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Accueil >> newbb >> Edgar Allan Poe 2 suite [Les Forums - Histoire de la Littérature]

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Edgar Allan Poe 2 suite
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Postérité Influence littéraire d'Edgar Allan Poe dans la culture populaire,

Edgar Poe est un auteur prolifique, qui laisse deux romans, de nombreux contes et poèmes, outre ses essais, ses critiques littéraires et son abondante correspondance. Une partie importante de ses contes et poèmes ont été traduits en français par Charles Baudelaire et Stéphane Mallarmé. D'une très grande qualité littéraire, ces traductions comportent cependant quelques erreurs et libertés par rapport à l'original, parfois graves pour la compréhension de la pensée de Poe.
Si les poèmes ont pu faire l'objet de retraductions, le rôle joué par Baudelaire dans la célébrité de Poe en Europe empêche tout travail en ce sens, et seuls les textes qu'il a laissé de côté ont fait l'objet de traductions plus récentes. On trouve plusieurs contes et poèmes de Poe en accès libre sur le web.
Pendant longtemps, l'image d'Edgar Poe fut tronquée ; elle l'est encore dans une partie importante du public.
Poe fut victime d'un pasteur baptiste bien-pensant, par ailleurs littérateur jaloux, Rufus Griswold 1815-1857 — le pédagogue vampire, selon le mot de Baudelaire —, qui s'acharna à détruire son image.
Le 9 octobre 1849, déjà, il écrivait dans le New York Tribune : Edgar Poe est mort. Il est mort à Baltimore avant-hier. Ce faire-part étonnera beaucoup de personnes, mais peu en seront attristées. … L'art littéraire a perdu une de ses plus brillantes et de ses plus bizarres célébrités.
Par la suite, chargé avec James Russell Lowell et Nathaniel Parker Willis d'assurer l'édition des Œuvres posthumes de Poe, il rédigea une notice biographique parue en tête du troisième tome, chef d'œuvre d'ambiguïtés suggestives, de faux vraisemblables, de mensonges masqués, d'imaginations superbement jouées selon Claude Richard.
Il prétendit ainsi qu'il était alcoolique, mélancolique, c'est-à-dire victime d'un déséquilibre mental, et que c'était un personnage sinistre qui avait des éclairs de génie. Les légendes qu'il forgea eurent longtemps seules droit de cité, malgré les protestations des amis de Poe Sarah Helen Whitman, John Neal, George Rex Graham, George W. Peck, Mrs Nichols ou Mrs Weiss. C'est grâce aux travaux de John Henry Ingram 1880, James A. Harrison 1902 et Arthur Hobson Quinn 1941 que la vérité sur le travail de l'écrivain fut rétablie, avec l'édition, en 1902, des œuvres complètes de Poe, dite Virginia Édition, qui comporte dix-sept volumes.
En France même, où ses œuvres ont connu très tôt un large écho, grâce essentiellement aux efforts de Charles Baudelaire, nombre d'études témoignent d'une méconnaissance assez large du poète américain.
Une part des légendes qui se colportent ont d'ailleurs été transmises par Baudelaire, lui-même, qui s'est reconnu dans cette image de l'écrivain hanté et misérable et l'a présenté avec trop d'insistance comme le parangon des poètes maudits et sulfureux. Même s'il dénonce largement les légendes colportées par Rufus Griswold parmi lesquelles celle de l'alcoolisme de Poe, rappelant que, selon plusieurs témoins, il ne buvait généralement que fort peu, il décrit ce supposé alcoolisme comme un moyen mnémonique, une méthode de travail. De même, il lui attribue ses propres penchants pour la drogue.

