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Accueil >> newbb >> Pierre Alechinsky [Les Forums - Photographe/Peintre]

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Pierre Alechinsky
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Le 19 octobre 1927, à Schaerbeek Bruxelles, naît Pierre Alechinsky

peintre et graveur belge , qui réunit dans son œuvre expressionnisme et surréalisme, il est influencé par . Il est le père du poète Ivan Alechine et du sculpteur Nicolas Alquin. Il est Influencé par Jean Dubuffet et la calligraphie japonaise, il reçoit pour récompense la Légion d'honneur
Pierre Alechinsky devient très rapidement l'un des acteurs majeurs du monde artistique belge de l'après-guerre. Il fonde avec Olivier Strebelle et Michel Olyff dans une maison communautaire, les Ateliers du Marais. Après sa rencontre avec le poète Christian Dotremont, l'un des fondateurs du groupe CoBrA mouvement créé en 1948, regroupant des artistes issus de Copenhague, Bruxelles et Amsterdam, qui préconise un retour à un art plus provocant, agressif et audacieux, il adhère en 1949 à ce mouvement d'avant-garde artistique, rejoignant Karel Appel, Constant, Jan Nieuwenhuys et Asger Jorn. Il participe aussitôt à la Première exposition internationale de CoBrA au Stedelijk Museum.

Pendant la brève existence du groupe, il s'y implique très fortement, organisant des expositions, comme la « Deuxième exposition internationale d'art expérimental CoBrA au palais des beaux-arts de Bruxelles 1951, et contribuant à la réalisation de la revue CoBrA. Le rôle capital que joue pour lui le mouvement CoBrA tient autant aux personnes qu'aux idées défendues : spontanéité sans frein dans l'art, d'où rejet de l'abstraction pure et du réalisme socialiste, refus de la spécialisation.
Après la dissolution du groupe CoBrA, dont il perpétuera l'esprit CoBrA, c'est mon école, a-t-il pu dire, Pierre Alechinsky s'installe à Paris, où il va côtoyer les surréalistes. Il va compléter sa formation de graveur et s'initier à de nouvelles techniques à l'Atelier 17, dirigé par Stanley Hayter. C'est l'époque, à partir de 1952, où il se lie d'amitié avec Alberto Giacometti, Bram van Velde, Victor Brauner et où il commence une correspondance régulière avec le calligraphe japonais Shiryu Morita de Kyōto.

