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Giacomo Puccini
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Le 29 novembre 1924 meurt Giacomo Puccini

à Bruxelles organiste et compositeur italien de son nom complet Giacomo Antonio Domenico Michele Secondo Maria Puccini, né le 22 décembre 1858 à Lucques dans le Grand-duché de Toscane. Il est considéré comme l'un des plus grands compositeurs de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle.
Issu d'une famille de longue tradition musicale dans laquelle cinq générations de musiciens se sont succédé, il porte le même prénom que son arrière-arrière-grand-père Giacomo Puccini 1712-1781, organiste et compositeur de musique sacrée du XVIIIe siècle, est le fils de Michele Puccini 1813-1864, le petit-fils de Domenico Puccini 1772-1815 et l'arrière-petit fils d'Antonio Puccini 1747-1832. La vie de Giacomo Puccini, son travail, sa passion ont fait l’objet d’un film réalisé en 2008 par Paolo Benvenuti et Paola Baroni.

En bref

Héritier de quatre générations d'organistes et maîtres de chapelle, Puccini, né à Lucques, semble tout naturellement destiné à la musique religieuse et remporte, du reste, ses premiers succès scolaires dans la classe d'orgue de l'Institut Pacini. C'est la révélation d'Aïda, à Pise, en 1876, qui l'oriente vers l'art lyrique. Après trois ans d'études à Milan avec Antonio Bazzini et Amilcare Ponchielli, un Capriccio sinfonico attire sur lui l'attention de la critique, et le concours ouvert par Edoardo Sonzogno pour couronner un opéra en un acte lui donne sa première chance. Il échoue, mais Le Villi, remarqué par Arrigo Boïto, est cependant présenté à Milan, au Teatro dal Verme, en 1884, et obtient un grand succès. Cet acte légendaire inspiré d'Alphonse Karr affirme, en effet, un tel sens dramatique que Giulio Ricordi lui offre aussitôt un contrat pour un ouvrage plus important dont la création pourrait avoir lieu à la Scala. Adapté d'Alfred de Musset, le nouvel opéra Edgar est pourtant un échec 1889. « Organisme théâtral défectueux », dira Puccini, le livret n'avait pas eu en lui la résonance nécessaire à une inspiration selon son cœu
Le mérite de Giulio Ricordi fut de ne pas le décourager et de lui permettre le premier grand triomphe de sa carrière avec Manon Lescaut (1893), inspiré du célèbre roman de l'abbé Prévost que Jules Massenet, neuf ans plus tôt, avait déjà porté à la scène. Succédant à Cavalleria rusticana de Mascagni (1890) et au Paillasse de Leoncavallo (1892), cet opéra pouvait, huit jours avant la création de Falstaff, faire figure de manifeste par la nuance très personnelle dont Puccini accompagnait son adhésion au vérisme. « L'exemple terrible de la force des passions » que l'abbé Prévost se proposait d'évoquer, se pare ici de toutes les séductions de l'époque Régence, et la musique y garde la même noblesse que le poignant destin des héros avait conférée au roman. Noblesse qui se réclame, à bon droit, de l'héritage verdien.
Avec La Bohème, créée à Turin sous la direction d'Arturo Toscanini (1896), la poésie du réalisme s'installe pour la première fois dans un décor moderne et oppose sa fantaisie bruyante à la tendre émotion postromantique teintée d'une certaine sensualité. C'est dans sa nouvelle résidence de Torre del Lago, au bord du lac de Massaciucoli, que Puccini écrit cet opéra spontanément appelé à une fulgurante carrière. Jamais encore son instinct inné des lois de la scène ne l'avait, en effet, conduit à une telle justesse de ton, à une si harmonieuse esthétique de l'angoisse, à un tel raffinement de couleur dans les thèmes musicaux. Cette virtuosité de la palette orchestrale donne tout son sens à l'emploi discret du leitmotiv et tout son relief à l'indissociable union de la mélodie et de l'harmonie.
Si La Bohème joue dans l'émotion, Tosca (1900) joue dans la violence en marge du scénario le plus vériste (avec La Houppelande [Il Tabarro]) que Puccini ait choisi. Et c'est paradoxalement celui de ses opéras où l'on perçoit la tentative la plus hardie dans l'interprétation et l'assimilation des procédés wagnériens : importance plus grande accordée à l'orchestre, caractérisation systématique par leitmotiv, chromatismes qui ont écouté la leçon de Tristan. La carrière de Puccini est alors à son zénith, et son désir de se renouveler l'entraîne hors d'une certaine tradition intimiste, celle des « chambrettes d'amour languide » de Manon Lescaut et de La Bohème. Débarrassée de ses allusions historiques, politiques et sociales, la pièce de Victorien Sardou a pu donner naissance à un drame lyrique resserré, non sans risque de monotonie, autour des trois protagonistes classiques, et tout l'art du musicien est bien ici d'échapper aux gros traits capables d'évoquer une « tranche de vie » dans la nudité presque primitive des passions. C'est donc à la hauteur de son inspiration que Tosca a dû une carrière, entre toutes, enviable.
Madame Butterfly marque, en revanche, un retour au lyrisme tendre, et l'échec de la création (1904) a prouvé que le public n'y avait entendu qu'une nouvelle Bohème transportée en Extrême-Orient. Puccini ne cessera pourtant de la considérer comme son œuvre la plus moderne, par sa personnalité harmonique, l'effort vers le « parlando » généralisé et le refus des concessions, morceaux de bravoure, etc. De plus, le thème de la petite geisha abandonnée correspondait à sa sensibilité qui trouvait là, parfaitement exprimée, la « créature de rêve ». D'où le souffle lyrique exceptionnel soutenu par un orchestre plus éloquent, plus raffiné, et la richesse des idées mélodiques : le duo du premier acte est sans doute le chef-d'œuvre de Puccini.