Plus tard, en 1933, Marie Bonaparte se livra à une importante étude psychanalytique, qui est fréquemment citée parmi les grandes critiques de Poe et de son œuvre, et qui a eu une grande influence sur la réception de l'œuvre de Poe, ne serait-ce qu'en raison de son analyse des textes de Poe suivant le prisme de la psychanalyse freudienne. Cela dit, plusieurs critiques considèrent son ouvrage comme assez contestable dans sa manière de reproduire et d'amplifier certaines légendes véhiculées par Griswold. Par exemple, elle affirme qu'Edgar Poe aurait aperçu, dans sa petite enfance, ses parents faisant l'amour, déduisant de cet événement des complexes dont témoigneraient, selon elle, ses textes. Influencée par les légendes répétées à l'envi depuis Griswold, qui présentent Poe comme un être neurasthénique, alcoolique, drogué, marqué par la fatalité, elle fait partie des analystes qui considèrent que Poe a écrit une œuvre largement autobiographique, transcrivant sur le papier ses propres terreurs. Pour ce faire, si elle corrige certaines erreurs de la traduction de Baudelaire, elle se livre elle-même à certaines déformations, pour justifier son propos. Ainsi, la phrase : Si dans maintes de mes productions, la terreur a été le thème, je soutiens que cette terreur n'est pas d'Allemagne, mais de l'âme — que j'ai déduit cette terreur de ses seules sources légitimes et ne l'ai poussée qu'à ses seuls résultats légitimes., tirée de la préface des Contes du grotesque et de l'arabesque, devient, sous sa plume : Si dans maintes de mes productions, la terreur a été le thème, je soutiens que cette terreur n'est pas d'Allemagne, mais de mon âme. Pour ces critiques, cette lecture ignore pour une part le travail de l'écrivain et méconnaît la pensée de Poe, que l'auteur prétend qualifier de nécrophile en partie refoulé en partie sublimé. Ainsi, selon le psychanalyste Édouard Pichon, les études des psychanalystes sur les artistes, représentées surtout, en France, par celles de Laforgue sur Baudelaire et de Marie Bonaparte sur Edgard Poë, contiennent maints éléments intéressants, mais Freud a le bon sens d'écrire que la psychanalyse ne peut rien nous dire de relatif à l'élucidation artistique". Par ailleurs, et dans une perspective très différente de celle d'une Marie Bonaparte ou d'un René Laforgue, Jacques Lacan a également livré un commentaire psychanalytique de la nouvelle intitulée La Lettre volée.

