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Carl Orff
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Le 29 mars 1982 meurt à 86 ans, Carl Orff à Munich

compositeur allemand né le 10 juillet 1895 à Munich. Son œuvre la plus connue est Carmina Burana.
Ses Å’uvres principales sont : Carmina Burana en 1937, Catulli Carmina en 1943, Trionfo di Afrodite en 1953
D'abord chef d'orchestre, il compose entre 1920 et 1935 des opéras, des poèmes symphoniques et des cantates tout en élaborant un système d'éducation musicale, méthode active créée pour les enfants et qui offre une alternative au solfège traditionnel. En 1937, il connaît le triomphe avec les Carmina Burana.
Il eut notamment comme élèves le compositeur allemand Werner Egk et le compositeur néo-zélandais Edwin Carr.

En bref

Carl Orff se présente comme l'une des figures les plus originales de la musique du XXe siècle : autodidacte en marge de son temps, il a connu, avec Carmina burana, l'un des plus grands succès remportés par un compositeur de son vivant.
Né à Munich le 10 juillet 1895, il étudie très tôt le piano, l'orgue et le violoncelle. Il commence à composer, tout en effectuant ses études secondaires. À l'Akademie der Tonkunst de sa ville natale, il est l'élève de Anton Beer-Walbrunn et de Paul Zilcher. Puis il dirige les Münchner Kammerspiele (1915-1917), est mobilisé de 1917 à 1918, puis engagé comme chef d'orchestre aux théâtres de Mannheim et de Darmstadt (1918-1919). À partir de 1920, il commence à enseigner la musique tout en suivant les cours de composition de Heinrich Kaminski (1921-1922). L'année 1924 marque une étape essentielle dans sa carrière : il fonde, avec Dorothee Günther, l'École de gymnastique, de musique et de danse de Munich. De son enseignement naîtra le Schulwerk (1930), méthode pédagogique de la musique, entièrement nouvelle, qui fera le tour du monde. À la même époque, il s'intéresse à la musique ancienne et arrange plusieurs ouvrages de Claudio Monteverdi. De 1930 à 1933, il prend la direction de la Société Bach de Munich.
Le succès de Carmina burana, en 1937, l'incite à détruire la plupart de ses œuvres antérieures. Il choisit une écriture simple, essentiellement orientée vers le théâtre. De la tragédie grecque au conte de fées, du mystère médiéval à la comédie populaire bavaroise, tous les aspects originels de la dramaturgie revivent dans sa production, animée par la volonté de mettre en œuvre un théâtre total. De 1950 à 1955, il enseigne la composition à la Hochschule für Musik de Munich, et consacre les dernières années de sa vie à la rédaction d'une autobiographie. Il meurt dans sa ville natale le 29 mars 1982

Sa vie

Issu d'une famille de militaires, Carl Orff, fils de parents bons musiciens, fait vite preuve dans sa jeunesse d'intelligence et de curiosité. Plus tard, il ne rencontre pas de difficultés dans ses études musicales bien qu'il ne supporte pas l'académie de musique de Munich. Là encore, il ne s'entend pas toujours avec ses professeurs. Ces années d'études n'en seront pas moins fécondes. Il compose un opéra, Gisei, tiré d'une pièce japonaise et légèrement influencé par Claude Debussy.

