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D’où viennent nos ancêtres « Les Gaulois »
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D’où viennent nos ancêtres « Les Gaulois »


Certes avant eux, durant le paléolithique puis durant le néolithique puis encore durant le chalcolithique, le territoire que représente la France actuelle était peuplé de femmes et d’homme issu des migrations humaines primaires.
Très succinctement, il faut entendre ici par migrations humaines primaires :

Au Paléolithique inférieur (780 000 à 180 000) :
- Celle des Homo erectus et des pré-néandertaliens (Tautavel (dpt 66) – Lachaise (dpt16) – Lazaret (dpt 06)) ;
Ces Homo erectus et pré-néandertaliens, emploient la technique dite de Levallois. Ils
débitent et ils taillent les galets en bis-face. Ils utilisent le feu sans savoir le produire.
Ils nomadisent sur un large territoire.

Au paléolithique moyen et supérieur (180 000 à 7 500) :
- Celle des Homo sapiens Néandertaliens (Laferassie (dpt 24) – Moula (dpt 07) –Genay (dpt 21) – Vergisson (dpt 71) – La Quina (dpt16) – Marillac (dpt16) – Saint Césaire (dpt17) ;
Ces Néandertaliens mettent au point la technique de taille dite moustérienne, ce qui leurs permet de disposer d’une panoplie d’environ 60 outils. Ils produisent le feu. Ils enterrent leurs morts. Ils chassent en choisissant leurs proies.
Ils deviennent semi-nomades

Au paléolithique supérieur ainsi qu’au néolithique puis au chalcolithique (7 500 à 4 400) :
- Celle des l’homo sapiens sapiens ( Cro Magon (dpt 24) – Laugerie (dpt 24) – Chancelade (dpt 24) - Saint Germain la rivière (dpt 33) – Montgaudier (dpt 16) – abri Pataud (dpt 24) - La Madeleine (dpt 24).
Ces Homo sapiens sapiens, qui cohabitent un temps avec les Homo néandertaliens, mettent au point la technique de taille dite Châtelperronienne puis celle dite aurignacienne.
Puis se succéderont les cultures : Gravettienne, Solutréenne, Magdalénienne et Azilienne. Ils polissent leurs haches et leurs outils. Ils façonnent l’ivoire, l’os, les bois de renne. Ils emploient des techniques de chasse et de pêche. Ils dessinent et peignent et sculptent (art pariétal). Ils inventent le propulseur, l’aiguille à Chas, le harpon à barbelures. Ils élèvent des monuments mégalithiques funéraires, telles les allées couvertes, mais aussi les dolmens. Ils confectionnent des vêtements de peau, des bijoux et des parures de perles de pierres ou d’ivoire. Ils mettent au point des techniques de céramiques rubanées et de Cernée. Ils inventent l’arc, l’agriculture, l’élevage et le tissage. Ils se sédentarisent. Ils construisent des maisons de bois et des villages.

Cette population préhistorique indigène, qu’on peut considérer comme la souche humaine du peuplement de notre pays va se sédentariser sur des territoires définis.
Cette souche humaine est la résultante de l’agglomération autour d’elle, de 5 migrations. Elles eurent lieu, pour les trois premières venant d’Europe centrale et d’Europe du Nord, entre moins 35 000 ans et moins 8 000 ans ; et pour les deux dernières venant des Balkans et de la vallée du Danube entre moins 7 500 ans et moins 6 700.

Les Celtes « Galls »
A environ, moins 4 300 ans, soit dès 2300 avant J.C., ce fut donc une population d’environ 5 millions d’individus [1] qui vit peu à peu arriver et s’installer sur, leur territoire, de nouveaux hommes de culture indo-européenne d’ethnie « celtique » venant d’Asie occidentale qui se nommaient eux-mêmes « Galls ».
Ces hommes sont de culture dite « des champs d’urnes ». Ce nom provient du fait qu’ils n’enterrent plus les corps de leurs morts mais les incinèrent et en déposent les cendres dans des urnes qu’ils enterrent dans un champ, ou qu’ils déposent dans des cavités naturelles ou artificielles. Ils apportent avec eux les inventions de la roue et de l’attelage, ainsi que des techniques rudimentaires de métallurgie qui leur permettent d’utiliser le cuivre dans la confection de bon nombre de ses objets usuels (bijoux aiguilles, poinçons etc.) et surtout dans celle de ses armes. (Lame de couteau, pointes de flèches et de lances, etc.). Nous sommes là à l’Âge du Bronze ancien, moyen et final.
Les Galls, s’intégrant la population souche, vont fonder plusieurs nations sur plusieurs territoires. Ils rassemblent ces territoires en un royaume « la Galatie » [2].

