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Accueil >> newbb >> Gerrit Van Honthorst [Les Forums - Photographe/Peintre]

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#1 Gerrit Van Honthorst
Loriane Posté le : 26/04/2014 21:50
Le 27 avril 1656 à Utrecht meurt Gerrit – ou Gerard – Hermansz.

van Honthorst,


surnommé aussi, en italien, Gherardo delle Notti Gérard des Nuits Utrecht, peintre de genre et d'histoire et un portraitiste néerlandais Provinces-Unies du siècle d’or. il naît le 4 novembre 1590 à Utrechtpeintre de genre et d'histoire et un portraitiste néerlandais Provinces-Unies du siècle d’or. Il a pour maître Abraham Bloemaert et pour éléves Joachim von Sandrart, Willem Van Honthorst, Cornelis Bloemaert ; il appartient au Mouvement artistique de l'École caravagesque d'Utrecht, Caravagisme, Classicisme ses Mécènes sont Vincenzo Giustiniani, Benedetto Giustiniani, Scipione Borghese, Urbain VIII, Élisabeth d'Angleterre, Charles Ier d’Angleterre, Guillaume II d'Orange-Nassau Van Honthorst est Influencé par Le Caravage.

Né dans une riche famille catholique, son père Gerrit est le doyen de la gilde d'Utrecht en 1579 et son grand-père Herman sont tous les deux peintres.
Il commence par être l'élève d'Abraham Bloemaert à Utrecht, puis arrive à Rome vers 1610, où il adhère totalement à l'esthétique nouvelle du Caravagisme. De puissants protecteurs, le cardinal Scipione Borghese, le grand-duc de Toscane et surtout le marquis Gustiniani chez qui il loge, lui font obtenir d'importantes commandes pour les églises de Rome. Rentré en 1620 à Utrecht, inscrit à la gilde des peintres en 1625, il connut un succès considérable. En 1627, Rubens lui rend visite, consacrant ainsi sa renommée. Il produit alors nombre de tableaux religieux et de scènes de genre, et aurait occupé jusqu'à 24 élèves. En 1628, il est invité par Charles Ier à la cour d'Angleterre, où il peint plusieurs portraits et un Mercure présentant les arts libéraux à Apollon et à Diane Hampton Court. En 1635, il réalise de vastes compositions historiques pour Christian IV, roi de Danemark. En 1637, il est inscrit à la gilde de La Haye et devient le peintre favori de la cour du prince d'Orange. Il exécute des tableaux mythologiques pour les châteaux de Rijswijk et de Honselaersdijk, et décore en 1649-50 le célèbre Huis ten Bosch, tout en peignant aussi beaucoup de portraits. La participation de ses élèves est proportionnelle à ses nombreuses commandes.
Avec Hendrick Ter Brugghen et Van Dirck Baburen, Honthorst est l'un des principaux introducteurs du style nouveau et de l'esthétique de Caravage à Utrecht et dans les Pays-Bas du Nord.
Dans les années 1620, il fut, avec Hendrick ter Brugghen et Dirck van Baburen, l'un des principaux représentants de l’École caravagesque d'Utrecht. Son style évolua par la suite vers le classicisme.
Réputé de son vivant, il reçut des commandes notamment de Frédéric V et Élisabeth, roi et reine de Bohême en exil aux Pays-Bas, de Charles Ier d'Angleterre et Christian IV de Danemark, avant de devenir peintre de cour de Guillaume II d'Orange-Nassau. Toutefois, ce sont surtout ses œuvres de la période caravagesque qui font aujourd'hui sa renommée.

Formation à Utrecht

Gerrit van Honthorst est né le 4 novembre 1590 dans une famille catholique d'Utrecht. Il était le fils de Herman van Honthorst, un peintre de décors qui figure aux côtés d'Abraham Bloemaert parmi les fondateurs de la guilde de Saint-Luc d'Utrecht2. En dehors de son père, sa famille comptait plusieurs autres artistes, notamment des peintres et des fabricants de tissus et de tapisseries3. C'est sans doute d'abord auprès de son père qu'il fait son apprentissage, avant de devenir l'élève de Bloemaert.