Carrière musicale

En 1916, il prend des leçons d'interprétation avec Hermann Zilcher. La même année, il est nommé chef d'orchestre et directeur musical des Münchner Kammerspiele. Il prend part à la guerre en 1917, mais est démobilisé en raison d'une blessure. De retour du front, il est nommé directeur musical et chef d'orchestre des opéras de Mannheim et Darmstadt.
Après la guerre, désireux d'associer le texte, la musique et le mouvement, il se consacre à l'étude et à la composition. Il abandonne ses fonctions à l'opéra de Darmstadt. En 1920, il épouse Alice Solscher dont il aura une fille, Godela 1921-2013. Il se mariera quatre fois, sa dernière épouse étant Liselotte Schmitz 1930-2012.
Intéressé par la musique de son temps et notamment par celle d'Arnold Schoenberg, il n'éprouve cependant rien pour la musique atonale. Il se passionne surtout pour la Renaissance italienne : il adapte en allemand le Lamento d'Ariana, adapte et édite L'Orfeo et le Ballo delle Ingrate de Claudio Monteverdi pour instruments modernes.
En 1924, avec la danseuse Dorothee Günther, il fonde une école de danse : la Güntherschule. C'est dans cette école que naîtra le concept de l'Orff-Schulwerk. Carl Orff a toujours considéré cette démarche pédagogique comme faisant partie intégrante de son œuvre musicale. Entre 1935-1936, il crée au vieil opéra de Francfort son plus grand succès : Carmina Burana, œuvre inspirée de poèmes du Moyen Âge retrouvés dans l'abbaye de Beuren, près de Munich. Carmina Burana est l'une des œuvres classiques les plus jouées au monde. Elle a inspiré de nombreux artistes : des groupes musicaux comme Magma ou Era et des artistes de variété comme Nana Mouskouri Ave verum. En 1939, Carl Orff écrit Der Mond La Lune et en 1942 Die Kluge La Femme avisée tous deux inspirés par les Contes de Grimm.

En 1943, il compose les Catulli Carmina et, en 1953, pour compléter ce triptyque païen Trionfi, le Trionfo di Afrodite. On lui doit aussi la composition des Veni Creator Spiritus 1954, cantate d'après le livret de Franz Werfel pour chœur mixte, pianos et instruments à percussion, mouvements de chœur d’après le livret de Bertolt Brecht pour chœur, trois claviers et percussions. Par la suite, il n'écrit plus que pour le théâtre musical des pièces telles que Antigone ou De temporum fine comoedia, sa dernière œuvre, qui reviennent aux formes du théâtre sacré avec des danses rituelles. En 1961, il fonde son école, l'Institut Orff, au Mozarteum de Salzbourg, puis donne des conférences pour présenter son concept pédagogique, le Orff-Schulwerk.

Carl Orff meurt le 29 mars 1982. Selon son souhait, il a été inhumé dans une chapelle du monastère d'Andechs, en Bavière où un festival1 Orff in Andechs lui est consacré tous les ans.

Orff durant la période nazie

La question du positionnement de Carl Orff durant les années 1930-40 est très discutée.
D'abord sa musique fut rejetée, puis récupérée par le IIIe Reich. Sa composition Carmina Burana en est un exemple. Très mal perçue lors de la première à Francfort en 19373, elle a ensuite connu un grand succès auprès du public mais aussi du pouvoir de l'époque. Par ailleurs, il a été reproché à Orff d'avoir répondu à l'appel officiel de composer une nouvelle musique de scène pour Le Songe d'une nuit d'été, la partition de Felix Mendelssohn ayant été interdite du fait des origines juives du compositeur. Les défenseurs d'Orff firent valoir par la suite qu'il avait déjà composé la musique de cette pièce entre 1917 et 1927, soit bien avant la commande des autorités de l'époque. On notera néanmoins que certaines paroles de la cantate Carmina Burana à l'égard du pouvoir peuvent surprendre en cette période troublée, ce qui plaide en la faveur du compositeur.
Après la Guerre, Carl Orff a prétendu avoir appartenu au mouvement de résistance Die Weisse Rose La Rose blanche, qui fut notamment animée par un de ses amis, Kurt Huber, condamné à mort par le Volksgerichtshof Tribunal du peuple et exécuté en 1943. Pourtant, le jour de l'arrestation d'Huber, son épouse pria Orff d'user de son influence auprès des autorités pour aider son mari, mais Orff refusa. Par la suite, la femme d'Huber refusa de le revoir. Culpabilisé, Orff écrira une lettre dédiée à son ami défunt pour lui demander pardon.