Hommages

Depuis 1917, une statue d'Edgar Allan Poe réalisée par Moses Ezekiel est installée dans le campus de la faculté de droit de l'université de Baltimore, à l'initiative de l'Edgar Allan Poe Memorial Association of Baltimore, fondée en avril 1907 par le Women's Literary Club of Baltimore.
Une statue en bronze de l'auteur, œuvre de Charles Rudy, a été offerte à la ville de Richmond par le Dr George Edward Barksdale. Installée avec un socle de granit rose sur le square près du Capitole de l'État de Virginie le 30 janvier 1959, elle a été inaugurée le 7 octobre suivant.
Une plaque commémorative a été apposée le 19 janvier 1989, pour le 180e anniversaire de sa naissance, sur la façade d'un immeuble pres de Carver Street, actuellement, Charles Street South, dans le quartier de Bay Village, à Boston, où il a vu le jour. Puis, le 27 avril 2009, lors du bicentenaire de sa naissance, le maire de Boston, Thomas Menino, a inauguré avec Paul Lewis, professeur à Boston College, le square Poe, situé dans le même quartier, à l'angle de Boylston Street et de Charles Street, en face du Boston Common
L'université de Virginie, à Charlottesville, conserve la mémoire d'Edgar Allan Poe et de la chambre où il a vécu de février 1826 à mars 1827. On a donné son nom à l'allée, Poe Alley qui borde le bâtiment.
La West 84th Street, à New York, a été baptisée Edgar Allen Poe Street. Elle est située dans l'Upper West Side, au nord-ouest de Manhattan, entre Riverside Park et Central Park, et coupée par Broadway. C'est là que se trouvait la ferme des Brennan, où les Poe ont vécu quelque temps entre 1844 et 1845. On trouve également une place à son nom dans le Bronx, à proximité du cottage où les Poe ont habité entre 1846 et 184962.
En 1927, une voie a été ouverte dans la zone de la butte Bergeyre, située dans le quartier du Combat, au sud-ouest du 19e arrondissement de Paris, à proximité du parc des Buttes-Chaumont ; elle a été baptisée rue Edgar-Poe l'année suivante.
Plusieurs autres rues portent son nom dans le monde, notamment à Berkeley, Bologne, Carhaix-Plouguer, Fontaine-le-Comte, Hartsdale État de New York, Le Havre, Laredo Texas, Mérignac, Nîmes, Niort, Palerme, Palo Alto, Portland, Providence, Reggio d'Émilie, Richmond, São José dos Pinhais, San Diego, Staten Island, Tours, Woodmere État de New York, Xàbia ; des avenues à Ames, Cleveland, Dayton, East Meadow, Lithopolis Ohio, Mount Pleasant Caroline du Sud, Newark, Northridge Ohio, Somerset New Jersey, Stafford Virginie, Urbana, Vandalia Ohio, Westfield, Worthington Ohio ; des places à Baldwin État de New York, Fairfield, Piscataway, Shelton, South Plainfield New Jersey, Westerville Ohio ; des cours à Annandale Virginie, Kendall Park New Jersey et Morganville New Jersey, à Norfolk, New Windsor État de New York, North Wales Pennsylvanie, Roxbury New Jersey, Staten Island, Williamstown New Jersey.
Plusieurs écoles ont adopté son nom, notamment les écoles élémentaires d’Arlington Heights Illinois, de Suitland, dans le comté de Prince George (Maryland) (Maryland), ou de Girard Estate, au sud de Philadelphie, inscrite dans le NRHP depuis le 4 décembre 1986, ainsi que l’école élémentaire et secondaire (Junior High School) de San Antonio. À Paris, un lycée privé sous contrat, le lycée Edgar-Poe, porte son nom depuis sa création en 1965 dans le 10e arrondissement de Paris.

Demeures conservées

Musée Edgar Allan Poe de Richmond.
La plus ancienne des maisons existant encore où ait vécu Poe se trouve à Baltimore. Elle est conservée sous la forme d’un Musée Edgar Allan Poe. Poe est censé avoir vécu dans cette maison à 23 ans, quand il s’installa une première fois avec Maria Clemm et Virginia ainsi que sa grand-mère et, peut-être, son frère William Henry Leonard Poe. Elle est ouverte au public, de même que le siège de la Société Edgar Allan Poe.
Poe, son épouse Virginia et sa belle-mère Maria ont, par la suite, loué plusieurs maisons à Philadelphie, mais seule la dernière de ces maisons est encore debout. La maison de Spring Garden, où vécut l’auteur en 1843-1844, est aujourd’hui conservée par le Service des parcs nationaux en tant que Site historique national Edgar Allan Poe. Elle se situe entre la 7e rue et la rue Spring Garden et est ouverte du mercredi au dimanche de 9 heures à 17 heures.
La dernière maison de Poe, un cottage dans le Bronx, à New York, est également conservée.
La plus ancienne maison de Richmond, baptisée Virginia, où Poe n’a jamais vécu, est aujourd’hui le siège d’un Musée Edgar Allan Poe, centré sur les premières années de l’écrivain auprès de la famille Allan.

Adaptation de ses Å“uvres

Liste d'adaptations d'œuvres d'Edgar Allan Poe à la télévision et au cinéma.

The Fall of the House of Usher

Au cinéma la première adaptation est le film français muet en 1928 La Chute de la maison Usher réalisé par Jean Epstein. Suit un court métrage muet d'horreur américain la même année : The Fall of the House of Usher réalisé par James Sibley Watson and Melville Webber. Il faut attendre 1960 pour voir La Chute de la maison Usher, film fantastique américain réalisé par Roger Corman. Dans les années 2000 plusieurs film ont été réalisés.
The Fall of the Louse of Usher film d'horreur anglais de Ken Russell interprété par lui-même et Mediæval Bæbes. L'année suivante : Descendant72 film hollandais en anglais avec Katherine Heigl et Jeremy London.
En 2004 : Usher écrit et réalisé par Roger Leatherwood. Et en 2006, The House of Usher film policier réalisé par Hayley Cloake.
Trois opéras ont également été écrit : La Chute de la maison Usher opéra inachevé, il travailla à sa partition de 1908 à 1917, mais ne l'acheva jamais en un acte et deux scènes que Claude Debussy composa sur son propre livret. Une première version de The Fall of the House of Usher par Glass et une seconde The Fall of the House of Usher un opéra rock de Peter Hammill.