Les Celtes « Kimris »
Vers moins 2700 ans, soit 700 ans avant J.C. un autre peuple celte, les « Kimris », envahit le royaume des Galls, la Galatie. Il faudra plus d’un siècle pour que les Galls intègrent ces nouveaux arrivants. Cette migration des Kimris apportant la spiritualité druidique, va, peu à peu, changer l’appellation « Galatie » pour la remplacer par celle de « Gaule » qui sera appelé « Galatie » par les Grecs et « Gallia » ou « Galli » par les Romains.
Ainsi, ses habitants devenus des « Gallo Kimris » [3] [4] vont être nommés « Gaulois ».
Les voilà donc nos ancêtres les Gaulois issus des migrations celtes.
Mais ce n’est pas fini !
A l’Âge du fer entre moins 2 500 ans et moins 2 350 ans soit entre 500 avant J.C. et 350 avant J.C., entre l’Hallstatt final et la Tène ancienne, une seconde invasion a lieu en deux vagues successives espacées de deux ans. Celles des Kimris Belges. Ces derniers arrivés apportent aux Gaulois (Celtes Galls, Gallo-Kimris et Kimris Belges) les techniques métallurgiques très importantes, celles découlant du travail du fer.
Au terme des troubles causés par ces derniers envahisseurs celtes, la Gaule de cette époque comprend pas moins de 62 nations Gauloises qui se répartissaient comme suit :
Le peuple des « Galls » en compte 22.
Celui des « Gallo-Kimris » en compte 17.
Et celui des « Kimris Belges » en compte 23. [5]
Strabon (-60 avant J.C., + 20 après J.C. dans sa géographie nous dit que l’ensemble des territoires que ces Nations celtes occupent, forme « la « Celtique ».

La « Terre du milieu »
Chez les Celtes Galls, Gallo-Kimris et Kimris Belges, dont seront issues toutes les Nations gauloises, « le territoire central » de leurs terres qui composaient la « Celtique [6] » avait une signification mystique et sacrée.
C'était en ce lieu qu’était installée la Nation élue. Elle prédominait sur toutes les autres et son Chef, était aussi le Chef suprême de toutes les Nations gauloises.
Il n'est donc pas invraisemblable, comme ce fut le cas en Irlande, que le territoire qui allait devenir ce que nous appelons aujourd’hui en France, « le Berry », puisse avoir pour eux la dénomination druidique de « la terre du milieu ».

Les Gaulois Bituriges.
Cette terre du milieu était habitée par une des 22 nations des Galls, les « Bituriges ». C’était une Nation gauloise très ancienne fondée dès l’invasion des Galls au Bronze ancien, vers 2000 avant J.C..
Il nous semble que cette puissance des Galls, qui permit cette longue intégration des migrants Kimris, ne pouvait provenir que de l'existence d'une nation déjà très structurée économiquement et politiquement, et dont la prépondérance était reconnue par les envahisseurs.
C'est pourquoi qu'il peut fortement être envisagé que déjà, la nation des Bituriges existait en tant que telle, et que déjà son rayonnement était si prédominant, qu'elle avait confédéré les autres nations des Galls.
On peut situer les prémices de cette fondation Biturige entre le 10ème et le 9ème siècle avant J.C. Elle eut l'apothéose de son rayonnement et de son influence sur les autres Nations gauloises entre le 9ème et le 8ème siècle avant J.C.
Ainsi, à l'Âge de bronze, les Gaulois Bituriges, qui vivaient sur la terre du milieu qui deviendra plus tard la province du Berry, maîtrisaient la métallurgie des alliages entre de cuivre et l'étain[7], et étaient producteurs d’artisanats de bronze, d'étamage et de damasquinerie, globalement nommés Incoctilia.
Lors de la période de l'Âge du fer, dans la première moitié du 4ème siècle avant J.C. [8], la Nation des Bituriges acquière une grande renommée dans les travaux de fonte du minerai de fer et de forgeage d’objets et d’armes.