À l'exception du Schulwerk et du triptyque d'après Monteverdi – Klage der Ariadne sur le Lamento d'Ariane, 1925-1940, Orfeo 1923-1939, Tanz der Spröden sur le Ballo delle Ingrate, 1925-1940 réunis en 1958 sous le titre général de Lamenti –, Carl Orff a détruit ou interdit ses autres œuvres antérieures à Carmina burana 1935-1936. Cette cantate scénique doit donc être considérée comme le point de départ de sa démarche esthétique, bien que l'on sache, par différents écrits, qu'il avait composé un premier opéra, Gisei 1913, marqué par l'influence de Claude Debussy. Par la suite, l'esthétique de Richard Strauss et celle d'Arnold Schönberg lui auraient servi de guide avant qu'il ne trouve sa voie véritable dans ses recherches pédagogiques et auprès des maîtres anciens. Carmina burana s'adapte aussi bien au concert qu'à la scène. Elle comporte une action mimée facultative. Le texte – en latin estudiantin du XIIIe siècle – chante les louanges du vin, des femmes et de l'amour. Il repose sur un manuscrit de 1280 conservé au monastère de Beuron. Avec Catulli Carmina d'après Catulle, 1942 et Le Triomphe d'Aphrodite 1950-1951, Carmina burana forme le triptyque des Trionfi, essentiel dans la production de Carl Orff. Il y reprend des procédés d'écriture anciens pour donner davantage de force à l'expression, toujours simple et directe. L'harmonie ne s'embarrasse d'aucune recherche, excluant la modulation. Orff fait revivre de vieilles monodies et les adapte au contexte du XXe siècle, grâce à un contrepoint dissonant et à une instrumentation colorée que domine une abondante percussion. Mais l'essentiel de son apport est constitué par le lien qui unit le texte à la musique : la mélodie épouse étroitement le rythme de la phrase ; elle se déroule dans un style incisif où la répétition et la variété rythmique jouent un rôle déterminant. La pluralité des langues utilisées Catulli Carmina accentue la force dramatique de l'ensemble.

Avec Der Mond La Lune, d'après Grimm, 1937-1938 et Die Kluge L'Épouse sage, 1941-1942, Orff aborde le domaine du conte de fées. À l'exubérance des Trionfi succède la fantaisie. Mais les moyens restent les mêmes, en marge de l'évolution esthétique du XXe siècle : Orff se tourne délibérément vers les sources de la dramaturgie européenne. Die Bernauerin Agnès Bernauer, 1944-1945 et Astutuli 1945-1952 lui permettent d'aborder la comédie populaire bavaroise, mettant en musique la langue et les danses traditionnelles de son pays natal. Antigone 1947-1948, Œdipe le tyran 1957-1959 et Prométhée 1963-1967 constituent sa trilogie grecque antique, qui révèle le visage méditerranéen de Carl Orff, à la recherche d'une culture qu'il a découverte chez Monteverdi et abordée dans les Trionfi. La rupture avec l'opéra traditionnel est encore plus forte : la musique se simplifie à l'extrême et s'efface derrière le texte, qui devient une déclamation où la hauteur du son n'est plus exactement notée Antigone, avant d'arriver à une récitation monocorde Œdipe le tyran. Comoedia de Christi resurrectione jeu pascal, 1955, Ludus de nato Infante mirificus jeu de Noël, 1960 et De temporum fine comoedia jeu pour la fin des temps, 1969-1979 renouent avec la tradition du mystère chrétien médiéval et complètent une approche dramatique originale en quête d'universalisme.