The Tell-Tale Heart (1843)

La première adaptation eu lieu en 1914 : La Conscience vengeresse The Avenging Conscience ou Thou Shalt Not Kill en anglais film américain réalisé par D. W. Griffith. Puis Le Cœur révélateur The Tell-Tale Heart en anglais court-métrage américain réalisé par Jules Dassin, sorti en 1941.
Un nouveau court métrage américain de moins de dix minutes portant le même titre The Tell-Tale Heart sort en 1953. Un troisième film portant le même titre original sort en 1960, il s'agit d'un long métrage d'horreur de 78 minutes réalisé par Ernest Morris. En 2009 sort le long métrage anglo-américain Tell tale réalisé par Michael Cuesta avec Josh Lucas, Lena Headey et Brian Cox.
En 2012, Ryan Connolly sort un court-métrage d'horreur psychologique Tell.
Le jeu vidéo The Dark Eye dans ses énigmes fait référence à Poe et à The Tell-Tale Heart.

The Raven (1845)

The Raven a été adapté six fois au cinéma à commencer en 1915 par un film muet sur la biographie d'Edgar Allan Poe réalisé par Charles Brabin avec Charles Brabin dans le rôle d'Edgar Poe. Puis en 1935 sort le film horreur américain Le Corbeau The Raven de Lew Landers avec Boris Karloff et Béla Lugosi.
En 1963 sort le film fantastique américain Le Corbeau de Roger Corman avec à nouveau Boris Karloff, Jack Nicholson et Vincent Price. La quatrième adaptation The Raven82 sort en 2006 dirigée par le réalisateur allemand Ulli Lommel. En 2011 le réalisateur britannique Richard Driscoll sort Evil Calls: The Raven. En 2012 la sixième adaptation se nomme L'Ombre du mal ou Le Corbeau au Québec, The Raven, qui est un thriller américain réalisé par James McTeigue.

Å’uvres

Théâtre


Politien (Politian, Richmond, Southern Literary Messenger, deux livraisons, décembre 1835–janvier 1836, inachevé)
"Edgar Poe, le fantôme de Baudelaire", adaptation libre de la correspondance de Baudelaire et de Barbey d'Aurevilly par Gérald Stehr, TriArtis éditions, mai 2013, ISBN : 978-2- 916724-46-1

Romans

Les Aventures d'Arthur Gordon Pym (The Narrative of Arthur Gordon Pym of Nantucket, deux livraisons, Southern Literary Messenger, janvier-février 1837 ; en volume, juillet 1838)
Le Journal de Julius Rodman (The Journal of Julius Rodman, six livraisons, Philadelphie, Burton's Gentleman's Magazine, janvier-juin 1840), inachevé

Essais

Lettre à B… (Letter to M., Poems, New York, Elam Eliss, 1831 ; Letter to B —, Richmond, Southern Literary Messenger, juillet 1836)
Le Joueur d'échecs de Maelzel (Maelzel's Chess Player, Richmond, Southern Literary Messenger, avril 1836)
Philosophie de l'ameublement (The Philosophy of Furniture, Philadelphie, Burton's Gentleman's Magazine, mai 1840)
Quelques mots sur l'écriture secrète (A Few Words on Secret Writing, Philadelphie, Graham's Magazine, juillet 1841)
Exorde (Exordium, Philadelphie, Graham 's Magazine, janvier 1842)
La Philosophie de la composition (The Philosophy of Composition, Philadelphie, Graham's Magazine, avril 1846), titre exact de La Genèse d'un poème
L'Art du conte Nathaniel Hawthorne (Tale-Writing-Nathaniel Hawthorne, Godey's Ladys Book, novembre 1847)
Eureka (Eureka: A Prose Poem, New York, Wiley & Putnam, mars 1848)
Le Fondement de la métrique (The Rationale of Verse, Richmond, Southern Literary Messenger, octobre 1848)
Marginalia (New York, J. S. Redfield décembre 1850), recueil posthume de brefs textes parus dans divers journaux entre 1844 et 1849
Le Principe poétique (The Poetic Principle, Southern Literary Messenger, 31 août 1850), posthume