En bref

Il entre en 1944 à l'École des arts décoratifs de Bruxelles, figure en 1945 dans les rangs de la Jeune Peinture belge et expose des peintures sur papier à la gal. Lou Cosyn. Il fait l'année suivante un premier séjour à Paris, où il s'installera en 1951, et grave les 9 eaux-fortes des Métiers. En 1949, il est le plus jeune membre de Cobra, groupe d'artistes septentrionaux désigné par les premières lettres de Copenhague, de Bruxelles et d'Amsterdam, et actif de 1948 à 1951. Il perfectionne son métier de graveur et travaille avec Hayter à l'Atelier 17 en 1952 ; la même année, il est en relations épistolaires avec des artistes japonais de Kyōto et, en 1955, il réalise au Japon un film, Calligraphie japonaise. De 1951 à 1954 env., sa peinture relève d'une abstraction libre, de grands signes couvrant toute la surface de la toile. Il adopte ensuite une figuration allusive, en quelque sorte avortée, où ses qualités de dessinateur et de coloriste sont également exploitées Paroles infantiles, 1961, Oslo, Sonja Henie-Niels Onstad Foundations. La mobilité d'écriture des dessins à l'encre d'Alechinsky le Tout-Venant, 1966 — dans lesquels le trait, constamment rompu et repris, décrit entrelacs et arabesques — témoigne d'une affinité avec l'art extrême-oriental, dont il observe la méthode de travail, debout, le support posé horizontalement à terre. En 1965, il fait un séjour aux États-Unis et commence à pratiquer la peinture acrylique sur papier auprès de Walasse Ting ; il inaugure aussi un nouveau procédé de composition, le thème du tableau entouré de " remarques marginales ", suite de petits motifs en noir ou en couleurs analogue à une bande dessinée. L'acrylique permet des effets de taches colorées et fluides rappelant celles des encres lithographiques, qu'il exploite avec une égale virtuosité à des fins décoratives et expressives, Vulcanologie, suite de lithos, 1970 ; Micky, encre, 1972. Si l'irréalisme poétique de l'artiste est proche parfois de celui de Jorn et de Pedersen, membres danois de Cobra, l'humour primesautier, sarcastique ou agressif distingue les compositions d'Alechinsky, dans lesquelles des formes à l'état naissant, encore mal différenciées, mènent une vie sauvage et exubérante Melmoth, 1970 ; Enfenestré, 1989. Il présente en 1984 à la galerie Maeght une série d'Encres à bordures, tableaux de très grand format constitués d'un espace rectangulaire central traité en noir et blanc largement entouré de marges peintes en couleurs. Au même endroit, en 1986, il montre des peintures où le motif circulaire domine estampages de plaques du service des eaux de diverses villes du monde et cercles chromatiques d'inspiration extrême-orientale. Illustrateur de poètes J. Mansour, L. Scutenaire, M. Butor, A. Chavée, il a réalisé avec C. Dotremont des logogrammes-dessins 1972 et avec Appel des Encres à deux pinceaux 1976. Ses peintures à " remarques marginales " ont fait l'objet d'une grande exposition au Guggenheim Museum, New York, en 1987. Il est représenté dans de nombreux musées : Amsterdam Stedelijk Museum, Berlin N. G., Bruxelles M. R. B. A., Cologne W. R. M., New York M. O. M. A., Guggenheim Museum, Paris M. N. A. M., Rome G. A. M., Venise fondation Peggy Guggenheim. Alechinsky est aussi l'auteur du décor d'un salon du ministère de la Culture, et de celui du ministère de l'Éducation nationale, à Paris. Il a aussi pratiqué la gravure. Ses dessins et aquarelles 1960-1995 ont été présentés Paris, gal. Lelong en 1995.

Sa vie

Le père de Pierre Alechinsky est un juif russe et sa mère est wallonne. Tous deux sont médecins. Dans les années 1930, Alechinsky étudie à l'école Decroly à Bruxelles, il est un étudiant modéré. On oblige l’enfant gaucher à écrire de la main droite. La gauche, sa meilleure main, les éducateurs la lui laisseront pour les travaux de moindre importance : le dessin...
De 1944 à 1948, il étudie l'illustration du livre, la typographie, les techniques de l'imprimerie et la photographie à l'École nationale supérieure d'Architecture et des Arts visuels de La Cambre à Bruxelles. C'est pendant cette période qu'il découvre l'œuvre d'Henri Michaux, de Jean Dubuffet et des surréalistes. Il rencontre et se lie d'amitié avec le critique d'art Jacques Putman, qui consacrera de nombreux écrits à son œuvre. Il commence à peindre en 1947 et fait alors partie du groupe Jeune Peinture belge, qui réunit notamment Louis Van Lint, Jan Cox, et Marc Mendelson.

