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Accueil >> newbb >> Erich Von Stroheim [Les Forums - Photographe/Peintre]

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Erich Von Stroheim
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Le 22 Septembre 1885 à Vienne en Autriche naît Eric Oswald Stroheim, dit Erich von Stroheim, acteur, scénariste, réalisateur écrivain américain d'origine austro-hongroise,


Il fut un des réalisateurs les plus ambitieux de l'époque du cinéma muet. Jugés extravagants et souvent mutilés par les producteurs, ses films ont depuis été reconsidérés par la critique.
Partageant sa carrière entre les États-Unis et la France, c'est cependant en tant qu'acteur qu'il demeure dans les mémoires notamment pour ses interprétations d'un officier allemand dans La Grande Illusion de Jean Renoir (1937) ou d'un metteur en scène déchu dans Boulevard du crépuscule de Billy Wilder en 1950.

Stroheim est un des grands réalisateurs de l'époque du muet, doublé d'une personnalité fascinante et ambiguë. Ses films conservent une valeur intrinsèque en même temps qu'ils ont exercé une influence profonde, durable et salutaire sur l'évolution du cinéma.
Après l'avènement du parlant, le réalisateur s'est effacé derrière l' acteur prestigieux.
Stroheim s'est fait connaître simultanément comme scénariste, metteur en scène et vedette en reconstituant à Hollywood l'Europe du début du siècle avec un souci exacerbé du réalisme dans le détail.
Il prête des aventures de feuilleton à un aristocrate cynique, abusant du prestige de l'uniforme, avec lequel le public n'hésite pas à l'identifier.
Son chef-d'œuvre reste Les Rapaces, dont l'action se déroule en Californie, dans un milieu d'émigrés pauvres, et qui décrit avec une brutalité sans concessions l'avarice, la haine et le sadisme d'êtres frustes.
Toujours en conflit avec les producteurs – presque tous ses films sont mutilés ou ont été interrompus en cours de tournage –, pour vivre il se résigne, à partir de 1928, à exploiter son talent et sa célébrité de comédien.
Il affecte de ne pas en faire grand cas et ne s'en assure pas moins, avant et après la guerre, une longue carrière en France.

Un réalisateur maudit


Né à Vienne le 22 Septembre 1885, Eric Oswald Stroheim est le fils de Benno Stroheim et de Johanna Bondy, juifs pratiquants, il se déclare comte Eric Oswald Marc Hans Carl Maria von Stroheim und Nordenwall, mais il se déclare fils d'un notable autrichien catholique.
il semble avoir travaillé quelque temps dans l'atelier de chapeaux de paille de son père, sa carrière militaireprend rapidement fin, lorsqu'il déserte après six mois de service militaire.
A 24 ans, il émigre aux États-Unis en 1909 sans but précis, grâce au financement d'un oncle.
Après avoir exercé divers métiers, il arrive à Hollywood en 1914, où très vite il entame une carrière d'assistant-réalisateur, notamment auprès de D. W. Griffith sur le tournage d'Intolérance.
En 1917, des films de propagande lui donnent l'occasion d'incarner des junkers prussiens, odieux à souhait.
Son succès, que consacre la formule publicitaire "L'homme que vous aimerez haïr", l'engage à prétendre qu'il s'appelle von Stroheim, qu'il est fils d'aristocrates autrichiens, qu'il a servi comme lieutenant de dragons sous les Habsbourg : une légende qu'il maintiendra jusqu'à ses derniers jours et qui sera universellement adoptée.
Ce sera un personnage de cette caste qu'il incarnera dans "La Loi des montagnes", "Blind Husbands" en 1918, puis "Folies de femmes" "Foolish Wives" en 1921, "La Symphonie nuptiale", "The Wedding March" en 1927 et qu'il confiera à un autre acteur dans Merry Go Round, La Veuve joyeuse,"The Merry Widow" en 1925, Queen Kelly en 1928.
La fin du conflit met un terme provisoire à sa carrière d'acteur.
Il se lance alors dans la réalisation, se révélant un metteur en scène ambitieux et visionnaire, sur un mode pessimiste et cynique.
Dès son premier film, "La Loi des montagnes" en 1919, ses obsessions sont manifestes : l'argent, le sexe et l'infirmité.
Avec Folies de femmes en 1921, il brosse un portrait au vitriol d'une société corrompue par l'argent et le sexe. Perfectionniste, il exige que les armoires et les commodes, qui ne sont pas une seule fois ouvertes, soient remplies de vêtements. Avec La Veuve joyeuse en 1925, il détourne une opérette pour en faire un film sur les orgies dans une cour royale avec infirmes, obsédés sexuels et monarques dégénérés.