Les rois ou Chefs suprêmes gaulois
* L'influence prépondérante de la Nation des Bituriges semble être à son apogée vers 600 avant J.C., lors du règne d' « Ambigatos » (nom qui signifie celui qui combat des deux côtés).
Là encore la réalité de l'existence de ce personnage est remise en cause par certains « spécialistes » sous le prétexte qu'aucune preuve archéologique n'accrédite son historicité. Mais nous savons maintenant quoi penser de ce type d'argument qui émerge presque toujours lorsque l’Archéologie, au lieu d’en témoigner se met à vouloir écrire l’histoire.
Tite Live nous parle de ce roi fondateur d’une grande cité appelée « Avaricon ». Il nous dit aussi que ses deux neveux « Bellovesos » (nom qui signifie celui qui est digne de puissance) et « Ségovèse » (nom qui signifie celui qui est digne de Victoire) [10].
Le premier, à la tête de 15 000 Gaulois aurait fondé une colonie Biturige en Lombardie au nord de l'Italie, et fondé la cité de Milan (Médiolanum).
L'autre, lui aussi à la tête de 15 000 hommes, serait parti fonder une autre colonie Biturige vers le nord-est sur les rives du Danube après avoir traversé les grandes forêts hercyniennes.
* Au 4ème siècle avant J.C., un roi gaulois apparaît. On le dit issu de la nation des Senons voisine de celle des Bituriges (nord-est), mais on le dit aussi Biturige. Il s'appelait « Brennos » (ce nom signifie corbeau) latinisé en Brennus. Vainqueur des Romains sur la rive gauche de Tibre au confluent avec la rivière Allia, il saccagea Rome en 390 avant J.C. et il se fit remettre rançon. Comme beaucoup de chefs Gaulois ont porté ce nom, la confusion est grande et il est souvent très difficile de replacer ces chefs à leurs époques. Pourtant lorsque nous lisons Tite Live, nous apprenons que ce Brennos commandait peut-être des guerriers Senons, mais au même titre qu'il commandait aussi les guerriers Arvernes et Bituriges [11].
Tite Live ne dit pas dit qu'il appartenait à la nation des Senons, il dit qu'il était le roi des Gaulois.
* Puis nous trouvons « Bolgios » [12] latinisé en Belgius, dit duc des Bituriges.
Ce personnage fut au côté d'un « Brennos » roi des Arvernes lors de son expédition en Macédoine vers 279 avant J.C. Vainqueur des troupes de Ptolémée Kéraunos. Il fait prisonnier ce dernier, et le met à mort en lui tranchant la tête [13]. Il semble qu'il soit retourné en Gaule après cette victoire.
La période où vécut ce chef des Bituriges, qui n'est alors plus roi, semble être celle de la fin de l'influence prépondérante du peuple des Bituriges sur les autres nations gauloises.
Cette influence prépondérante fut prise progressivement par la nation des Arvernes.
* Au milieu du 2ème siècle avant J.C. les Bituriges et les Arvernes semblent avoir le même roi en la personne de Louernios nom qui signifie le renard, latinisé en Luern. Ce roi gaulois est connu pour sa prodigalité.
Posidonios d'Apamée [14] nous dit de lui : « Luern, pour gagner la faveur de la multitude, se faisait transporter sur un char à travers les campagnes, et jetait de l'or et de l'argent aux myriades de Celtes qui le suivaient. Il faisait enclore un espace de douze stades carrés, sur lequel il faisait remplir des cuves avec des boissons d'un grand prix, et préparer de telles quantités de victuailles que, plusieurs jours durant, il était permis à ceux qui voulaient entrer dans l'enceinte de goûter aux mets qu'on avait préparés et qui étaient à disposition sans interruption. »
* A la fin du 2ème siècle avant J.C. les Bituriges semblent avoir comme roi « Bituitos », nom qui signifie celui qui est le monde, latinise en Bituitus. Ce roi, fils de Louernios, est aussi le roi des Arvernes. Il allait, dit-on, au combat sur un char d'argent, revêtu d'une armure étincelante et jetant avec profusion des monnaies d'argent sur ses pas [15].
Il fut vaincu par les Romains à la bataille du confluent qui, selon Strabon, se trouve « au point de jonction de l'Isar, du Rhône et du mont Cemmène », ce que nous pouvons traduire par : « au confluent Rhône-Isère, au premier contrefort des Cévennes ».
Les négociations pour sa libération n'aboutissant pas, il fut retenu prisonnier avec son fils Congentiatos par les Romains dans la ville d'Albe [16].
Il nous semble qu'avec ce roi prit fin la prépondérance de l'influence du peuple des Arvernes sur les autres Nations gauloises.
Nous constatons également que presque toutes les Nations gauloises ont renoncé au gouvernement d'un roi pour lui préférer celui d'une magistrature élective de noblesse à la romaine.
* Au 1er siècle avant J.C., les Bituriges semblent nouer des alliances avec les autres nations gauloises en fonction de leurs intérêts.
César [17] nous dit, qu'en Gaule, il n'y a plus vraiment de grand chef, mais qu'en Arverne, un homme lui semble avoir « le principalat » sur ce pays.
Cet homme s'appelait « Celtill » latinisé en Celtillos.
Les prétentions de pouvoir que ce puissant noble faisait valoir auprès de son propre peuple, les Arvernes, et auprès d'autres aussi, conduisirent les chefs arvernes dont son propre beau-frère « Gobannitio », à lui barrer le chemin en l'accusant de vouloir rétablir la royauté. Il fut condamné à mort et exécuté.
Cet homme n'était autre que le père de Vercingétorix.
Lorsque ces événements se produisirent, les Bituriges étaient peut-être encore, en alliance avec les Arvernes, mais c'est très peu probable, leur alliance s'était plutôt portée sur les Eduens.
Lorsque César entame sa campagne de conquête de la Gaule en 59 avant J.C., les Bituriges ne sont plus, depuis longtemps, en position d'influence prépondérante vis-à-vis des autres Nations gauloises.
Ils sont, nous dit César, les clients des Eduens [18], après avoir été, avant, les clients des Arvernes entre le 3ème et le 2ème siècle avant J.C.[19].
Toutefois, il apparaît que malgré ce changement de fortune, les Bituriges avaient gardé de leur prestigieux passé, une auréole dont la lumière était encore perçue de toutes l'Antiquité, y compris des Romains.
A partir de leur riche et de leur prospère capitale « Avaricon », qui éblouira César par sa beauté au point qu'il la nommera Urbs [20], le pays biturige était parsemé d'oppida et de gros villages reliés entre-eux par des chemins, dont certains deviendront plus tard des voies romaines.
César nous dit que ces cités étaient plus de vingt, puisque ce fut ce nombre d'agglomérations bituriges que Vercingétorix ordonna de brûler pour appliquer sa tactique de terre brulée sur le chemin des légions romaines [21].