Contes et nouvelles

Voir la catégorie dédiée : Catégorie:Nouvelle d'Edgar Allan Poe
Metzengerstein (Philadelphie, Philadelphia Saturday Courier, 14 janvier 1832)
Le Duc de l'Omelette (The Duc De L'Omelette, Philadelphie, Philadelphia Saturday Courier, 3 mars 1832)
Un événement à Jérusalem (A Tale of Jerusalem, Philadelphie, Philadelphia Saturday Courier, 9 juin 1832)
Perte d'haleine (Loss of Breath, Philadelphie, Philadelphia Saturday Courier, 10 novembre 1832)
Bon-Bon (Philadelphie, Philadelphia Saturday Courier, 1er décembre 1832)
Manuscrit trouvé dans une bouteille (MS. Found in a Bottle, Baltimore, Baltimore Saturday Visiter, 19 octobre 1833)
Le Rendez-vous (The Assignation, Richmond, Godey's Lady's Book, janvier 1834)
Bérénice (Berenice, Richmond, Southern Literary Messenger, mars 1835)
Morella (Richmond, Southern Literary Messenger, avril 1835)
Lionnerie (Lionizing, Richmond, Southern Literary Messenger, mai 1835)
Aventure sans pareille d'un certain Hans Pfaall (The Unparalleled Adventure of One Hans Pfaall, Richmond, Southern Literary Messenger, juin 1835)
Le Roi Peste (King Pest, Richmond, Southern Literary Messenger, septembre 1835)
Ombre (Shadow - A Parable, Richmond, Southern Literary Messenger, septembre 1835)
Quatre bêtes en une (Four Beasts in One - The Homo-Cameleopard, Richmond, Southern Literary Messenger, mars 1836)
Mystification (American Monthly Magazine, juin 1837)
Silence (Silence - A Fable, Baltimore, Baltimore Book, automne 1837)
Ligeia (Baltimore American Museum, septembre 1838)
Comment écrire un article à la Blackwood (How to Write A Blackwood Article, Baltimore, Baltimore American Museum, novembre 1838)
Une position scabreuse (A Predicament, Baltimore, Baltimore American Museum, novembre 1838)
Le Diable dans le beffroi (The Devil in the Belfry, Philadelphie, Saturday Chronicle and Mirror of the Times, 18 mai 1839)
L'Homme qui était refait (The Man That Was Used Up, Philadelphie, Burton's Gentleman's Magazine, août 1839)
La Chute de la maison Usher (The Fall of the House of Usher, Philadelphie, Burton's Gentleman's Magazine, septembre 1839)
William Wilson (Philadelphie, The Gift: A Christmas and New Year's Present for 1840, octobre 1839)
Conversation d'Eiros avec Charmion (The Conversation of Eiros and Charmion, Philadelphie, Burton's Gentleman's Magazine, décembre 1839)
L'Homme d'affaires (The Business Man, Philadelphie, Burton's Gentleman's Magazine, février 1840)
Philosophie de l'ameublement (Philadelphie, mai 1840)
Pourquoi le petit Français porte-t-il le bras en écharpe? (Why the Little Frenchman Wears His Hand in a Sling, Philadelphie, Tales of the Grotesque and Arabesque, 1840)
Préface des Contes du Grotesque et de l'Arabesque (Philadelphie, 1840)
L'Homme des foules (The Man of the Crowd, Philadelphie, Graham's Magazine, décembre 1840)
Double assassinat dans la rue Morgue (The Murders in the Rue Morgue, Philadelphie, Graham's Magazine, avril 1841)
Une descente dans le Maelstrom (A Descent into the Maelström, Philadelphie, Graham's Magazine, mai 1841)
L'Île de la fée (The Island of the Fay, Philadelphie, Graham's Magazine, juin 1841)
Colloque entre Monos et Una (The Colloquy of Monos and Una, Philadelphie, Graham's Magazine, août 1841)
Ne pariez jamais votre tête au diable (Never Bet the Devil Your Head, Philadelphie, Graham's Magazine, septembre 1841)
Éléonora (Eleonora, Philadelphie, The Gift for 1842, 4 septembre 1841)