C'est avec l'adaptation d'un roman de Frank Norris qu'il donne toutefois sa véritable mesure. Les Rapaces "Greed"en 1923 sont tournés, intérieurs et extérieurs, dans des décors naturels : technique sans précédent pour une œuvre de fiction.
Ce n'est qu'un des procédés auxquels recourt Stroheim pour échapper aux poncifs hollywoodiens et donner une force convaincante aux passions sordides que le public n'est pas alors habitué à voir évoquées à l'écran.
À la fois par la mimique des acteurs, dirigés avec une exceptionnelle maîtrise, et par un jeu de symboles, Stroheim fait comprendre que la cupidité des trois êtres qui les fait se déchirer entre eux n'est qu'une forme de sexualité refoulée.

La projection devait demander trois heures, la pellicule en aurait permis douze.
Stroheim a toujours pensé que cette durée était nécessaire pour évoquer des conflits complexes, et un programme deux fois plus long aurait permis d'amortir le coût élevé de neuf mois de prises de vues.
Devant les kilomètres de pellicule impressionnée, il lui faut plus d'un an pour réduire le montage à cette limite.
La copie lui est alors arrachée et confiée à un professionnel qui la réduit de près de la moitié.
Le supplice que subit ainsi l'auteur, en voyant mutiler son œuvre, lui est infligé en pure perte. L'exploitation n'en est pas moins un désastre financier.
La vision cruelle d'une humanité réduite à des instincts féroces n'est plus masquée, comme dans les œuvres précédentes, par un décor dépaysant et une intrigue mélodramatique.
Située dans un cadre familier où règne en apparence un conformisme petit-bourgeois, elle paraît insoutenable à un public habitué à ne chercher au cinéma qu'un divertissement.
Deux dernières tentatives malheureuses mettent fin à la carrière du réalisateur ; il ne cessera pourtant pas de chercher l'occasion de revenir derrière la caméra. À chaque rôle qu'on lui propose comme acteur, il harcèle de ses suggestions le metteur en scène.
Il publie comme romans les scénarios qui lui sont refusés, mais ils n'ont pas plus de succès auprès des lecteurs qu'auprès des producteurs.

Un double fascinant

La fascination que Stroheim exerça de son vivant procédait en partie de celle que possédait dans ses films son personnage de prédilection, en dépit de travers et de vices étalés sans vergogne : confusion que l'intéressé fit tout pour entretenir.
Cette mythomanie suggère deux interprétations.
Stroheim a pu vouloir compenser les humiliations de sa jeunesse : juif, il s'invente une famille noble ; déserteur, il s'affirme spécialiste des questions militaires ; réduit pendant dix ans à des métiers misérables, il joue les riches oisifs.
Mais il a pu aussi donner libre cours aux instincts qu'il réprimait dans la vie courante et projeter sur un double fictif, qu'il traîne dans la boue avec autant de complaisance qu'il met à l'incarner, ce qu'il aurait rêvé être.

L'incompétence et la mauvaise foi des producteurs qui restaient fermés à son idéal artistique ne sont pas les seules causes qui l'ont fait choisir comme bouc émissaire par Hollywood, chargé des péchés de prodigalité et d'érotisme.
Prodigue pour lui-même, après avoir gagné beaucoup d'argent pendant quarante ans, il est mort pauvre, il eût été surprenant qu'il ne le fût pas avec les deniers d'autrui.
Son insouciance à l'égard des devis et des plans de travail trouve sa source dans son perfectionnisme, mais aussi dans son incapacité à juger si un plan est bon et si une séquence est utile avant de les avoir tournés, et dans la jouissance qu'il éprouve à régner en despote sur le plateau d'un studio.
D'autre part, à une époque où domine encore une morale puritaine, il est un des premiers à en violer les interdits.
Ses scénarios constituent un catalogue des perversités sexuelles.
Leur représentation allusive paraît aujourd'hui anodine, mais, au moment même, elle ne trompa pas les esprits perspicaces qui en admirèrent l'audace, ni les censeurs qui la condamnèrent.