Carl Orff a toujours refusé l'opéra traditionnel. Il lui préfère le théâtre musical où l'action dramatique et la musique sont étroitement liées, en dehors de toutes conventions. Seul ce retour aux formes originelles pouvait lui permettre de trouver un cadre crédible où s'impose cette langue forte et dépouillée : Plus le message est simple et significatif, plus l'effet est direct et durable. On doit aussi à Carl Orff plusieurs chœurs, sur des textes de Friedrich Schiller et de Bertolt Brecht, une cantate I veni Creator Spiritus 1930-1973, Entrata, une suite d'orchestre d'après Byrd 1940-1954 et Kleines Konzert pour orchestre sur des thèmes du XVIe siècle 1927-1975. La simplicité est également à l'origine de ses découvertes pédagogiques. Ce que l'on connaît sous le nom de Méthode Orff est l'application des principes contenus dans le Schulwerk. Cette pédagogie repose sur les données physiologiques du son, le rythme et la percussion, éléments susceptibles de faire naître l'émotion dans les zones vitales et spirituelles. L'approche de la musique qui en résulte est excessivement simple ; elle met l'enfant en contact direct avec des instruments appropriés ou spécialement élaborés flûtes à bec, métallophones, percussions diverses qui lui permettent d'associer les sons concrets aux notions théoriques. Le succès de cette méthode a été considérable au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et elle s'est imposée, aux côtés de celle de Zoltán Kodály, comme l'une des approches essentielles de la pédagogie musicale dans la seconde moitié du XXe siècle. Alain Pâris

Relations et collaborations

Carl Orff a travaillé en collaboration avec de nombreux artistes musiciens, danseurs, peintres, chorégraphes, poètes, etc.. :
Bertolt Brecht et Carl Orff ont collaboré sur des pièces comme L’Importance d’être d’accord, Das Badener Lehrstück von Einverständnis en 1929.
Mary Wigman a travaillé, après guerre, quelques-unes de ses chorégraphie sur des œuvres de Carl Orff.
Carl Orff a été marié à Luise Rinser.
En 1965 en collaboration avec le peintre et graveur Johnny Friedlaender, il fait paraître l'album Exercices Manus Presse dans lequel à chaque planche de Friedlaender correspond une sérigraphie de notes de Carl Orff. Après ce premier ouvrage, un second verra le jour en 1968 sous le titre Musica poetica Manus Presse
Le peintre autrichien Lucas Suppin a favorisé le contact entre Carl Orff et Jacques Prévert. Bien qu'ils ne se soient vus qu'une seule fois au domicile de ce dernier à Paris ils entretenaient une proximité amicale dont témoignent des dédicaces régulières: En souvenir heureux de Carmina Burana Saint Paul Soleil de décembre 1954 et bientôt de janvier 1955. Paroles pour Carl Orff, Jacques Prévert. Par ailleurs, Prévert a écrit le poème Carmina Burana, reprenant ainsi le titre de la cantate scénique de C. Orff auquel il voulait ainsi rendre hommage. Ce poème a été repris dans l'ouvrage commun Carmina Burana Manus press 1965 dans lequel sont reprises des contributions de Carl Orff, Prévert et du peintre Hap Grieshaber.
Des lettres de Suppin montrent que Orff, Suppin et Prévert avaient un projet commun autour d'un livre probablement autour du thème d’Œdipe mais celui-ci ne s'est jamais réalisé. L'un et l'autre ont travaillé l'histoire d'Agnès Bernauer : Die Bernauerin pour Carl Orff en 1947 et Agnès Bernauer pour Prévert en 1961 dans le film Les Amours célèbres de Michel Boisrond

Deux auteurs ont étudié les relations et l'admiration mutuelle que se portaient Carl Orff et Jacques Prévert dans :

Jacques Prévert, œuvres complètes tome 2, collection La Pléiade, éditions Gallimard 1996 pages 265 à 270 pour le poème "Carmina Burana" et pages 1157 et 1158 pour les notes signées Danièle Gasiglia-Laster et Arnaud Laster.
Jacques Prévert, celui qui rouge de cœur par Danièle Gasiglia-Laster, Séguier, 1994 pages 210 et 276.
Extrait de l'article "Jacques Prévert, auditeur libre des musiciens" par Arnaud Laster dans le catalogue de l'exposition Paris la belle, Jacques Prévert, Bachelot-Prévert, Eugénie, Binh, N.T., éditions Flammarion, 2008 pages 160 et 161.