Rome et Italie v.1610-1620

Au début des années 1610, il part pour Rome afin d'y parfaire sa formation. Il y séjournera plusieurs années, et visitera d'autres villes italiennes, comme Venise – où il est documenté à partir de 1616 – et Florence.
À Rome, il entre en contact avec Guido Reni. Leurs œuvres à tous deux rencontrent un vif succès, ce qui leur permet de trouver en Vincenzo Giustiniani et son frère Benedetto des mécènes importants. Ceux-ci invitent van Honthorst et Reni à venir vivre dans leur palais durant une période assez longue ; ils peuvent alors y étudier une collection incomparable d’œuvres d’art, qui comprend notamment plusieurs tableaux du Caravage. Un dessin daté de 1616 que van Honthorst réalise d'après le Crucifiement de saint Pierre 1600, un tableau du Caravage se trouvant dans l'église Sainte-Marie-du-Peuple, témoigne de sa présence à Rome à cette époque.
En 1618, van Honthorst réalise, pour le compte des carmes déchaux, le retable La Décollation de saint Jean-Baptiste servant à la décoration de l'église Santa Maria della Scala. Il reçoit également des commandes du cardinal Scipione Borghese, qui le charge de la décoration de l’autel majeur de l’église. Paolo, ainsi que du cardinal Barberini, le futur pape Urbain VIII.
Parmi les peintres néerlandais qui vivaient à Rome à la même période, van Honthorst se lie avec Paul Bril et un certain Colijn, en compagnie desquels il retourne à Utrecht en 1620.

Utrecht 1620-1628

Six mois après son retour, van Honthorst épouse Sophia Coopman, qui est la fille d'un riche marchand de vins et en même temps sa cousine. En 1622, il est inscrit dans la guilde de Saint-Luc d’Utrecht. Avec Hendrick Ter Brugghen et Dirck Van Baburen, il devient à cette époque l’un des principaux représentants d'un groupe de peintres hollandais, disciples du Caravage, qui sera plus tard appelé l’ École caravagesque d'Utrecht. Van Honthorst prend alors l’habitude de présenter chacun de ses sujets sous la forme de scène nocturne, depuis la Nativité – ce qu’avait déjà fait auparavant Le Corrège –, jusqu’à Marie Madeleine pénitente, en passant par la Dérision du Christ et le Reniement de saint Pierre.
Rapidement, il acquiert une excellente réputation. Ainsi gagne-t-il le soutien du roi de Bohême, Frédéric V, et surtout de sa femme, Élisabeth, sœur de Charles Ier d'Angleterre – depuis 1621, en effet, le couple vit en exil aux Pays-Bas où il a trouvé refuge dans la maison de sir Dudley Carleton, 1er vicomte de Dorchester, alors ambassadeur à La Haye. Élisabeth charge l’artiste d’enseigner le dessin à ses enfants.
En 1627, van Honthorst peint deux tableaux pour le pavillon de chasse de la famille d'Orange-Nassau à Honselaarsdijk Westland Il achète alors sur la Domplein à Utrecht une vaste maison, dans laquelle il fait aménager un atelier sur 100 m², dont le succès est important, puisqu’il accueillera jusqu’à une vingtaine d’élèves à la fois, payant chacun cent florins par an. Le 28 juillet de la même année, il reçoit, en tant que doyen de la guilde, la visite de Rubens, que Van Honthorst peindra sous les traits de l’ honnête homme cherché par Diogène que celui-ci trouve enfin.
Sir Carleton, de retour en Angleterre 1625, recommande ses œuvres auprès de Thomas Howard, 14e comte d’Arundel6, favori du roi Charles Ier et, tout comme le monarque, grand amateur d'art. Le roi ne tarde pas à inviter le peintre à venir en Angleterre, ce que celui-ci fait en 16284.