En 1948, Alechinsky rencontre le poète Christian Dotremont et adhère au groupe Cobra, dont il adopte totalement les principes combatifs : opposition aux froids calculs de l'abstraction comme aux spéculations misérabilistes du réalisme socialiste et rejet de l'imagerie des surréalistes. Refusant la banalité de l'environnement quotidien, il élabore dès lors une œuvre d'une grande liberté formelle, outrancièrement colorée, d'une violence primitive, qui retrouve les anciens mythes et libère sur la toile un bestiaire sauvage, Migration, 1951 ; La Fourmillière, 1954 ; Les Grands Transparents, 1958 ; Gardien, 1980 : ce sont encore aujourd'hui les dominantes de son œuvre.
En 1951 Alechinsky rencontre à Paris, où il se fixe désormais, le peintre chinois Walasse Ting, qui l'initie à la technique picturale de son pays : le papier est au sol, le corps debout, tout entier mobilisé, suit totalement l'impulsion du pinceau tout en la contrôlant. Quatre ans plus tard, lors d'un voyage en Extrême-Orient, Alechinsky réalise un film sur la calligraphie japonaise. En 1965, le peintre est à New York, où il découvre un nouveau medium, l'acrylique, avec lequel il se sent en parfait accord Central Park, première peinture acrylique. Penché sur le papier, qu'il maroufle ensuite sur la toile, contrôlant parfaitement ses gestes, l'artiste élabore à l'aide d'un pinceau japonais un monde fascinant de figures, monstres aimables et frondeurs, animaux contrefaits, gnomes ou lutins, pelures d'orange, dragons, champignons, éruptions volcaniques, entrelacs de courbes et de spirales, en de grandes images centrales entourées d'une ceinture de graffiti, qui les explicitent. Les uns et les autres peuplent les récits d'une histoire fantastique, où le peintre cherche, dit-il, à se retrouver dans l'élément premier, partager la solitude, accompagner d'un trait d'encre la vie d'une goutte d'eau. De très nombreuses expositions jalonnent la carrière de Pierre Alechinsky depuis la première au musée des Beaux-Arts de Bruxelles en 1955 : en 1977, rétrospective au Carnegie Institute, à Pittsburgh, présentée par Ionesco, en 1987 au Guggenheim Museum New York où étaient réunies les peintures à notes marginales, à la galerie nationale du Jeu de Paume en 1998 et, en 2007, la rétrospective aux Musées royaux de Bruxelles intitulée Alechinsky de A à Z, organisée à l’occasion des quatre-vingts ans de l’artiste.
Illustrateur de gravures à l'eau forte pour ses amis poètes et écrivains Christian Dotremont, Joyce Mansour, Jean Tardieu, Roger Caillois, Yves Bonnefoy, il est lui-même l'auteur d'un certain nombre de textes, où l'on retrouve la verve colorée, l'humour, la spontanéité et l'imagination toujours en éveil du peintre Les Poupées de Dixmude, 1960 ; Idéotraces, 1960 ; Roue libre, 1971 ; L'Autre Main, 1988 ; Lettre suit, 1992 ; Baluchon et ricochets, 1994 ; Remarques marginales : dits et inédits, 1997 ; Le Pinceau voyageur, 2002 ; Des deux mains, 2004 ; Rein, comme si de rien, 2009. Enfin, Alechinsky a réalisé quelques décorations dans des édifices publics : en 1985, le salon d'attente du ministère de la Culture ; en 1993, la petite rotonde de l'Assemblée nationale à Paris ; en 1998, un mural en lave émaillée dans l’entrée du nouveau théâtre de Belgique à Bruxelles.

Une œuvre dominée par le mouvement incessant qui accompagne l'acte de peindre, un univers en perpétuelle mutation qui engendre, au mépris de toute vraisemblance, des formes et des figures appartenant au domaine du fabuleux, des couleurs éclatantes, telles sont les caractéristiques des travaux de Pierre Alechinsky, qu'il s'agisse de peintures, de gravures ou de dessins.
Alechinsky a étudié la publicité, l'illustration de livres, la typographie et la photographie à l'École nationale supérieure d'architecture et des arts décoratifs La Cambre. Il s'initie également à la gravure, technique qu'il perfectionnera plus tard dans l'atelier de Hayter à Paris. En 1945, Alechinsky entre dans le groupe de la Jeune Peinture belge. Sa première exposition personnelle a lieu à Bruxelles, des filles qu'il monstrifie, dit-il ; et ses œuvres se ressentent alors profondément de l'expressionnisme nordique.