Å’uvres principales

Le Orff-Schulwerk atelier scolaire a été initié et développé en collaboration avec la gymnaste Dorothée Gunther, la pédagogue Gunild Keetman et la danseuse Maja Lex. Il ne s'agit pas réellement d’une méthode. Il s'agit d'orientations pédagogiques dont le but premier est de favoriser un développement harmonieux de l'enfant grâce à la musique dite élémentaire et le mouvement. La pédagogie musicale Carl Orff est ouverte à tous pas seulement aux enfants, elle est non élitiste et ludique. Elle se pratique en groupe et utilise un ensemble de petites percussions xylophones, métallophones, etc., appelé : instrumentarium Orff . Orff fera fabriquer cet instrumentarium par son ami luthier Klaus Becker avec lequel il fondera la société Studio. Cette pédagogie utilise comme support des œuvres du répertoire traditionnel de toutes les cultures tout en favorisant la création et l'improvisation. Le chant, la danse, le mouvement, le théâtre, les percussions corporelles... y trouvent une place toute aussi importante que la technique instrumentale et musicale. Certes, il existe des recueils d'éducation musicale musique pour enfants, 1930-1933, révisé en 1950-1954, dont il existe une version française signée de Jos Wuytack mais la pédagogie Orff s'enseigne exclusivement par l'exemple et l'expérimentation au travers de stages et formations, d'où sa classification dans les méthodes actives.
Dans sa cantate scénique Carmina Burana 1937, il utilise des poèmes du xiiie siècle et crée une musique délibérément simple, pour grand orchestre et chœur, articulée autour de pulsations et de rythmes vigoureux, aux sonorités riches. Cette œuvre constitue la première partie d'un triptyque intitulé Trionfi les Triomphes, qui comprend les Catulli Carmina cantate d'après les poèmes de Catulle, dont Odi et amo 1943, pour chœur, voix solo, pianos et percussions, dans laquelle le chœur fournit un accompagnement quasi instrumental aux solistes, et Trionfo di Afrodite le Triomphe d'Aphrodite, 1953, pour grand orchestre et chœur. Cette trilogie est fondée sur des textes glorifiant l'amour.
Parmi ses autres œuvres, Antigonae 1949 qui, sur le texte de Sophocle (traduit en allemand par Hölderlin, cherche à retrouver la dimension de la tragédie grecque. La dernière grande œuvre de Carl Orff est l'opéra-oratorio De temporum fine comœdia 1973.

Documents radiophoniques et vidéos

Carmina Burana Marjolaine Fournier et Jean-Jacques Van Vlasselaer, émission radio diffusée le 3/7/2012
Découvrir une œuvre : Carmina Burana de Carl Orff Reportage Arte diffusé le 22/1/2012
Orff in Andechs Reportage Arte diffusé le 18/6/2011
Carl ORFF, Denis Sureau - Émission radio diffusée le 27/6/2010
Prima la musica France Musique, François-Xavier Szymczak. France Musique émission radio diffusée le 11/7/2007
Carl Orff, France Musique, Gaëlle Le Gallic. "France Musique" émission radio diffusée le 5/1/1995