Cet auteur né, qui n'a été surpassé par personne, a fait ses débuts à trente ans, sans formation préalable, avec une maîtrise qui est restée intacte jusqu'à sa mort.
Sa tombe se trouve à Maurepas, dans les Yvelines.
De plus, il tint la gageure de devenir célèbre en incarnant des figures antipathiques et de le rester en jouant des rôles secondaires dans des bandes médiocres : "Un figurant à mille dollars par jour", ainsi qu'il se définissait lui-même. Outre l'emploi qu'il s'est taillé sur mesure, on n'oubliera pas sa composition du commandant de La Grande Illusion en 1937 ni son interprétation du majordome de Sunset Boulevard en 1952.
Mais c'est dans la vie qu'il a joué son meilleur rôle.

La France

Il émigre en France où il est considéré comme une des plus grands cinéastes de son temps avec Charlie Chaplin[réf. nécessaire], et trouve des rôles à la hauteur de son talent, donc celui du commandant à la minerve dans La Grande Illusion, réalisé par Jean Renoir en 1937. Aux côtés de Pierre Fresnay, Jean Gabin et Marcel Dalio.
La même année, Pierre Chenal lui offre un face-à-face avec Louis Jouvet dans L'Alibi. En 1938, il joue avec Michel Simon dans Les Disparus de Saint-Agil de Christian-Jaque. Il devient aussi un spectateur assidu du théâtre du Grand-Guignol au temps de l'administration de José de Bérys.
Alors qu'il s'apprête à réaliser et jouer dans La Dame blanche, un film dont il a écrit le scénario avec Jean Renoir, aux côtés de Louis Jouvet et Jean-Louis Barrault, la Seconde Guerre mondiale éclate.
Von Stroheim retourne alors aux États-Unis.
Après avoir remplacé Boris Karloff dans la pièce de Joseph Kesselring, Arsenic et vieilles dentelles en 1942-1943 à Broadway, il retrouve le chemin des studios incarnant entre autres le maréchal Erwin Rommel dans Les Cinq Secrets du désert de Billy Wilder.
Ce dernier lui offre en 1950 un de ses plus grands rôles dans "Boulevard du crépuscule", critique au vitriol de l'industrie hollywoodienne où réalité et fiction se confondent.
Buster Keaton et Cecil B. DeMille y jouent leurs propres personnages aux côtés de Gloria Swanson dans le rôle de Norma Desmond, une ancienne star du muet, en grande partie inspirée de sa propre expérience.
Quant à Stroheim, il y incarne Max, le majordome et ancien réalisateur des films de Norma, tout comme Stroheim avait dirigé Swanson dans Queen Kelly 20 ans plus tôt.
Sa prestation lui vaut une nomination à l'Oscar du meilleur second rôle masculin lors de la 23e cérémonie des Oscars.

Il est de retour en France au début des années 1950, où il se consacre principalement à l'écriture.
Il publie en 1951 le premier tome des Feux de la Saint-Jean, Véronica, suivi trois ans plus tard du second, Constanzia.
En 1956 paraît Poto Poto, son dernier roman inspiré d'un scénario écrit pour Marlene Dietrich en 1933.
Dans la préface, Blaise Cendrars écrit : "Au-delà de l'histoire, à force de démesure et de cris, d'épouvante et de sang, les personnages imposent l'inexplicable et souvent l'insoutenable présence de leur créateur".
L'un de ses derniers rôles au cinéma est celui de Ludwig van Beethoven dans Napoléon de Sacha Guitry en 1954.


Mariages et enfants

Erich von Stroheim a été marié trois fois :
avec Margaret Knox le 19 février 1913, séparé en novembre 1915,
puis Mae Jones mariage 1916 séparé en juillet 1919 et
Valerie Germonprez qu'il épousa le 16 octobre 1920 et dont il se sépara en 1936 à son départ des États-Unis mais ne divorça jamais.
Il a eu deux fils : Erich Jr. qui vécut de 1916 à 1968 avec Mae Jones, et Josef né en 1922, mort en 2002, marié avec Valerie Germonprez.