Londres en 1628 et Utrecht

De mai à décembre 16282, van Honthorst séjourne à Londres en compagnie de Joachim von Sandrart, son élève. Charles Ier lui confie une partie de la décoration intérieure de la Maison des banquets du Palais de Whitehall. Il peint aussi une série de portraits, ainsi qu’une imposante allégorie représentant Charles et Henriette son épouse en Apollon et Diane dans les nuages, recevant le duc de Buckingham en Mercure, tuteur des enfants du roi de Bohême ; une œuvre que l’on peut voir de nos jours au château de Hampton Court. À Londres, il fait de nouveau la rencontre d’Orazio Gentileschi, arrivé dans la ville en 1626, et qui entretemps avait développé un style différent. Van Honthorst est alors au faîte de la gloire : il reçoit un bon cheval, la citoyenneté anglaise et une pension à vie.
Il repart cependant de nouveau à Utrecht, où sa position parmi les artistes semble avoir été importante. Il réussit à conserver le soutien du monarque anglais, pour qui il exécute en 1631 un portrait du roi et de la reine de Bohême entourés de leurs enfants. À peu près à la même période, il illustre l’Odyssée pour lord Dorchester et compose des scènes de l’histoire du Danemark pour le roi Christian IV – il en subsiste un exemplaire, conservé au Musée de Copenhague4. En 1633, il devient peintre de la cour de Frédéric V et du prince Frédéric-Henri d'Orange-Nassau3.

La Haye 1637-1651

En 1637, il se fixe à La Haye où, pour répondre à la demande, il ouvre sur la Westeinde un second atelier. La même année, il est membre de la guilde de Saint-Luc locale8. En 1641, après la mort de Michiel Van Miereveld, il devient peintre de la cour du stadhouder Guillaume II d'Orange-Nassau. Il participe alors à la décoration des palais de Rijswijk, Honselaarsdijk et, en 1649, à celle de la alle orange l’Oranjezaal du palais Huis ten Bosch. Il exécute également les portraits de bon nombre de dames de cour.

Dernières années à Utrecht 1652-1656

Il rentre à Utrecht en 1652, et y meurt quatre ans plus tard, le 27 avril 1656. C’est là qu’il est enterré, dans la Catharijnekerk – l’église Sainte-Catherine.
Van Honthorst eut de nombreux élèves et assistants, parmi lesquels Joachim von Sandrart et son propre frère Willem Van Honthorst, connu pour les œuvres qu’il réalisa comme peintre de cour de Louise Henriette de Nassau, épouse de Frédéric Guillaume, grand électeur de Brandebourg. Herman, l’autre frère de Van Honthorst, fut un prêtre qui fit parler de lui ; jeté en prison, il fut libéré suite à l'intervention du stadhouder.

Å’uvre.

Le Fils prodigue, 1623 Alte Pinakothek, Munich.
Van Honthorst et ses ateliers a produit de nombreuses œuvres dont il se trouve des exemples dans beaucoup de musées à travers le monde : des tableaux d’histoire de petit format, aux sujets bibliques, mythologiques, allégoriques et littéraires, des peintures de genre montrant des buveurs et des musiciens, ainsi que d’innombrables portraits, notamment de Charles Ier et la reine d'Angleterre, du duc de Buckingham, et du couple souverain de Bohême.
En Italie, il fut influencé par Le Caravage et son utilisation du clair-obscur. Également l’œuvre d’Annibale Carracci constitua pour lui une source d’inspiration. Il se spécialisa progressivement dans des scènes nocturnes montrant des personnages éclairés par la lumière vive d’une chandelle. Ces peintures, au style vigoureux et saisissant, frappent l'imagination et charment la vue, malgré des coloris quelquefois un peu trop assombris ; elles furent très prisées du public et lui valurent le surnom de « Gherardo delle Notti ». Van Honthorst ne se risqua toutefois jamais à un réalisme cru ; contrairement à ce qui est le cas pour ses collègues Hendrick Ter Brugghen et Dirck Van Baburen, ses peintures possèdent toujours un brin d’élégance qui rappelle Bloemaert.
Après son retour à Utrecht, il demeure encore quelque temps fidèle à ce style mais, dans le courant des années 1620, son œuvre se rapproche de plus en plus du classicisme, davantage au goût de la noblesse. Les peintures lisses et froides qu’il réalise finalement dans les dernières années de sa carrière ne témoignent pas d’une grande personnalité, et sont de nos jours moins appréciées. Samuel Van Hoogstraten écrivit à ce propos en 1678 :
Hondhorst ... had in zijn bloeijende tijdt een wakker pinseel gevoert ; maar, 't zy om de juffers te behaegen, of dat hem de winst in slaep wiegde, hy verviel tot een stijve gladdicheyt.
Hondhorst ..., dans sa période d’épanouissement, avait un pinceau vif ; mais, soit pour plaire aux demoiselles, soit qu’il se laissa endormir bercé par le profit, il sombra dans un style lisse et rigide.
Ainsi, sa réputation repose-t-elle principalement sur sa période caravagesque.
Parmi ses œuvres postérieures, cependant, certaines, bien que d'un traitement assez sec, sont loin de manquer d’intérêt, comme ses portraits du duc de Buckingham et de sa famille Hampton Court, du roi et de la reine de Bohême Hanovre et Combe Abbey, et de Marie de Médicis 1628, hôtel de ville d’Amsterdam, les Stadhouders et leurs Femmes Amsterdam et La Haye, les représentations de Charles Louis et Rupert, neveux de Charles Ier d’Angleterre Louvre, Saint-Pétersbourg, Combe Abbey et Willin, et le portrait de William Craven, 1er duc de Craven, 1er baron de Craven National Portrait Gallery, Londres.