Articles de journaux

« Corps, voix et instrument : la pédagogie de Carl ORFF, Nicole COPPEY, dans la Revue musicale suisse n°9, septembre 2011
Carl ORFF Carmina Burana, Stéphane Chabenat livret d'accompagnement dans la collection Les grands compositeurs N° 20, Figaro Collection - 2005
Carl ORFF , livret d'accompagnement dans la collection Eblouissante musique sacrée N° 48, Éditions Atlas - 1996
ORFF , livret d'accompagnement dans la collection Les Génies du classique N° 102, Éditions Atlas - 1991
Les grands compositeurs - Carl ORFF , fascicule de la collection "Les grands compositeurs et leur musique N° 49, Hachette - 1987
Carl ORFF et l'affinement de la conscience musicale, K.H Ruppel dans la revue Théâtre international mars 1982
Carl ORFF le mal aimé, Dominique BLANC. dans la revue Le Spectacle du Monde n° 245 d'août 1982
Carl ORFF et Carmina Burana, un auteur pour une œuvre ? Alain PÂRIS dans la revue SCHERZO GUIDE MUSICAL n° 49, janvier 1976
La Musique "mythique" de Carl ORFF, Dominique VENELLE, dans la revue "LE SPECTACLE DU MONDE". N°142 de janvier 1974
"Carl Orff et les Carmina Burana", Y. et M.Giraud, dans la revue "A cœur Joie". N°127 de février 1971
"Carl ORFF, musicien populaire ?" Max PINCHARD, dans la revue Musica n° 113 d'août 1963
Carl ORFF et la création d'Œdipe-Roi Jacques FESCHOTTE dans la Revue musicale de Suisse romande feuilles musicales 1960/10
Les exercices de Friedlaender et de Carl ORFF, Gilles Lapouge dans la revue Jardin des arts n° 127 de juin 1965
Carl ORFF et la musique moderne", Roger STENGELE dans la Revue Générale", Belgique 1957
Un musicien allemand d'aujourd'hui : Carl ORFF, Willy Brandl dans la revue VERGER n° 4 de 1948

Bandes originales de films et documentaires

Certaines œuvres de Carl Orff sont régulièrement utilisées dans des bandes originales de films, pour accompagner des documentaires, des émissions de télévision ou de radio :
O Fortuna , extrait de l’œuvre Carmina Burana que l'on peut entendre dans les films Tendres chasseurs Temos caçadores Ruy Guerra 1969; Excalibur John Boorman, 1981; The Doors Oliver Stone, 1991; Glory Edward Zwick, 1989; À la poursuite d'Octobre rouge The Hunt for Red October John Mc Tiernan, 1990; Tueurs nés Natural Born Killers Oliver Stone, 1994; Salò ou les 120 journées de Sodome P.P.Pasolini, 1976; Le Déshonneur d'Elisabeth Campbell The General's Daughter Simon West, 1999; Le Secret de la pyramide Young Sherlock Holmes Barry Levinson, 1985; Brace yourself documentaire sur Michael Jackson.
Tanz extrait de l’œuvre Carmina Burana est le générique de l'émission télévisée Histoires naturelles
Spielstücke15 et Gassenhauer16 extraits de l’œuvre Schulwerk, musica poetica de Carl Orff et Gunild Keetman sont dans la bande originale de La Balade sauvage Badlands, film de Terrence Malick, 1973, À la rencontre de Forrester Gus Van Sant, 2001, Hans Zimmer dans la bande originale de True Romance Tony Scott, 1993.

Å’uvres

Carmina Burana, 1937
Der Mond La Lune, 1939
Ein Sommernachtstraum Le Songe d'une nuit d'été, 1917, 1939, 1952, 1962
Die Kluge La Femme avisée, 1943
Catulli Carmina, 1943
Die Bernauerin, 1947
Antigonae, 1949
Astutuli une comédie bavaroise, 1953
Trionfo di Afrodite Le Triomphe d'Aphrodite, 1953
Comoedia de Christi Resurrectione, 1957
Oedipus der Tyrann, 1959
Ludus de nato infante mirificus, 1960
Prometheus, 1968
De temporum fine comœdia La comédie de la fin des temps, 1973, 1977
Musik für Kinder avec Gunild Keetmann 1930-35, 1950-54



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Posté le : 28/03/2015 18:22
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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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