Fin de vie

Il finit sa vie à Maurepas Yvelines, près de Paris, avec sa compagne, l'actrice Denise Vernac rencontrée en 1939.
Il est fait chevalier dans l'Ordre de la Légion d'honneur en 1957 peu de temps avant sa mort, à 72 ans, d'un cancer de la moelle épinière.
IL meurt le 12 mai 1957 à Maurepas France où se trouve sa tombe.

Filmographie

En tant que réalisateur

1919 : La Loi des montagnes ou Maris aveugles (Blind Husbands) - également scénariste, décorateur et monteur
1920 : Les Passe-partout du diable (The Devil's Passkey) - également scénariste et décorateur (film perdu)
1921 : Folies de femmes (Foolish Wives) - également scénariste, décorateur et monteur
1923 : Les Chevaux de bois (Merry-Go-Round) - également scénariste et costumier
1924 : Les Rapaces (Greed) - également scénariste, décorateur et monteur
1925 : La Veuve joyeuse (The Merry Widow) - également scénariste et costumier
1926 : La Symphonie nuptiale (The Wedding March) - également scénariste, décorateur, costumier et monteur
1926 : Mariage de prince (The Honneymoon) - également scénariste, décorateur, costumier et monteur (film perdu)
1928 : Queen Kelly ou La Reine Kelly - également scénariste, décorateur et monteur
1933 : Hello, Sister! - également scénariste et dialoguiste.

En tant qu'acteur

1915 : Naissance d'une nation de D. W. Griffith (figuration)
1915 : Captain Macklin de Jack Conway
1915 : Ghosts de George Nichols - également assistant metteur en scène et créateur des costumes
1915 : The Country Boy de Frederick A. Thomson (simple apparition)
1915 : Le Vieil Heidelberg ou Le Prince étudiant de John Emerson - également assistant metteur en scène et conseiller technique
1915 : Secrétaire mondain de John Emerson - également assistant metteur en scène
1916 : Intolérance de D. W. Griffith - également assistant metteur en scène
1916 : Macbeth de John Emerson - également assistant metteur en scène
1916 : Son portrait dans les journaux de John Emerson - également assistant metteur en scène
1916 : Moins que poussière de John Emerson - également assistant metteur en scène
1916 : The Flying Torpedo de John O'Brien et Christy Cabanne : un complice
1917 : Panthea de Allan Dwan - également assistant metteur en scène
1917 : Douglas dans la lune de John Emerson
1917 : Sylvia des services secrets de George Fitzmaurice - également assistant metteur en scène et conseiller technique
1917 : Pour la France de Wesley Ruggles
1917 : Draft 258 de Christy Cabanne
1917 : Who Goes There? de William P.S Earle
1917 : Il court, il court le furet de John Emerson : le bandit borgne - également assistant metteur en scène et conseiller technique
1918 : Le Sceptique de Alan Crosland
1918 : Cœurs du monde (Hearts of the World) de D. W. Griffith - également assistant metteur en scène et conseiller technique
1918 : L'Ennemi dans les murs de Christy Cabanne
1918 : Le Cœur de l'humanité de Allen Jolubar : Eric von Eberhard - également conseiller technique et militaire
1919 : La Loi des montagnes ou Maris aveugles (Blind Husbands) : le lieutenant Eric von Steuben - également réalisateur et scénariste
1921 : Folies de femmes (Foolish Wives) : Wladislaw Sergius Karamzin - également réalisateur et scénariste
1924 : Les Rapaces (Greed) : le vendeur de ballons - également réalisateur et scénariste
1926 : La Symphonie nuptiale (The Wedding March) : Nickolas « Nikki » von Wildeliebe-Rauffenburg - également réalisateur et scénariste
1928 : La Tempête de Sam Taylor - également scénariste
1929 : Le Grand Gabbo de James Cruze
1930 : Agent Z (Three Faces East) de Roy Del Ruth
1931 : Le Sphinx a parlé de Victor Schertzinger
1932 : L'Escadrille perdue de George Archainbaud et Paul Sloane : Arthur von Furst
1932 : Comme tu me veux (As You Desire Me) de George Fitzmaurice
1934 : Crimson Romance de David Howard - également conseiller militaire
1934 : Poste frontière de Franck Strayer - également conseiller militaire
1935 : Le Crime du docteur Crespi de John H. Auer : André Crespi
1935 : Anna Karénine de Clarence Brown - également conseiller militaire
1936 : San Francisco de W.S. Van Dyke - également dialoguiste
1936 : Les Poupées du diable de Tod Browning - également scénariste
1936 : Les Candélabres de l'Empereur de George Fitzmaurice - également scénariste (non crédité)
1936 : Marthe Richard, au service de la France de Raymond Bernard
1937 : Between Two Women de George B. Seitz - également scénariste
1937 : La Grande Illusion de Jean Renoir : le captaine von Rauffenstein
1937 : Mademoiselle docteur de Edmond T. Gréville
1937 : L'Alibi de Pierre Chenal
1938 : Les Pirates du rail de Christian-Jaque
1938 : L'Affaire Lafarge de Pierre Chenal
1938 : Les Disparus de Saint-Agil de Christian-Jaque
1938 : Ultimatum (film, 1938) de Robert Wiene
1938 : Gibraltar de Fedor Ozep : Marson
1938 : Derrière la façade d'Yves Mirande et Georges Lacombe
1939 : Menaces de Edmond T. Gréville
1939 : Rappel immédiat de Léon Mathot
1939 : Pièges de Robert Siodmak
1939 : Le monde tremblera ou La Révolte des vivants de Richard Pottier
1939 : Derrière la façade de Georges Lacombe et Yves Mirande
1939 : Tempête sur Paris de Dominique Bernard-Deschamps
1939 : Macao, l'enfer du jeu de Jean Delannoy
1939 : Paris-New York de Claude Heymann et Yves Mirande
1940 : J'étais une aventurière de Gregory Ratoff
1941 : Ainsi finit notre nuit de John Cromwell
1943 : Les Cinq Secrets du désert de Billy Wilder : Feldmarschall Erwin Rommel
1943 : L'Étoile du Nord (The North Star) de Lewis Milestone : le docteur von Harden
1944 : La Femme et le Monstre (The Lady and The Monster) de George Sherman :le professeur Franz Mueller
1944 : Tempête sur Lisbonne de George Sherman
1944 : La Cible vivante ou Le Grand Flamarion d'Anthony Mann : Le Grand Flamarion
1945 : Scotland Yard Investigator de George Blair
1945 : Le Masque de Dijon de Lew Landers : Dijon
1945 : La Foire aux chimères, de Pierre Chenal
1946 : On ne meurt pas comme ça de Jean Boyer
1947 : La Danse de mort de Marcel Cravenne - également scénariste
1948 : Le Signal rouge de Ernst Neubach
1949 : Portrait d'un assassin de Bernard-Roland
1950 : Boulevard du crépuscule (Sunset Boulevard) de Billy Wilder : Maximillian « Max » von Mayerling
1951 : Minuit quai de Bercy de Christian Stengel
1952 : L'Envers du paradis de Edmond T. Gréville
1953 : Alerte au Sud de Jean Devaivre
1953 : La Mandragore d'Arthur Maria Rabenalt
1955 : Napoléon de Sacha Guitry : Ludwig van Beethoven
1955 : Série noire de Pierre Foucaud
1955 : La Madone des sleepings de Henri Diamant-Berger