L'Oeuvre

Il fut surnommé en Italie " Gherardo della Notte " en raison de ses éclairages contrastés à la bougie : Christ devant le grand prêtre peint pour Vincenzo Giustiniani v. 1617, Londres, N. G. ; Décollation de saint Jean-Baptiste 1618, Rome, S. Maria della Scala, qui procèdent des raccourcis dramatiques et de l'expression réaliste de Caravage. L'éclairage à la bougie, simplifiant les plans et les masses du Christ enfant et saint Joseph couvent S. Silvestro à Montecompatri et Ermitage ou du Reniement de saint Pierre musée de Rennes, présente des solutions analogues à celles que proposera Georges de La Tour en France. Mais, en définitive, dès son retour à Utrecht, Honthorst retint davantage la première manière, claire, de Caravage mais aussi celle de Manfredi ; son apport réside aussi dans l'introduction de la grande manière décorative italienne, qui lui est inspirée par l'étude des Carrache et qui tempère le clair-obscur et le réalisme sans outrance de son Adoration des bergers 1620, Offices. Dans ses scènes de genre, telles que la Joyeuse Compagnie 1620, Offices, les Musiciens au balcon 1622, Los Angeles, J. P. Getty Museum, vus en perspective plafonnante, le Concert 1624, Louvre, l'Entremetteuse 1625, musée d'Utrecht ou l'Arracheur de dents Louvre, il affectionne la disposition à mi-corps des figures, dont l'une, au premier plan, sert de repoussoir, tandis que le clair-obscur cerne beaucoup les formes, qui gardent leur vivacité colorée. L'humour, pris sur le vif, de ces scènes de genre constitue aussi une différence essentielle par rapport au Caravagisme. Les vastes compositions décoratives de la fin de la vie de Honthorst lui furent surtout suggérées par la leçon des Carrache, teintées toutefois de rubenisme. Cependant, il ne sut pas éviter le ton conventionnel dans l'Allégorie du roi et de la reine de Bohême 1636, Herrenhausen ou celle du Mariage de Frédéric Hendrik avec Amalia Van Solms 1650, Oranjezaal, Huis ten Bosch. Ces grandes compositions représentent la part la plus inégale de son œuvre, ainsi que ses portraits, pour la plupart issus de l'atelier. Parmi ses élèves, il en est un de connu, Sandrart, l'historien de la peinture allemande.
Son frère Wilhem Utrecht 1594 – id. 1666 , élève d'Abraham Bloemaert, fut son collaborateur et assimila parfaitement sa manière. Wilhem est certainement l'auteur de nombreux portraits, situés à la fin de la carrière de son frère. Il travailla à Utrecht et à La Haye et, de 1647 à 1664, à Berlin, à la cour du grand Électeur de Brandebourg. Il demeure surtout connu comme portraitiste de l'aristocratie. Nombre de ses œuvres furent signées G. Honthorst ou G. H. en monogramme — comme signait son frère — tel le Portrait de Guillaume II, prince d'Orange Rijksmuseum, qui est une réplique de la version de Gerrit (Mauritshuis). Les musées d'Amsterdam, de Berlin et de Hanovre conservent de nombreux portraits princiers de Wilhem.
Son luminisme nocturne, si proche de Caravage Le Christ devant le grand prêtre, National Gallery, Londres, n'exclut pas l'influence de Bassano L'Adoration des bergers, musée des Offices, Florence, ni les réminiscences manfrediennes dans des sujets d'inspiration hollandaise Le Joyeux Violoniste, Rijksmuseum, Amsterdam.
On doit à Willem van Honthorst des portraits dans la manière de son frère, avec lequel il collabora.