La consécration

En 1954, il fait la connaissance du peintre chinois Walasse Ting, qui aura une grande influence dans l'évolution de son œuvre.
Alechinsky présente, cette même année, sa première exposition personnelle à la galerie Nina Dausset, à Paris. Sa première grande exposition est organisée en 1955 au Palais des beaux-arts de Bruxelles. En 1958, c'est l'Institute of Contemporary Arts de Londres qui accueille ses œuvres, Alechinsky : encres. En 1960, lors de la XXXe Biennale de Venise, il expose au Pavillon belge.
Il abandonne progressivement l'huile pour des matériaux plus rapides et plus souples comme l'encre, qui lui permet de donner libre cours à un style fluide et sensible. Fasciné par la calligraphie orientale, dont la spontanéité l'attire, il effectue plusieurs voyages en Extrême-Orient et tourne en 1955 à Kyōto un film documentaire sur cet art traditionnel japonais Calligraphie japonaise. Même si La nuit, Ohara Museum of art, Kurashiki - 1952 contient déjà cette inspiration de l'Extrême-Orient par la rencontre entre signe et écriture hors du champ de la couleur, le film Calligraphie japonaise, monté en 1958, témoigne de l'impact de cette découverte sur sa propre technique. Christian Dotremont en a écrit le commentaire et André Souris la musique.
Soutenu par la Galerie de France, il effectue, à partir des années 1960, de fréquents séjours à New York, où il découvre en 1965 une technique qui lui conviendra bien, la peinture acrylique, à laquelle l'initie Walasse Ting. Cette même année, il crée son œuvre la plus célèbre Central Park, avec laquelle il inaugure la peinture à remarques marginales, inspirée de la bande dessinée2, où l'image centrale est entourée, sur les quatre côtés, d'une série de vignettes destinées à compléter le sens du tableau. L'interaction entre les deux zones est à la fois énigmatique et fascinante.
Toujours en 1965, André Breton, un an avant sa mort, invite Pierre Alechinsky à participer à la Xe Exposition internationale du Surréalisme, L'Écart Absolu.
Il illustre le Traité des excitants modernes d'Honoré de Balzac en 1989. Le livre, accompagné d'une postface de Michel Butor est publié par Yves Rivière.
En 1998 La Galerie nationale du Jeu de Paume, à Paris lui consacre une exposition. En 2004, nouvelle exposition au Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou, Paris
En 1992, on lui confie la décoration de la rotonde d'accès de l'Hôtel de Lassay à l'Assemblée Nationale3.
En avril 2006, il est fait chevalier de la Légion d'honneur en France.
En 2006, dans Trou revue d'art no 16, paraît le travail Main courante qu'il a créé spécialement pour cette revue et dont l'édition de tête contient une eau-forte intitulée Temps passé tirée sur des feuilles d'un ancien registre des douanes françaises.
De décembre 2007 à mars 2008, à l'occasion des quatre-vingts ans d'Alechinsky, les Musées royaux des beaux-arts de Belgique de Bruxelles lui rendent hommage à travers une exposition rétrospective de l'ensemble de la carrière de l'artiste et c'est à cette occasion qu'il déclara que l'Art actuel n'est qu'une question de relation.
La galerie Lelong à Paris représente et expose régulièrement l'œuvre de Pierre Alechinsky depuis 1979.
Il a fait partie des jurys chargés du jugement des œuvres et projets présentés aux Prix Godecharle.

Œuvres

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. 1965: Central Park, acrylique sur papier marouflé sur toile, 162 x 193 cm.4 Cette toile a été pour P.Alechinsky le grand tournant de son aventure picturale, comme un déclic. Du haut de son atelier new-yorkais du 35° étage avec une vue sur le Central Park, en observant les méandres des chemins, les rochers et les pelouses de ce parc, il a cru entrevoir une gueule d'un monstre.
C’est sa première peinture acrylique où il installe la prédelle, les remarques générales qui sont devenues pour lui nécessaires voire essentielles pour compléter ou expliquer l’œuvre centrale.

1968 : Coupe sombre, acrylique, parchemin sur toile, 100 × 244 cm. Musée Ludwig, à Cologne.
1970 : Loup, encre sur papier manuscrit d'archive, signée et datée à l'encre rouge en bas au centre, 39 × 23 cm. Musée d'Évreux.
1976 : Action privilégiée, aquarelle et dessin sur papier, signée et datée à l'encre rouge en haut à gauche, 34 × 24 cm. Musée d'Évreux.
1980-1983 : Al alimón, série d'aquarelles, dessins et acrylique, peinture acrylique, encre de Chine, 12 œuvres réalisées en collaboration avec le peintre mexicain Alberto Gironella, format moyen entre 59-95 × 63–98 cm, collection particulière.
1985 : Album et bleu, 48 dalles de lave émaillées sur un socle en béton, au Musée en plein air du Sart-Tilman Université de Liège.
Paysage calciné, huile sur toile, 114 × 146 cm5.
1992 : Les fresques de la rotonde, reliant le Palais- Bourbon et la Galerie des Fêtes à l'Assemblée nationale France, s’articulant autour du thème défini par l’inscription du poète Jean Tardieu : Les hommes cherchent la lumière dans un jardin fragile où frissonnent les couleurs.
1991 : Petite falaise illustrée, plaques de lave émaillée. Décor mural extérieur réalisé pour le musée Pierre André Benoit à Alès qui conserve une vingtaine d'oeuvres de l'artiste.