En tant que scénariste

Scénarios originaux
1918 : Blind Husbands (La Loi des montagnes)
1919 : Devil's Passkey (Le Passe-partout du diable)
1920 : Foolissh Wives (Folies de femmes)
1921 : Merry-Go-Round (Chevaux de bois)
1926 : Wedding March (La Symphonie nuptiale)
1927 : Queen Kelly (La Reine Kelly)
1927 : Poto-poto - inédit
1928 : Tempest (Tempête)
1928 : East of the Setting Sun (À l'Est du soleil couchant) - inédit
1932 : Walking down Broadway (En descendant Broadway) - inédit
1951 : I'll Waiting for You! (Je t'attendrai) - inédit

Adaptations et découpages techniques

1923 : Greed (Les Rapaces)
1925 : The Merry Widow (La Veuve joyeuse)

Romans

Paprika, trad. Jacqueline Odile Verly, édition André Martel, 1950
première édition : The Macaulay Company, New York, 1935
Les Feux de la Saint-Jean, trad. Renée Nitzschke, édition


Liens

http://youtu.be/1CTvU-pzqY0 1922 Foolish Wives (Erich von Stroheim, Maude George, M
http://youtu.be/OhgYYEqnR-A The north star
http://youtu.be/E_fFC4_Ajh4 La grande illusion



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Posté le : 21/09/2013 19:59
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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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