Sa vie

Giacomo, deuxième du nom, est né dans une famille aisée, mais non fortunée. Il était le premier garçon d’une famille de sept enfants, cinq sœurs aînées et un frère, de cinq ans son cadet. Il poursuivit à une ou deux exceptions près les mêmes études musicales que ses illustres aïeux, tous musiciens d'église et connus par les nombreuses compositions des Tasches. On compte trente-deux œuvres à leur actif.
Après la mort de son père, qui survient alors qu'il n'a que cinq ans, il est envoyé auprès de son oncle Fortunato Magi pour étudier; celui-ci le considère comme un élève peu doué et indiscipliné.
Par la suite, il devient organiste à l'église. L'inspiration pour l'opéra lui vient seulement lors d'une représentation de l'Aïda de Verdi qu'Angeloni, un de ses professeurs au conservatoire, lui fit découvrir lors de la représentation à Pise le 11 mars 1876. De 1880 à 1883, il étudie au conservatoire de Milan, où il est l'élève d'Amilcare Ponchielli et d'Antonio Bazzini.
En 1882, Puccini participe à un concours d'écriture lancé par la maison Sonzogno en 1883, pour un opéra en un acte. Bien qu'il ne remporte pas le prix avec Le Villi, ce premier opéra sera représenté en 1884 au Teatro Dal Verme de Milan, grâce à l'aide de Ponchielli et Ferdinando Fontana, et contribuera à attirer l'attention de l'éditeur Ricordi qui lui commandera un nouvel opéra, Edgar. C'est à cette époque que Puccini rencontre Elvira Gemignani 24 ans qui deviendra sa femme et lui donnera un fils, Tonio. Malheureusement, Elvira est mariée... ce qui ne l'empêche pas de tenter sa chance. Le mari, peu soupçonneux et souvent absent, ne se méfie pas du jeune homme qui accepte avec joie de donner des cours de piano à l'épouse quand elle le lui demande Puccini, après le succès des Villi, commence à se faire une excellente réputation. Les deux tourtereaux dissimulent mal leur liaison, de sorte que tout Lucques est au courant du scandale sauf le mari trompé. Le climat devenant lourd cependant, Puccini achète une villa à Torre del Lago bien appartenant aujourd'hui à la petite-fille du compositeur, où il résidera la plus grande partie de sa vie, accompagné d'Elvira. Aussi, la critique sera-t-elle assez ironique lorsqu'Edgar, son deuxième opéra, sera représenté (avec succès), puisque l'intrigue présente beaucoup de points communs avec cette aventure vaudevillesque.
Son troisième opéra, Manon Lescaut, fut non seulement un succès, mais également le point de départ d'une collaboration fructueuse avec les librettistes Luigi Illica et Giuseppe Giacosa, qui travaillèrent avec lui sur les trois opéras suivants.
En 1896, il compose un opéra, La Bohème adapté des Scènes de la vie de bohème d'Henri Murger. Il est considéré comme l'un des meilleurs opéras romantiques. Bien qu’il contienne certains des airs les plus populaires de son répertoire, ses audaces harmoniques et dramatiques, tranchant avec le sentimentalisme de Manon Lescaut, ne parvinrent pas à séduire le public de la première qui a lieu le 1er février malgré la direction irréprochable d'Arturo Toscanini. Les représentations suivantes assurèrent cependant au compositeur un succès mondial sauf auprès des critiques qui préférèrent l'année suivante la version, au demeurant fort bonne, de Leoncavallo aujourd'hui supplantée par celle de Puccini, qui ne fut pas démenti.
En 1900, Tosca, représente pour Puccini la première approche du vérisme ; l'œuvre est marquée par la ferveur nationaliste, mais elle relate un drame amoureux sans s’engager sur le terrain idéologique comme les opéras de Verdi. Le contraste entre La Bohème et Tosca est tel que Puccini essuie un cinglant revers. Heureusement, lorsque Toscanini reprend l'ouvrage, le succès est au rendez-vous
L'activité du compositeur ralentit et, en 1903, il est blessé à la suite d'un accident de voiture qui le rendra boiteux.
En 1904, Madame Butterfly (sur une nouvelle de David Belasco) fut accueilli avec une grande froideur lors des premières représentations, bien qu'il soit remarquablement orchestré et dirigé par Cleofonte Campanini. En particulier, lors de la scène où l'on entend des chants d'oiseaux, le public s'esclaffa et fit entendre des cris d'animaux de toute sorte. Cela ne l'empêchera pas de devenir un autre de ses grands succès après révision drastique.