Expositions

Alechinsky à l'Arte Fiera de Bologne du 22 au 30 mai 1976.
Alechinsky et les éditions Fata Morgana ; Musée de l'hospice Saint Roch, 36100 Issoudun, du 15 juin 2011 au 15 septembre 20116
Genève, Galerie Sonia Zannettacci, Alechinsky — Au fil de l’encre, 20 janvier-19 mars 2011. Catalogue, texte de Daniel Abadie.
Silkeborg, Museum Jorn, Pierre Alechinsky — Flora Danica, 23 janvier-22 mai 2011.
Bédarieux, espace d'art contemporain, Alechinsky – les affiches. 10 juin – 2 octobre 2011.
Peter et Pierre. Alechinsky, 40 ans de lithographies avec Peter Bramsen, Musée de la Cohue 56000 Vannes, du 7 novembre 2009 au 24 janvier 20107.
Alechinsky : Ronds, Galerie Lelong, 75008 Paris, du 16 octobre au 21 novembre 20098.
Alechinsky, les Affiches, Musée de Gajac, 47300 Villeneuve-sur-Lot, du 26 juin au 11 octobre 20099.
Alechinsky : les Ateliers du Midi, Musée Granet, 13100 Aix-en-Provence, du 5 juin au 3 octobre 201010.
Alechinsky : L’œuvre gravée, Galerie Pascal Lainé, 84560 Ménerbes, du 7 juillet au 8 août 201211
Svendborg, Danemark, Villa Tarnborg & Galleri DGV, Pierre Alechinsky. Avril 2012.Catalogue, texte de Lars Morell
Paris, Galerie Lelong, À contre vent. 6 septembre – 3 novembre 2012. Catalogue, texte de Hélène Cixous
Guyancourt, salle d'exposition, Alechinsky – les affiches. 12 septembre–14 octobre 2012.
Exposition P. Alechinsky, Galerie Grand’Rue,Poitiers, 2012
Noir et blanc, collège Marcelin Berthelot, Nogent-sur-Oise, 2012
Saché, Musée Balzac, Alechinsky et le traité des excitants modernes, 1er juin - 29 septembre 2013
Centre d’art graphique de la Métairie Bruyère, Parly, Yonne 2013
Galerie Pascal Lainé, Ménerbes du 7 octobre 2013 au 12 janvier 2014 exposition collective
Pierre Alechinsky en Bataille,Galerie Bordas, mai-juin 2014, catalogue, Venise, 2014
Au fil du pinceau, Château Lynch-Bages, Pauillac. Du 22 mai au 31 octobre 2014

Ouvrages contenant ses œuvres
Monographies :

Le tout venant, Galerie de France, 1966
Roue libre, Éditions Skira, 1971
Les estampes de 1946 à 1972, Éditions Yves Rivière, 1973
" Alechinsky " par Yves Rivière, Galerie de France, 1976