La Semaine des trois dimanches (Three Sundays in a Week, Saturday Evening Post, 27 novembre 1841)
Le Portrait ovale (The Oval Portrait, Philadelphie, Graham's Magazine, avril 1842)
Le Masque de la Mort Rouge (The Masque of the Red Death, Philadelphie, Graham's Magazine, mai 1842)
Le Jardin paysage (The Landscape Garden, Snowden's Ladies' Companion, octobre 1842), texte fondu plus tard dans Le Domaine d'Arnheim
Le Mystère de Marie Roget (The Mystery of Marie Roget, Snowden's Ladies' Companion, novembre et décembre 1842, février 1843)
Le Puits et le Pendule (The Pit and the Pendulum, The Gift: A Christmas and New Year's Present, 1843)
Le Cœur révélateur (The Tell-Tale Heart, The Pioneer, janvier 1843)
Le Scarabée d'or (The Gold-Bug, Philadelphie, Dollar Newspaper, 21 et 28 juin 1843)
Le Chat noir (The Black Cat, Philadelphie, United States Saturday Post, 19 août 1843)
De l'escroquerie considérée comme l'une des sciences exactes (Diddling, intitulé à l'origine : Raising the Wind; or, Diddling Considered as One of the Exact Sciences, Philadelphie, Philadelphia Saturday Courier, 14 octobre 1843)
Un matin sur le Wissahicon (Morning on the Wissahiccon, The Opal, automne 1843)
Les Lunettes (The Spectacles, Dollar Newspaper, 27 mars 1844)
Le Canard au ballon (New York, 13 avril 1844)
Souvenirs de M. Auguste Bedloe (A Tale of the Ragged Mountains, Godey's Lady's Book, avril 1844)
L'Enterrement prématuré (The Premature Burial, Dollar Newspaper, 31 juillet 1844)
Révélation magnétique (Mesmeric Revelation, Columbian Magazine, août 1844)
La Caisse oblongue (The Oblong Box, Godey's Lady's Book, septembre 1844)
L'Ange du bizarre (The Angel of the Odd, Columbian Magazine, octobre 1844)
La Lettre volée (The Purloined Letter, The Gift: A Christmas and New Year's Present, automne 1844)
C'est toi l'homme !, d'abord traduit sous le titre: Ecce homo (Thou Art the Man, Godey's Lady's Book, novembre 1844)
La Vie littéraire de Monsieur Thingum bob, ancien rédacteur en chef de L'Oie soiffarde The Literary Life of Thingum Bob, Esq., Richmond, Southern Literary Messenger, décembre 1844
Le Mille Deuxième Conte de Schéhérazade (The Thousand-and-Second Tale of Scheherazade, Godey's Lady's Book, février 1845)
Petite Discussion avec une momie (Some Words with a Mummy, The American Review, avril 1845)
Puissance de la parole (The Power of Words, Democratic Review, juin 1845)
Le Démon de la perversité (The Imp of the Perverse, Philadelphie, Graham's Magazine, juillet 1845)
Le Système du docteur Goudron et du professeur Plume (The System of Doctor Tarr and Professor Fether, Philadelphie, Graham's Magazine, novembre 1845)
La Vérité sur le cas de M. Valdemar (The Facts in the Case of M. Valdemar, The American Review, décembre 1845)
Le Sphinx (The Sphinx, Arthur's Ladies Magazine, janvier 1846)
La Barrique d'amontillado (The Cask of Amontillado, Godey's Lady's Book, novembre 1846)
Le Domaine d'Arnheim (The Domain of Arnheim, Columbian Lady's and Gentleman's Magazine, mars 1847)
Mellonta Tauta (Flag of Our Union, février 1849)
Hop-Frog (Flag of Our Union, 17 mars 1849)
Von Kempelen et sa découverte (Von Kempelen and His Discovery, Flag of Our Union, 14 avril 1849)
Un Entrefilet aux X (X-ing a Paragrab, Flag of Our Union, 12 mai 1849)
Le Cottage Landor (Landor's Cottage, Flag of Our Union, 9 juin 1849)
Introduction du recueil Le Club de l'In-Folio (1850, posthume)
Le Phare (The Light-House, Londres, Notes and Queries 25 avril 1942, manuscrit incomplet)

