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Edvard Grieg
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Le 15 juin 1843, à Bergen en Norvège naît Edvard Hagerup Grieg

ˈɛdʋɑʁd ˈhɑːgəʁʉp ˈgʁɪg


mort le 4 septembre 1907, à Bergen compositeur et pianiste norvégien de la période romantique. Sa découverte en 1863 du folklore norvégien et de ses danses paysannes en fera toute sa vie un militant inépuisable d'un art musical national, mort à 64 ans le 4 septembre 1907, à Bergen. Grand harmoniste auquel ne seront pas indifférents un Claude Debussy ou un Maurice Ravel, maître de la petite forme (pièces pour piano), il composera ses œuvres les plus célèbres dans le domaine orchestral comme le Concerto pour piano en la mineur et Peer Gynt, musique de scène composée pour le drame d'Henrik Ibsen.

Illustre représentant de l'identité nationale norvégienne au moment où celle-ci s'affirme, génie mélodique extraordinaire avec des faiblesses évidentes sur le plan formel qu'il était le premier à reconnaître, tel nous apparaît aujourd'hui Edvard Grieg, maître de la petite forme romantique. Son influence sur la musique de son pays, mais aussi sur toute une génération de musiciens britanniques Frederick Delius, Percy Grainger, Arnold Bax est inépuisable. Le critique musical français Camille Bellaigue disait de lui : Son talent semble fait d'imagination plus que de réflexion, pour affirmer ensuite que la seule chose dont Grieg n'a jamais manqué est une idée. Vincent d'Indy, de son côté, a pu le décrire comme un musicien tout en trouvailles, et incapable de logique, mais plus sensible au charme d'un accord qu'aux déductions du développement .
Sa lutte pour un art national, soutenue par son compatriote H. Kjerulf 1815-1868, est reconnue et révélée à l'étranger par Liszt en 1870. Dès lors, Grieg mène parallèlement la composition, une carrière difficile d'organisateur de la vie musicale en Norvège et ses tournées de concerts. Chef d'orchestre apprécié, il n'est pas un pianiste virtuose, mais un interprète sensible. Avec l'aide de J. Svendsen il arrive peu à peu à imposer son idéal d'une musique nationale, et désormais sa vie est une succession de triomphes et de pénibles dépressions physiques. Il s'éteint le 4 décembre 1907, épuisé par les ultimes tournées de concerts.La célébrité de Grieg repose sur un certain nombre de malentendus. Ses œuvres les plus jouées aujourd'hui, Peer Gynt et le Concerto en la , pour être populaires, n'en sont pas moins des partitions où les principales qualités du compositeur n'apparaissent pas avec le plus d'évidence ; la lourdeur de son orchestration et son manque de maîtrise de la forme sont des handicaps dont il était d'ailleurs conscient. C'est dans la petite forme que Grieg a toujours été le plus à l'aise, notamment dans ses mélodies et ses pièces pour piano. Une trop rapide assimilation à la musique de salon de la fin du XIX e siècle ne doit pas dissimuler les qualités de ces œuvres. Audacieux harmoniste, cet initiateur à un art impressionniste a influencé des compositeurs tels que Debussy, Ravel et Delius. Son inspiration populaire est également beaucoup plus authentique dans ses pièces vocales et pianistiques que dans les œuvres plus ambitieuses dont Debussy dénonçait le caractère ficelle et truqué. Son langage utilise de fréquentes oscillations entre les modes majeur et mineur, tout comme dans les mélodies populaires norvégiennes où la tierce est instable ; sa phrase musicale est large et très lyrique, mais c'est la perfection de l'écriture pianistique qui attire plus encore l'attention et lui permet d'exprimer l'exceptionnelle sensibilité que l'on retrouve tout au long de son œuvre.
La popularité dont jouit Edvard Grieg repose sur quelques-unes seulement de ses œuvres, reléguant ainsi dans l'ombre le reste d'un catalogue pourtant tout à fait remarquable. Le Concerto pour piano et quelques Pièces lyriques ont empêché le public d'apprécier les autres compositions pour piano, à commencer par des cycles inspirés de la musique populaire norvégienne, d'une étonnante modernité. Les deux suites de Peer Gynt ont occulté les trésors d'invention et de fraîcheur que contient l'ensemble de la partition, et la Chanson de Solveig a dérobé à nos yeux les extraordinaires lieder, sans doute le trésor réel de l'œuvre de Grieg, longtemps ignoré des chanteurs et du public. Le vrai Grieg attend toujours sa renaissance.