Peintures et écrits, Arts et métiers graphiques, 1977

Ensortilèges, Éditions Fata Morgana, 1984
Max Loreau, Le mythe amplifié,Ed. Galerie Lelong, 1984
Pierre Descargues, Alechinsky, Bouches et Grilles., Galerie Lelong, Paris, 1986
Michel Butor et Michel Sicard, ABC de correspondance, Galerie Lelong, Paris, 1986
Jacques Dupin, Alechinsky, Laves émaillées , Galerie Lelong, Paris, 1988
Petites huiles, Galerie Lelong, 1990
Lettre suit, Gallimard, 1992
Gérard Macé, Alechinsky, Suite d'arbres, ,Paris : Galerie Lelong,
L'Avenir de la propriété, Éditions Fata Morgana, 1992
Baluchon et ricochets, Éditions Gallimard, 1994
Travaux à deux ou trois, Éditions Galilée, 1994
Plans sur la comète, Éditions l'Échoppe, 1994
D'encre et d'eau, Éditions Yves Rivière, 1995
Entre les Lignes, Éditions Yves Rivière, 1996
Deux pinceaux dans le sable, Éditions Actes Sud, 1997
Rue de la verrerie, Éditions l'Échoppe, 1997
Cobra et le bassin parisien, Éditions l'Échoppe, 1997
Parfois répondre à un questionnaire, Éditions l'Échoppe, 2003
Carnets en deux temps, Buchet-Chastel, 2004 (ISBN 978-2-283-02050-0)
Des deux mains : traits et portraits, Mercure de France, 2003
Rein, comme si de rien, Éditions Fata Morgana, 2009
La gamme d'Ensor, Éditions Fata Morgana, 2009