Parce que la carrière de Puccini s'est déroulée pendant la période postverdienne et que le compositeur n'a pas été indifférent au nouveau visage de l' opéra italien, on le considère généralement comme un vériste. Le choix de ses sujets et l'éloquence passionnée de leur traduction musicale ne sont, du reste, pas étrangers à cette classification, en raison de la trajectoire qui va des légendaires Villi à la légendaire Turandot. Mais bien des différences surgissent quand on compare son œuvre à celle de Pietro Mascagni ou de Ruggero Leoncavallo : une tendance à exploiter l'émotion plus que la violence, une sollicitation permanente de l'élément poétique ou de la fantaisie et surtout un raffinement du style, de l'orchestration et de l'harmonie qui se manifeste de plus en plus au détriment du « bel canto ». L'évolution de Puccini est, à cet égard, de la plus haute importance. Il a fait la synthèse, à l'italienne, de l'art de Verdi et du wagnérisme, tout en rejoignant les subtilités debussystes et en montrant une audace de pionnier (gammes par tons entiers, polytonalité, tentatives sérielles) à laquelle Arnold Schönberg lui-même rendra hommage. Si son œuvre laisse, par ailleurs, une impression d'aisance et de cordialité que perçoivent les auditoires les moins connaisseurs, c'est qu'il n'a jamais caché son désir de plaire en se gardant de tout intellectualisme et en s'efforçant de « donner, de toutes ses forces et par tous les moyens, le sens de la vie ». Cependant, l'examen approfondi de ses partitions lui a peu à peu gagné les suffrages d'un public plus exigeant, et l'audience universelle qui est aujourd'hui celle de La Bohème, de Tosca et de Madame Butterfly confirme, en Puccini, le dernier grand maître de l'opéra italien.