Johan (JR.).

NOTES de REFERENCES :

[1] NOUGIER. (Louis-René.). : « Essai sur le peuplement préhistorique de la France ». In: Population, 9e année, n°2, 1954 pp. 241-274.

[2] Diode de Sicile : (v.90av.J.C. – 21 av. J.C.) Historien Grec. Les livres I à V consacrés aux origines de monde, à l'histoire de l'Egypte et de la Chaldée, les livres XI à XX consacrés aux événements de 480 av. J.C. à 302 av. J.C.

[3] [4] Simon Pelloutier : « Histoire des Celtes, et particulièrement des Gaulois et des Germains depuis les tems fabuleux, jusqu'à la prise de Rome par les Gaulois ». [Livres I-II] Publié par I. Beauregard, 1740. 120 pages. p.22.
Amédé e Thierry : « Histoire des Gaulois ». Editions Hachette. Paris 1835. 415 pages,.p.10

[5] Abel Hugo : « France historique et monumentale: Histoire générale de France depuis les temps les plus reculés jusqu'a nos jours ... » Editions H.L. Delloye, 1836 page 12.

[6] Celtique : territoire tel que l'entend Strabon dans sa géographie.

[7]Amédée Thierry : « Histoire des Gaulois ». Editions Hachette. Paris 1835. 415 pages,.p.48

[8] Amédée Thierry : « Pour fixer, même d'une manière approximative et vague, l'époque de l'arrivée des Belges en deçà du Rhin, nous n'avons absolument aucune autre donnée que l'époque de leur établissement dans la partie de la Gaule que nous appelons aujourd'hui le Languedoc ; établissement qui paraît avoir été postérieur de très peu de temps à l'arrivée de la horde. Or, tous les récits mythologiques ou historiques, et tous les périples, y compris celui de Scyllax écrit vers l'an 350 avant J.-C., ne font mention que de Ligures et d'Ibéro-Ligures sur la côte du bas Languedoc où s'établirent plus tard les Volkes ou Belges. Ce n'est que vers l'année 281 que ce peuple est nommé pour la première fois ; en 218, lors du passage d'Annibal, il en est de nouveau question. C'est donc entre 350 et 281 qu'il faut fixer l'établissement des Belges dans le Languedoc ; ce qui placerait leur arrivée en deçà du Rhin dans la première moitié du quatrième siècle. Il est remarquable que cette époque coïncide avec celle d'une longue paix entre les Cisalpins et Rome, et de tentatives d'émigration de la Gaule transalpine en Italie. »

[10] TITE LIVE : Histoire romaine - Livre V, 34.

[11] TITE LIVE : « Histoire Romaine » Livre V chapitres de 38 à 49.