Poèmes

Poésie (Poetry, écrit en 1824, édition posthume)
Ô, temps! Ô, mœurs! (O, Tempora! O, Mores!, écrit en 1825, édition posthume, non authentifié par Poe)
Tamerlan (Tamerlane, juillet 1827, Tamerlane and Other Poems)
Chanson (Song, juillet 1827, Tamerlane and Other Poems)
Imitation (Imitation, juillet 1827, Tamerlane and Other Poems)
Un rêve (A Dream, juillet 1827, Tamerlane and Other Poems)
Le Lac (The Lake, juillet 1827, Tamerlane and Other Poems)
Les Esprits des morts (Spirits of the Dead, juillet 1827, Tamerlane and Other Poems)
L'Étoile du soir (Evening Star, juillet 1827, Tamerlane and Other Poems)
Rêves (Dreams, juillet 1827, Tamerlane and Other Poems)
Stances (Stanzas, juillet 1827, Tamerlane and Other Poems)
Le Jour le plus heureux (The Happiest Day, 15 septembre 1827, The North American)
À Margaret (To Margaret, vers 1827, édition posthume)
Seul (Alone, écrit en 1829, édition posthume)
À Isaac Lea (To Isaac Lea, écrit vers 1829, édition posthume)
À la rivière —— (To The River ——, 1829, Al Aaraaf, Tamerlane, and Minor Poems)
À —— (To ——, 1829, Al Aaraaf, Tamerlane, and Minor Poems)
La Romance (Romance, 1829, Al Aaraaf, Tamerlane, and Minor Poems)
Le Pays des fées (Fairy-Land, 1829, Al Aaraaf, Tamerlane, and Minor Poems)
À la science (Sonnet - To Science, 1829, Al Aaraaf, Tamerlane, and Minor Poems)
Al Aaraaf (Al Aaraaf, 1829, Tamerlane, and Minor Poems)
Un acrostiche (An Acrostic , écrit en 1829, édition posthume)
Elizabeth (Elizabeth, écrit en 1829, édition posthume)
À Hélène (To Helen, 1831, Poems)
Un péan (A Pæan, 1831, Poems)
La Dormeuse (The Sleeper, 1831, Poems)
La Cité dans la mer (The City in the Sea , 1831, Poems)
La Vallée de l'angoisse (The Valley of Unrest, 1831, Poems)
Israfel (Israfel, 1831, Poems)
Énigme (Enigma, 2 février 1833, Baltimore Saturday Visiter)
Fanny (Fanny, 18 mai 1833, Baltimore Saturday Visiter)
Le Colisée (The Coliseum, 26 octobre 1833, Baltimore Saturday Visiter)
Sérénade (Serenade, 20 avril 1833, Baltimore Saturday Visiter)
À quelqu'un au paradis (To One in Paradise, janvier 1834, Godey's Lady's Book)
Hymne (Hymn, avril 1835, Southern Literary Messenger)
À Elizabeth (To Elizabeth, septembre 1835, Southern Literary Messenger, réédité sous le titre : To F——s S. O——d en 1845)
Ode à la reine de mai (May Queen Ode , écrit vers 1836, édition posthume)
Chanson spirituelle (Spiritual Song, écrit en 1836, édition posthume)
Hymne latin (Latin Hymn, mars 1836, Southern Literary Messenger)
Ballade de noces (Bridal Ballad, janvier 1837, Southern Literary Messenger, publié d'abord sous le titre : Ballad)
À Zante (Sonnet - To Zante, janvier 1837, Southern Literary Messenger)
Le Palais hanté (The Haunted Palace, avril 1839, American Museum)