Vers l'opéra futur

Le cycle des opéras populaires est alors terminé et Puccini est désormais célèbre dans le monde entier. Soucieux de ne pas exploiter les recettes qui lui ont assuré sa notoriété, il laisse pourtant s'écouler plusieurs années avant de s'engager, avec La Fille du Far-West (La Fanciulla del West, 1910), dans une voie encore plus moderne. Parallèlement, l'attirance manifeste pour le grand opéra d'esprit romantique le conduit à choisir des scénarios favorables aux scènes d'ensemble et dont le plus magnifique exemple sera celui de Turandot..
Entre-temps, une incursion dans le domaine de l'opérette avec La Rondine (1917) est moins significative que les trois chefs-d'œuvre en un acte qui constituent Le Triptyque (1918) : Il Tabarro, tranche de vie colorée et violente, Suor Angelica, tragédie intime qui semble émaner d'un vitrail, et Gianni Schicchi, où le réalisme bouffe de la grande tradition italienne trouve, après Falstaff et dans la même veine, son expression la plus équilibrée, la plus intelligente et la plus originale.
La maladie a malheureusement empêché Puccini d'achever Turandot, qui marquait la dernière étape vers le traditionnel grand opéra d'inspiration légendaire. La concentration de l'intensité créatrice, la simplification grandiose et le perfectionnement intérieur du sens dramatique font cependant de cette immense fresque l'aboutissement d'une démarche où le compositeur « jette les maquillages du sentimentalisme et de la sensiblerie facile », en s'éloignant délibérément du climat vériste. Atteint d'un cancer de la gorge, il ne devait pas survivre à une opération tentée à Bruxelles, et c'est Franco Alfano qui accepta la tâche redoutable de réaliser la scène finale de l'opéra à partir des esquisses trouvées sur le lit de mort de l'auteur. Cette œuvre-testament, créée à la Scala en 1926, est, à bon droit, considérée comme l'une des plus hautes réussites de l'art lyrique, même si elle ne connaît pas le succès de foule de ses cadettes. André Gauthier

En 1906, un de ses librettistes, Giacosa, meurt.

En 1909, éclate un scandale : sa domestique se suicide par empoisonnement pour avoir été accusée par Elvira Gemignani, d'avoir eu une relation avec lui, ce qui est probable.Apparemment c'est la sœur de la domestique qui avait une relation avec Giacomo Puccini. La domestique servait de médiatrice, elle se suicida afin de ne pas trahir le secret.Similaire à l'acte III de Turandot ou Liù se suicide afin de ne pas dévoiler le secret.
En 1910, il compose La fanciulla del West, premier opéra créé au Metropolitan Opera de New York ; l'œuvre, considérée comme le premier western spaghetti2, est dirigée par Toscanini ; elle présente une richesse orchestrale et harmonique sans égales dans l'œuvre de Puccini. Malheureusement, le succès immédiat du public (et, fait rare, également des critiques) ne se confirme pas : le thème du Far West, l'audace de son écriture et, étrangement, son « happy end », déroutent le public et les critiques. Il faudra toute la volonté d'artistes comme Dimitri Mitropoulos, Plácido Domingo, et de musicologues désireux de dépasser les clichés, pour faire sortir cette œuvre remarquable de l'oubli.
Il trittico est créé en 1918. Ce triptyque est composé de trois opéras réunis par le style Grand Guignol parisien : un épisode d'horreur Il Tabarro, une tragédie sentimentale Suor Angelica et une farce ou comédie Gianni Schicchi. Des trois, Gianni Schicchi devient le plus populaire.
Son dernier opéra, Turandot écrit en 1924 reste inachevé ; les deux dernières scènes en seront complétées par Franco Alfano. Hélas, ce finale est très contesté de nos jours car Puccini avait rêvé pour le duo final de quelque chose d'inédit et fantastique, comparable à une grande scène wagnérienne (On mesure, quand on entend le splendide Nessun dorma où le dernier air de Liù Tanto amore, segreto, l'étendue de la perte qu'a causée la maladie du compositeur). Alfano, bon compositeur pourtant, n'a pas le génie de son maître, il est donc compréhensible que l'on ne dirige aujourd'hui qu'une version écourtée du final. En 2001, un nouveau final sera réalisé par Luciano Berio.

Puccini meurt à Bruxelles en 1924, des suites cardiaques dues à son cancer de la gorge. Ses obsèques furent célébrées à l'église royale Sainte-Marie de Schaerbeek.
Sa villa est maintenant un musée dédié à sa mémoire.

Analyse

Manon Lescaut, La Bohème, Tosca, Madame Butterfly et Turandot sont tous de grands succès. Ils illustrent une maîtrise de l’orchestration exceptionnelle, aux multiples innovations harmoniques, et un langage théâtral profondément original. Ce langage qui contribua au succès de Puccini se rattachait au courant littéraire du vérisme italien, représenté par des compositeurs de la fin du xixe siècle, comme Mascagni, Leoncavallo ou Franchetti. Puccini échappe pourtant au réalisme tragique du vérisme, grâce à sa passion pour les romantiques comme Alfred de Musset ou Heinrich Heine, mais aussi en raison de sa modernité théâtrale et musicale, illustrée par les chromatismes de Tosca ou les accords impressionnistes de la Houppelande (Il Tabarro) influencés par les audaces de Debussy et de Ravel, et la marque profonde laissée dans son œuvre par Wagner.