Ouvrages en collaboration

Jean-Jacques Levêque, Pierre Alechinsky , L'Espace d'un doute, Éditions PAB, 1967
Joyce Mansour, Pierre Alechinsky , Le Bleu des fonds, Editions Le Soleil Noir, 1968
Jean-Clarence Lambert et Pierre Alechinsky, Laborinthe : Code 2 Bibliopus, Éditions G. Fall, 1973
Roger Caillois et Pierre Alechinsky, Un Mannequin sur le trottoir, Éditions Y. Rivière, 1974
Michel Butor et Pierre Alechinsky, Le Rêve de l'ammonite, Éditions Fata Morgana, 1975
Emil Cioran et Pierre Alechinsky, Essai sur la pensée réactionnaire : à propos de Joseph de Maistre, Éditions Fata Morgana, 1977
Odysseas Elytis, Jacques Lacarrière, et Pierre Alechinsky , Les Clepsydres de l'inconnu : Poèmes Dioscures, Éditions Fata Morgana, 1980
Jean Frémon : Pierre Alechinsky, Notes et remarques sur le motif, derrière le Miroir N 247, Galerie Maeght, 1981
Jorge Luis Borges et Pierre Alechinsky ill., Treize poèmes Dioscures, Éditions Fata Morgana, 1983
Pierre Alechinsky et Gilbert Lascault, Arrondissements : Avec, pas à pas, leurs légendes, Éditions D. Lelong, 1983
Michel Butor et Pierre Alechinsky, Le Chien roi, Éditions D. Lelong, 1984
Roger Caillois et Pierre Alechinsky, La Lumière des songes, Éditions Fata Morgana, 1984
Jacques Dupin et Pierre Alechinsky ill., De singes et de mouches,Éditions Fata Morgana, 1983
Christian Dotremont et Pierre Alechinsky, Commencements lapons, Éditions Fata Morgana, 1985
Pierre Alechinsky et Françoise Armengaud, Titres, Éditions Méridiens-Klincksieck, 1988
Pierre Alechinsky et Christian Dotremont, Dotremont et Cobra-forêt, Éditions Galilée, 1988
André Pieyre de Mandiargues et Pierre Alechinsky, Les portes de craie, RLD, 1989
Pierre Alechinsky et Michel Sicard, Extraits pour traits, Éditions Galilée, 1989
Jean Frémon : Eclipses, gravures de Pierre Alechinsky, Fourbis, 1990
Michel Sicard, Pierre Alechinsky, et Uffe Harder, Flore danoise, Ateliers Dutrou, 1991
Pierre Alechinsky, Roger Caillois et Amos Kenan, Alechinsky, travaux d'impression, Éditions Galilée, 1992
Gérard Macé et Pierre Alechinsky, Choses rapportées du Japon, Éditions Fata Morgana, 1993
Daniel Abadie, Toiles, grès et porcelaines, Ed. Galerie Lelong, Paris, 1994,
Jean-Yves Bosseur et Pierre Alechinsky, La plume : Pour orchestre d'harmonie, Éditions Actes Sud, 1995
Pierre Alechinsky et Jean Tardieu, Le jardin fragile, Éditions Gallimard, 1995
Pierre Bettencourt et Pierre Alechinsky, La planète Aréthuse, Ateliers Dutrou, 1996
Luc de Heusch, Pierre Alechinsky et Adolphe Nysenholc, Cobra en Afrique, Éditions de l'Université de Bruxelles, 1997
Salah Stétié et Pierre Alechinsky, 5 dans ton œil, Atelier Dutrou, 1998
Jean Clair, Alechinsky, Sur le vif, Ed. Galerie Lelong, Paris, 1999,
James Ensor, Pierre Alechinsky, Gisèle Ollinger-Zinque, Ensor, Musées royaux des beaux-arts de Belgique, 1999
Pierre Daix et Pierre Alechinsky, Pierre Alechinsky, Éditions Ides et Calendes, 1999
Pierre Alechinsky et Gérard Mans, Hors cadre: Choix de textes, Labor, 2000
Pierre Bettencourt et Pierre Alechinsky, Les nonnes grises, Atelier Dutrou, 2002
Pierre Dumayet et Juan Manuel Bonet, Alechinsky, Le pinceau même, Ed. Galerie Lelong, Paris, 2001,
Erik Satie et Pierre Alechinsky, Indications de jeu, La Pierre d'Alun, 2003
Dominique Radrizzani et Pierre Alechinsky, Carnets en deux temps, Les Cahiers dessinés, 2004
Georges Bataille et Pierre Alechinsky, Lettre à René Char sur les incompatibilités de l'écrivain, Éditions Fata Morgana, 2005
René de Obaldia et Pierre Alechinsky, Terrils, Paris : Galerie Lelong, 2006
Pierre Alechinsky et Charles Fourier, Harmonie aromale des astres, Éditions Fata Morgana, 2006
Julien Gracq et Pierre Alechinsky, Plénièrement suivi de Une journée chez Eliza, Éditions Fata Morgana, 2006
Marcel Proust, Pierre Alechinsky ill., Journées de lecture, Éditions Fata Morgana, 2006
Blaise Cendrars, Pierre Alechinsky ill., La Légende de Novgorode, Éditions Fata Morgana, 1996
Ivan Alechine, Christian Dotremont, et Pierre Alechinsky ill., Tapis et caries, Éditions Fata Morgana, 2006
Daniel Abadie et Pierre Alechinsky, Alechinsky, Éditions de Campredon-Maison René Char, 2006
Pierre Dumayet et Pierre Alechinsky, À la recherche du féminin : Abécédaire, Éditions L'Échoppe, 2006
René de Obaldia et Pierre Alechinsky, Terrils, Galerie Lelong, 2007
Pierre Alechinsky et Frédéric Charron, Alechinsky : les affiches, Catalogue raisonné des affiches, Éditions Ides et Calendes, collection Catalogues raisonnés , 2007
Hélène Cixous et Pierre Alechinsky, Ciguë : Vieilles femmes en fleurs, Éditions Galilée, 2008
Jean-Clarence Lambert et Pierre Alechinsky, Cobra, un art libre : Précédé de Cobra dans le rétroviseur, Éditions Galilée, 2008
Daniel Abadie, Ronds, Ed.Galerie Lelong, Paris, 2010,
Pierre Alechinsky et Dominique Radrizzani, Enfance de la majuscule, Fontfroide, Éditions Fata Morgana, 2010
Dominique Radrizzani, Alechinsky : Flora Danica, Paris, Les Cahiers dessinés, 2011

Récompenses et distinctions

2010 : docteur honoris causa de l'université de Liège

Collection publique
Canada

Agnes Etherington Art Centre
Art Gallery of Ontario
Musée des beaux-arts du Canada
Musée Laurier
Musée d'art de Joliette

Liens

http://youtu.be/jgiNMyutXBM?list=PLCB079FA36BD930CF 9 vidéos
http://youtu.be/U42n3yVnZ4U Diaporama


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Posté le : 18/10/2014 21:58
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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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