Un sonnet - Le silence (Silence–A Sonnet, 4 janvier 1840, Saturday Courier)
Lignes sur Joe Locke (Lines on Joe Locke, 28 février 1843, Saturday Museum)
Le Ver vainqueur (The Conqueror Worm, janvier 1843, Graham's Magazine)
Lénore (Lenore, février 1843, The Pioneer)
Une chanson de campagne (A Campaign Song, écrit en 1844, fragment - édition posthume)
Terre de songe (Dream-Land, juin 1844, Graham's Magazine)
Impromptu. À Kate Carol (Impromptu. To Kate Carol, 26 avril 1845, Broadway Journal)
À F—— (To F——, avril 1845, Broadway Journal, réédité sous le titre :To Frances le 6 septembre 1845 dans le Broadway Journal)
Eulalie (Eulalie, juillet 1845, American Review: A Whig Journal)
Épigramme pour Wall Street (Epigram for Wall Street, 23 janvier 1845, Evening Mirror)
Le Corbeau (The Raven, 29 janvier 1845, Evening Mirror)
Le Droit divin des rois (The Divine Right of Kings, octobre 1845, Graham's Magazine)
Une valentine (A Valentine, 21 février 1846, Evening Mirror, publié originellement sous le titre : To Her Whose Name Is Written Below)
Le Médecin bien-aimé (Beloved Physician, écrit en 1847, inachevé, édition posthume)
Profondément en terre (Deep in Earth, écrit en 1847, inachevé, édition posthume)
À M. L. S—— (1847) (To M. L. S——, 13 mars 1847, The Home Journal)
Ulalume (Ulalume, décembre 1847, American Whig Review)
Lignes sur la bière (Lines on Ale, écrit en 1848, édition posthume)
À Marie Louise (To Marie-Louise, mars 1848, Columbian Magazine)
Une énigme (An Enigma, mars 1848, Union Magazine of Literature and Art)
À Hélène (To Helen, novembre 1848, Sartain's Union Magazine)
Un rêve dans un rêve (A Dream Within A Dream, 31 mars 1849, The Flag of Our Union)
Eldorado (Eldorado, 21 avril 1849, Flag of Our Union)
Pour Annie (For Annie, 28 avril 1849, Flag of Our Union)
À ma mère (To My Mother, 7 juillet 1849, Flag of Our Union)
Annabel Lee (Annabel Lee, 9 octobre 1849, New York Daily Tribune, édition posthume)
Les Cloches (The Bells, novembre 1849, Sartain's Union Magazine, édition posthume)

Liens

http://youtu.be/NElAKX8mCOI La chute de la maison Uscher
http://youtu.be/OJeIACeSf-M Le corbeau brrr...
http://youtu.be/tsp0y7N-YtA Histoires extraordinaires
http://youtu.be/n0zkFo3IkcY Burton et Allan Poe
http://youtu.be/gfOjuj3Pyjg Le coeur révélateur
http://youtu.be/b1d4DfM-kk4 La lettre volée
http://youtu.be/wOL_Ef0A3is Le diable dans le beffroi
http://youtu.be/7l31vTPjRwU Manuscrit trouvé dans une bouteille
http://youtu.be/Y5LIAkJJELw Waldemar en Allemand (ambiance)


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Posté le : 17/01/2014 19:15

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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