Liste d’œuvres

Le Rijksmuseum d'Amsterdam possède cinq tableaux de Gerrit Van Honthorst :
Le Joyeux Violoniste 1623.
Frédéric-Henri d'Orange-Nassau, prince d'Orange et Stadhouder, avec sa femme Amalia et leurs trois jeunes filles 1647.
Le Musée du Louvre en possède six :
Le Concert au balcon 1624.
La Joueuse de guitare 1624.
L'Arracheur de dents v. 1627.
Portrait du prince palatin Maurice de Bavière 1621-1652, quatrième fils de Frédéric V de Palatinat, roi de Bohème 1640.
Portrait du prince palatin Édouard de Bavière 1624-1665, sixième fils de Frédéric V de Palatinat, roi de Bohème v. 1640.
Portrait de Frédéric-Henri d'Orange-Nassau, prince d'Orange et Stadhouder des Provinces-Unies Pays-Bas v. 1650.

Dans d'autres musées :

Le Reniement de saint Pierre v. 1612, musée des Beaux-Arts, Rennes.
Samson et Dalila v. 1615, Cleveland Museum of Art, Cleveland.
Le Christ devant le grand prêtre Caïphe v. 1617, huile sur toile, 272 x 183 cm, National Gallery, Londres.
Le Christ dans le jardin de Gethsémané v. 1617, Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg.
Le Dîner v. 1619, Galerie des Offices, Florence
L'Enfance du Christ v. 1620, Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg.
L'Incrédulité de saint Thomas v. 1620, Musée du Prado, Madrid.
Le Dentiste, 1622 Gemäldegalerie Alte Meister, Dresde.
Groupe musical sur un balcon 1622, J. Paul Getty Museum à Los Angeles, États-Unis.
Le Fils prodigue 1623, Alte Pinakothek de Munich.
Femme accordant un luth 1624, huile sur toile, 83 × 67 cm, Musée national du Musée national du château de Fontainebleau.
La Joueuse de luth 1624, Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg.
Le Joyeux Violoniste avec un verre de vin 1624, Musée Thyssen-Bornemisza, Madrid.
Solon et Crésus 1624, Kunsthalle, Hambourg.
Le Repas de fiançailles 1625, Galerie des Offices, Florence.
Le Marieur 1625 au Centraal Museum, Utrecht.
La Violoniste 1626, huile sur toile, 84,5 × 66 cm, Musée royal Mauritshuis, La Haye.
Apollon et Diane 1628, Palais d' Hampton Court, Angleterre.
Lamentations du Christ 1633, Cathédrale de Gand.
Le Christ couronné d'épines 1640, J. Paul Getty Museum à Los Angeles,États-Unis.
Portrait de Guillaume, comte de Craven 1642, Fitzwilliam Museum, Université de Cambridge, Angleterre.
Allégorie de la peinture 1648, Crocker Art Museum, Sacramento, Californie.
Margareta Maria de Roodere et ses parents 1652, Centraal Museum, Utrecht.
Jésus et ses disciples, Cathédrale Notre-Dame de Dax.
Le Philosophe imperturbable, Kunsthistorisches Museum Musée de l'histoire de l'art à Vienne, Autriche.
Les Chanteurs, au musée des Beaux-Arts, Lyon.
Saint Sébastien, Cathédrale de Gand.
Le Triomphe de Silène, au Palais des Beaux-Arts, Lille.
Le Couronnement d'épines, aux Musées royaux des beaux-arts de Belgique, Bruxelles.
Nativité, 1622, huile sur toile, 164 × 190 cm, Wallraf-Richartz Museum, Cologne.
A musical party 1616-1618 au National Gallery of Ireland, Dublin.
À noter à la Galerie des Offices de Florence L'Adoration des bergers qui fut détruit pendant les attentats mafieux du 27 mai 1993.

Liens

http://youtu.be/KMxDsE_QGws diaporama
http://youtu.be/Q7YsVddb0AI peintures
http://youtu.be/yP7Rckv42QM peinture sur la musique de Buxtehude
http://youtu.be/Q7YsVddb0AI Avec Bach
http://youtu.be/jEXcFcJpYuI Explications en anglais
http://youtu.be/KkOAQKSKpmc Peintures sur la mandoline


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Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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