses titres.» Il leur donne rendez-vous dans quelques mois, après la parution de sa Symphonie no 2. Dans le final, le compositeur y ferait montre «de chutes chromatiques que même Strauss ou Wagner n'auraient pas osées.

Ses Å“uvres

La Guzla de l'émir, opéra-comique (Paris, 30 avril 1873)
Le Pain bis ou La Lilloise, opéra-comique (Opéra-Comique, 26 février 1879)
La Korrigane, ballet de Louis Mérante (Opéra, 12 janvier 1880)
La Farandole, ballet de Louis Mérante (Opéra-Comique, 14 décembre 1883)
Aben-Hamed, opéra (créé en italien - Théâtre du Châtelet, 16 décembre 1884)
Frithjof, opéra (1892)
Xavière, idylle dramatique qui se remarque par ses idées mélodiques (Opéra-Comique, 26 novembre 1895).
Musique vocale[modifier | modifier le code]
Les Sept Paroles du Christ (1867), oratorio dédié à l'abbé Jean-Gaspard Deguerry (1797-1871) curé de la Madeleine, fusillé en 1871 par les Fédérés à la prison de la Roquette
Le Paradis perdu, oratorio (1878) - Prix de la ville de Paris (livre d'Édouard Blau d'après Milton)
plusieurs cantates : L'enlèvement de Proserpine (sur un poème de Paul Collin), Hylas, Bergerette; Les Vivants et les Morts
des messes et des Å“uvres de musique religieuse.
Musique pour orchestre[modifier | modifier le code]
Marche héroïque de Jeanne d'Arc
Fantaisie triomphale pour orgue et orchestre
Hymne nuptial
Méditation, Prières pour cordes, hautbois, harpe et orgue
Concerto-Cappricioso pour piano
Concerto pour piano nº 2
Concerto pour violon
Notre-Dame de la Mer, poème symphonique
Adonis, poème symphonique
Symphonie française 1908
Fantasietta 1917.
Symphonie nº 2
Symphonie nº 3
Fantaisie pour harpe et orchestre

Musique pour orgue

De nombreuses pièces pour orgue et pour harmonium, dont :

Dix Pièces pour orgue ou harmonium (s. d.) : 1. Entrée (sol mineur) – 2. Entrée en forme de carillon (fa majeur) - 3. Offertoire (si mineur) - 4. Offertoire (mi majeur) -5. Élévation (ré majeur- 6. Élévation (si majeur) 7. Communion (sol bémol majeur) - 8. Communion (sol majeur) - 9. Sortie - Fughetta (ré majeur- 10.Sortie (la majeur.
Douze Pièces pour orgue ou piano-pédalier (1889) : 1. Prélude (fa majeur) – 2. Offertoire (mi majeur) – 3. Toccata (sol majeur) – 4. Verset de Procession (ré majeur) – 5. Offertoire (mi bémol majeur) – 6. Verset-Choral (la mineur) – 7. Fantaisie (mi majeur) – 8. Méditation (mi bémol majeur) – 9. Marche des Rois Mages (mi majeur) – 10. Offertoire (mi bémol majeur) – 11. Cantilène Nuptiale (la bémol majeur) – 12. Grand Chœur (si bémol majeur).
Messe de Mariage - Cinq pièces pour orgue (1891) : 1. Entrée du Cortège – 2. Bénédiction Nuptiale – 3. Offertoire – 4. Invocation – 5. Laus Deo (Sortie).
Douze Pièces Nouvelles pour orgue ou piano-pédalier (1893) : 1. Prélude (ré mineur) et Fugue (ré majeur) – 2. Chant Pastoral (do mineur) – 3. Cortège Funèbre (fa mineur – 4. La Fête-Dieu (do majeur) – 5. Canon (la bémol majeur) – 6. Alleluia (mi bémol majeur) – 7. Noël (la mineur) – 8. Fiat Lux (mi majeur) – 9. In Paradisum (sol majeur– 10. Offertoire (ré mineur) – 11. Thème Provençal varié (do mineur) – 12. Marche Triomphale (mi bémol majeur).
Sept Petites Pièces pour orgue: Prélude en ut mineur (1898) - Cantilène religieuse - Marcietta (1900) - Interlude (1900 Prière (1899) - Postlude-Cantique (1899) - Marche-Sortie 1900.
Deux Petites Pièces pour orgue ou harmonium 1910 : Petite pastorale champenoise et Prélude

Autres Å“uvres

Des pièces pour piano : Chœur et Danse des Lutins, Six poèmes sylvestres, etc.
De la musique de chambre : trios, quatuors, quintette, nonetto, dixtuor, etc.

Ses écrits

Notes et études d'harmonie pour servir de supplément au Traité d'harmonie de Reber, Paris, 1889.
Traité de contrepoint et de fugue par Théodore Dubois, Paris, Heugel, 1901.
Traité d'harmonie théorique et pratique, Paris, Heugel, s. d. 1921 Le copyright des Réalisations des basses et chants du Traité d'harmonie par Théodore Dubois réalisations de l'auteur, Paris, Heugel, est daté de 1921. Utilisé fréquemment au Conservatoire de Paris et ailleurs.
Souvenirs de ma vie, par Théodore Dubois, présentés par Christine Collette-Kléo, Lyon, Symétrie et Palazzetto Bru-Zane, 2009, 228 p.
Journal, par Théodore Dubois, présenté par Charlotte Segond-Genovesi et Alexandre Dratwicki, Lyon, Symétrie et Palazzetto Bru-Zane, 2012, 357 p.

Enregistrements

Théodore Dubois, concerto pour piano nº 2, Cédric Tiberghien, BBC scottish symphony orchestra, Andrew Manze - Hyperion 2013
Théodore Dubois, Organiste de Paris à la Belle Époque, Vol 1 (2004), Helga Schauerte-Maubouet, Orgue Merklin Cathédrale de Moulins (F) Syrius 141382.
Théodore Dubois, Messe solenelle de Saint-Rémi, Messe de la délivrance (2010), Chanteurs de Sainte-Thérèse, Nouveau Monde Philharmonic Chorus, Nouveau Monde Philharmonic Orchestra, Ottawa Classic Choir, Tremblant Chorus, Maria Knapik, soprano, Marc Boucher, baryton, Jean-Willy Kunz, orgue, Michel Brousseau, chef, ATMA

In Paradisum nº 9 des 12 Pièces Nouvelles pour orgue, 1893. Cette pièce illustre parfaitement le style romantique à l'orgue.

Registration :

Grand Orgue : Quintaton 8 solo
Positif : Bourdon 8
Récit expressif : Gambe et Voix Céleste
Pédalier : Bourdon 16
Tirasse Positif

Analyse :

L'œuvre se divise en trois sections enchaînées. Dans la première, le thème, exposé sur le Quintaton, est accompagné par le Bourdon à la main droite, qui développe des guirlandes d'accords arpégés, sur le rythme lent de la basse de pédale.
La seconde section est une douce méditation sur la Voix céleste donnant une impression d'élévation.
La dernière section reprend le thème initial mais cette fois, une voix supplémentaire s'ajoute à la partie soliste pour donner plus d'intensité à l'exposé final.

Liens

http://youtu.be/0OOexWlW1ok Tio Piano
http://youtu.be/toQjQo2WlT8 Toccata
http://youtu.be/1ShYSZ548EI Messe Brève
http://youtu.be/nkQEVE9HalM Messe pontificale


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Posté le : 23/08/2014 16:01

Edité par Loriane sur 24-08-2014 19:51:27
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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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