[12] KRUTA. (Venceslas.). Les Celtes, histoire et dictionnaire, Robert Laffont, coll. « Bouquins », Paris, 2000,

[13] JUSTIN : Histoires philippiques, XXIV, 5.

[14] POSIDONIOS d'Apamée : Histoire XXIII - (Athénée, Deipnosophistes IV 37, 1-19).
STRABON / (Géographie, livre IV, II, 3)

[15] STRABON : Géographie, livre IV, II, 3.
APPIEN : Histoire Romaine, IV, 12.
FLORUS : Histoire Romaine, III, 3.

[16] TITE LIVE :, Periochae, 61

[17] CESAR. (Jules.). : « La Guerre des Gaules » Livre VII, chapitre IV.

[18] CESAR. (Jules.). : « La Guerre des Gaules » Livre VII, chapitre V.

[19] POSIDONIOS d'Apamée: Ses vastes enquêtes ethnologiques et géographiques lui ont ainsi permis de décrire les mœurs et la structure sociale des Gaulois. [ Dossier pour la science no 61, oct. 2008.

[20] CESAR. (Jules.). : « La Guerre des Gaules » Livre VII, chapitre V.

[21] CESAR. (Jules.). : « La Guerre des Gaules » Livre VII, chapitre XV.

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BIBLIOGRAPHIE :

Auteurs antiques :

BEHAIM Martin : « Globe ».

DENYS le Périégète : « Description du monde habité » ;

DIODE de Sicile : « Histoire Universelle »

HERODOTE : « Histoire » ;

PLINE l'Ancien : « Histoire Naturelle » Livre XXXIV, chapitre 162.

PTOLEMEE : « Géographie. » Livre II.

NICEPHORE Blemmydas : « Géographie synoptique ».

SOLIN Caius Julius : «Les Merveilles du monde ».

STRABON : « Géographie Universelle ».

TITE LIVE : « Histoire romaine » - Livre V.
Auteurs contemporains :

AUGIER. (L.). BUCHSENSCHUTZ. (O.). RALSTON. (I.). : « Un complexe princier de l'âge du Fer : l'habitat du promontoire de Bourges (Cher), VIe-IVe s. av. J.-C, ». Revue archéologique du centre de la France 2007 : suppl. 32, 200 p.

CHASTAGNOL. (André.). ROBERT. (Étienne.). : « Bordeaux antique. », Annales. Économies, Sociétés, Civilisations, 1969, vol. 24, n° 2, pp. 454-461.

DE LA SAUSSAYE. (L.). : Mémoires sur plusieurs enfouissements numismatiques découverts dans la Sologne blésoise, dans R.N., 1836, p. 301-320, pl. VIII.

GOUDINEAU. (Christian.). : Annuaire des cours à la chaire d'antiquité nationale du collège de France 2005-2006.

HIERNARD. (Jean.). : Bituriges du Bordelais et Bituriges du Berry : l'apport de la numismatique, Revue Archéologique de Bordeaux, 1997, pp. 61-65.

HUCHER. (Eugène.). : « L'Art gaulois ou les Gaulois d'après leurs médailles » 2 e partie, Paris-Le Mans, 1873, p. 73, fig. 107;

HUGO. (Abel.). : « France historique et monumentale: Histoire générale de France depuis les temps les plus reculés jusqu'a nos jours ... » Editions H.L. Delloye, 1836.

KRUTA. (Venceslas.). : « Les Celtes, Histoire et Dictionnaire ».Edition Lafond. Paris 2000.

MALLARD, Note sur un filon d'étain oxydé situé près du village de Montebras, commune de Soumans (Creuse). Môm. Soc.des se, nat. et arch. de la Creuse, t. tu, p. 161, i89.

MILCENT. (Pierre-Yves.). : « Bourges-Avaricum, un centre proto-urbain celtique au Ve siècle avant J.C. » CNRS. Paris, 2007.

NASH. (Daphné.). : Territory and state formation in central Gaul, in Social Organisation and, Settlemeni, Oxford 1978. Editions D. GREEN, C. HASELGROVE and M. SPRIGGS, B.A.R., Intern. Séries, suppl. 47, p. 455-475.

NOUGIER. (Louis-René.). : « Essai sur le peuplement préhistorique de la France ». In: Population, 9e année, n°2, 1954 pp. 241-274.

THERRY. (Amédée. Simon. Dominique.). : « Histoire des Gaulois depuis les temps les plus reculés jusqu'à l'entière soumission de la Gaule à la domination romaine ». Editions Grégoire, Wouters et Cie, 1842. Page 54.


Posté le : 04/04/2018 17:03
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A bord de ce cahier volant
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A bord de ce cahier volant
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