Citation

Igor Stravinski :

« Lorsqu'on l'écoute, la musique de Puccini est plus belle que la dernière fois.

Œuvres Opéras

Le Villi Les Willis 31 mai 1884, Teatro Dal Verme, Milan
[rev] 26 décembre 1884, Teatro Regio, Turin
Edgar 21 avril 1889, Teatro alla Scala, Milan
[rev 2] 28 janvier 1892, Teatro Comunale, Ferrara
[rev 3] 8 juillet 1905, Teatro de la Ópera, Buenos Aires
Manon Lescaut 1er février 1893, Teatro Regio, Turin
La Bohème 1er février 1896, Teatro Regio, Turin
Tosca 14 janvier 1900, Teatro Costanzi, Rome
Madama Butterfly Madame Butterfly 17 février 1904, Teatro alla Scala, Milan
[rev 1] 28 août 1904, Teatro Grande, Brescia
[rev 2] 10 juillet 1905, Covent Garden, London
[rev 3] 28 décembre 1906, Opéra-Comique, Paris
La fanciulla del West (La Fille du Far West 10 décembre 1910, Metropolitan Opera, New York
La rondine 27 mars 1917, Opéra, Monte Carlo
Il trittico Le triptyque 14 décembre 1918, Metropolitan Opera, New York:
Il tabarro (La Houppelande
Suor Angelica (SÅ“ur Angelica
Gianni Schicchi
Turandot 25 avril 1926, Teatro alla Scala, Milan

Autres Å“uvres Å’uvres pour orchestre

Preludio Sinfonico in E minor-major 1876 perdu
Largo Adagietto in F major 1881-1883
Scherzo in La minor 1882
Preludio Sinfonico in A major 1882, Milan
Capriccio Sinfonico 1883, Milan
Scossa elettrica 1899 arrangement pour orchestre

Musique de chambre

Scherzo in A minor Quatuor à cordes 1881
Crisantemi Quatuor à cordes, 1890, "Alla memoria di Amadeo di Savoia Duca d'Aosta"
Minuetto n.1 Quatuor à cordes, "A.S.A.R. Vittoria Augusta di Borbone, Principessa di Capua"
Minuetto n.2 Quatuor à cordes, "All'esimio violinista prof. Augusto Michelangeli"
Minuetto n.3 Quatuor à cordes, "All'amico maestro Carlo Carignani"

Å’uvres pour piano

Allemande, Corrente, Gavotta suite 1880-1881
Adagio in A major 1881
Piccolo valzer 1894
Scossa elettrica 1896
Piccolo tango 1907/1910
Foglio d’Album 1907/1910
Pezzo per pianoforte 1916

Å’uvres pour piano et voix

A Te 1875
Melanconia 1881/1883 perdu
Ah! se postesse fragments 1882 perdu
Ad una morta! 882/1883
Mentìa l’avviso 1882
Storiella d’amore 1883
Sole ed amore 1888
Avanti Urania! 1896
Inno a Diana 1897
E l'uccellino 1899
Terra e mare 1902
Canto d’anime 1904
Casa mia, casa mia 1908
Sogno d'or 1913
Morire? 1917
Inno a Roma 1er juin 1919, Rome

Å’uvres pour piano et violon


La Sconsolata 1883
Messes, cantates et musique sacrée

I figli d'Italia bella 1877 perd
Mottetto per San Paolino «Plaudite Populi» 1877
Credo 1878, Lucques
Messa connue comme Messa di Gloria 880, Lucques
Salve del ciel Regina 1882 1882/1883
Solfeggi 1888
Requiem 27 janvier 1905, Milan

Å’uvres pour chorales

Vexilla Regis Prodeunt 1878
Ecce sacerdos magnus 1905

Å’uvres pour orgue

Esquisses et improvisations pour orgue 1870-1880


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Posté le : 28/11/2015 19:43
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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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