@ couscous

j'aime beaucoup cette histoire d'âne,
à fine taille,
ou de bardot, je sais plus...

bien joué, et la dernière phrase de fin est trop...

mais quand même cette histoire de Brigitte ???

il y a un film comme ça avec Jony où il ne sait pas qu'il est lui...

c'est une petite rumeur encore, ici, sur l'Orée, mais comme me le disait souvent Stanislaw Jerzy Lec, et pour en revenir encore aux pots :

"Quand les potins vieillissent, ils donnent des mythes. "

à te relire

Cavalier

@Athéna

Chapeau pour tous ces petits pots

et conjuguer ces petit pot de beurre désarticulés ... foof... sourire
ça pourrait bien ici déjà emmêler le clavier sous les doigts

à te relire

Cavalier



à bientôt

@Istenozot

jolie petit fable,
qui chasse les pots pour avoir du bol, pardon... :)
j'ai voyagé sur tes mots

sur ce, je vais de ce pas arroser mes deux rosiers Brigitte en pot...

à te relire

amitié du finistère

Cavalier

Et moi, pauvre de moi,
Sur un sort, un ressort, je me réveille en sursaut, déboulant plein pot sur le tapis vert du billard du Café du Centre

Je roule, roule, en boule,
Maboule sur ta moquette,
Belette. J'arrête mes rebonds,
Si ronds sur les bords,
D’abord. Affûte la queue...

Pas mieux. Avec de la craie,
Accroc aux effets mutins
De satin. Et mes lutins malins,
Câlins en sarabande,
Se débandent en bande,
À l’aune pochée
De tes grands trous garous...

Gare où tu vas te coucher,
Touchée, te plomber. Je broute,
Ma loute, ce gazon
Si bon aux odeurs
Majeures, en sol de sainteté...

Sautée, je carambole, bille hard,
Bâtarde, je tergiverse,
À verse, et traverse au long de mille bandes,
Gourmande. Et puis je m’arrête,

Coquette, à deux doigts
D’un bon coup...

Cher Cavalier,

Cette boule de billard (masculine évidemment !) semble bien amoureuse du tapis vert. Tu frôles le "réservé aux adultes" avec tes évocations sans équivoque. Bien joué ! Tu as évité le pot et empoigné ta boule pour nous faire tourner la tête.

Merci

Couscous