Sa vie

Fils d'Alexander Grieg, consul britannique à Bergen, et de Gesine Grieg, Edvard Hagerup Grieg est d'ascendance écossaise par son père. Il est élevé dans une famille de musiciens ; sa mère, pianiste, son premier professeur de piano lui donne ses premières leçons quand il a cinq ans et l'initie aux classiques et aux romantiques, Carl Maria von Weber, Frédéric Chopin et Felix Mendelssohn principalement. Il commence à composer vers l'age de neuf ans.
Un Norvégien de troisième génération
Celui qui devint le symbole même de l'art national norvégien n'est qu'un arrière-petit-fils d'immigré. L'Écossais Alexandre Greig s'établit à Bergen dans les années soixante du XVIIIe siècle. Son petit-fils, Alexandre comme lui, mais déjà Grieg, épousa Mlle Gesine Judith Hagerup, fille d'un notable norvégien. Contrairement à une mystérieuse tradition, Edvard – né le 15 juin 1843, quatrième de cinq enfants – n'a jamais porté le nom de jeune fille de sa mère. Cette dernière est son premier professeur de piano. Les gammes intéressent moins le jeune Edvard que les exercices d'harmonie : le monde de mes rêves, dira-t-il plus tard.

Départ pour le conservatoire

Sous l'influence d'un personnage illustre de la renaissance norvégienne, le violoniste et compositeur Ole Bull, les Grieg décident en 1858 d'envoyer Edvard à Leipzig, au conservatoire le plus célèbre d'Europe. Le jeune homme haïra cet endroit de toute son âme et prétendra n'y avoir rien appris. En vérité, il y reçut une formation solide, quoique conservatrice, découvrit Schumann, dont il restera un fervent admirateur, et s'imprégna de l'air du temps.
Durant l'été 1858, Grieg rencontre le légendaire violoniste norvégien Ole Bull, qui est un ami de la famille et accessoirement le beau-frère de sa mère. Bull remarque les bonnes dispositions pour la musique du jeune homme de quinze ans, et persuade ses parents de l'envoyer au conservatoire de Leipzig pour développer ses talents. Ole Bull secoue l'adolescent et lui dit: tu vas à Leipzig pour devenir un artiste ! À partir de l'automne 1858, Grieg suit donc l'enseignement des plus grands maîtres au conservatoire tel Carl Reinecke, Ernst Ferdinand Wenzel ou Ignaz Moscheles, son ami de longue date. Il y entend beaucoup de grandes œuvres, comme le concerto pour piano de Schumann, interprété par Clara Schumann.
Ses années de conservatoire ne lui laissent pas de très bons souvenirs car il y trouve l'enseignement dépourvu d'intérêt. En outre, il est atteint de pleurésie et souffre toute sa vie de troubles respiratoires. Malgré cela, quatre ans plus tard, il quitte l'institution avec de solides connaissances d'instrumentiste et de compositeur. Il donne son premier concert en 1862, dans sa ville natale de Bergen.

Départ pour le Danemark

En 1863, Grieg part pour Copenhague, où il reste trois années. Les préceptes du plus célèbre des conservatoires de l'Allemagne lui semblent encombrants. Il y rencontre les compositeurs danois Johann Peter Emilius Hartmann et Niels Gade, ainsi que le compositeur de l'hymne national norvégien : Ja, vi elsker dette landet, Rikard Nordraak, qui devient pour Grieg un ami proche et une grande source d'inspiration. Il me tomba des écailles des yeux , écrivit-il plus tard, C'est par Nordraak que j'appris à connaître les chants populaires du Nord et même ma propre nature. Nous nous conjurâmes contre le scandinavisme efféminé de Gade, mâtiné de Mendelssohn, et nous nous engageâmes avec enthousiasme dans la voie nouvelle sur laquelle marche à présent l'école du Nord... . Il lui donne en effet le goût de la musique traditionnelle norvégienne, étant lui-même passionné par l'histoire, les légendes et les mélodies folkloriques de son pays. Nordraak meurt peu de temps après, Grieg compose alors une marche funèbre en son honneur.
Durant son séjour au Danemark, Grieg se fiance avec la cantatrice Nina Hagerup, qui n'est autre que sa cousine. Il l'épouse en 1867, les mariages entre cousins étant plus courants à cette époque. L'année suivante, ils donnent naissance à leur unique fille, Alexandra. Durant l'été 1869, l'enfant tombe malade et meurt à l'âge de dix-huit mois. Après la mort de sa fille, il n'aura pas d'autre enfant. Il consacre du temps aux rencontres avec des compositeurs, notamment Franz Liszt, Richard Wagner, Piotr Ilitch Tchaïkovski et Johannes Brahms.

Premières oeuvres

Il s'installe à Christiana Oslo, où il fonde l'Académie norvégienne de musique en 1867. Dès lors, Grieg n'a de cesse qu'il ne connaisse les innombrables mélodies authentiques que l'organiste Ludwig Mathias Lindeman avait patiemment collectées et soigneusement publiées de 1853 à 1867 sous le titre Aeldre og nyere norske Fjeldmelodier. Dans le même temps, il s'applique à retrouver les rythmes enjoués de ces ganger, halling et autres springar dansés par les paysans au son de cette curieuse et primitive viole d'amour appelée hardangfidle. Aussi n'est-il pas surprenant que les premières œuvres vocales et pianistiques de Grieg portent la marque indélébile de ces découvertes.
Tout en assurant la direction de l'orchestre de la Société Philharmonique d'Oslo, dont son ami, le compositeur norvégien Johan Svendsen, va devenir un éminent chef, Grieg compose abondamment : après les Humoresques et les premières Pièces lyriques éditées en 1867, suivent le fameux concerto pour piano et orchestre en la mineur, les Mélodies norvégiennes et les Scènes de la Vie populaire.
Pendant l'hiver 1869-1870, Grieg séjourne à Rome auprès de Franz Liszt qui l'encourage dans la voie qu'il s'est tracée et donne à sa technique du piano une dimension nouvelle. En 1870, il commence une collaboration avec Bjørnstjerne Bjørnson qui rédige plusieurs livrets. Dès 1872, il peut se consacrer définitivement à la composition : en lui servant une solide rente viagère, l'État norvégien le dégage de toute obligation, l'honore et en fait implicitement un ambassadeur artistique.

La sainte trinité norvégienne

De retour en Norvège, en 1871, glorifié par la nouvelle reconnaissance internationale, il forme avec Bjørnson et Henrik Ibsen une sainte trinité norvégienne dont le but sera de renouveler l'art national. Une série d'œuvres réalisées en collaboration avec Bjørnson une très forte scène dramatique, À la porte du couvent, op. 20, des Mélodies, op. 21, la musique pour le drame Sigurd Jorsalfar, dont la très populaire Marche triomphale aurait dû normalement s'achever par un opéra sur le thème du roi légendaire Olav Trygvason seules trois scènes en subsisteront. Mais Grieg, exaspéré par les retards de Bjørnson dans l'écriture du livret, accepte de composer la musique pour la nouvelle pièce d'Ibsen, Peer Gynt. Bjørnson mettra quinze ans à le lui pardonner. La création de Peer Gynt a lieu en 1876, et, la même année, Grieg compose un recueil de mélodies sur des poèmes d'Ibsen, le très remarquable op. 25. En été, il se déplace à Bayreuth, pour l'ouverture du théâtre et le premier Ring intégral : une série de correspondances pour un journal norvégien révèle un Grieg wagnérien fervent mais critique. À cette époque, il découvre la région montagneuse de Hardanger, où il passera désormais le plus clair de son temps en y écrivant entre autres son Quatuor en sol mineur, op. 27, une superbe Ballade pour baryton et orchestre, op. 32, mais surtout les Mélodies, op. 33, sur les poèmes d'Aasmund Vinje, un autre chef-d'œuvre du genre.

Le voyageur

Grâce à sa renommée internationale, il traverse régulièrement l'Europe, avec un programme obligatoire : le Concerto et les deux suites de Peer Gynt. Il se rend ainsi en 1879 en Allemagne, en 1883 en Allemagne et en Hollande, en 1885 à Leipzig, où il rencontre Brahms, qu'il retrouvera le jour de l'An 1888 en compagnie de Tchaïkovski. Ces années agitées n'apportent que peu d'œuvres nouvelles, parmi lesquelles la très célèbre suite Au temps de Holberg, écrite en 1884 pour célébrer le bicentenaire du Molière scandinave, les Sonates, op. 36, pour violoncelle et piano, et op. 45, pour violon et piano la troisième et enfin de nouveaux opus de Pièces lyriques, genre inauguré en 1867 par l'op. 12. En 1888, il se rend pour la première fois en Angleterre, puis à Paris, à Bruxelles, de nouveau à Paris, et encore en Allemagne. Depuis 1885, les Grieg ont enfin leur maison, à Troldhaugen, près de Bergen, sur un fjord. Fatigué, Grieg commence à refuser les invitations dont celle des Américains, et se remet à composer : des Pièces lyriques encore op. 54 et 57, et deux magnifiques recueils de mélodies : op. 60, sur des poèmes de Vilhelm Krag, mais surtout l'op. 67, Haugtussa, sur des poèmes d'Arne Garborg. Ce dernier recueil, d'une force et d'une unité d'inspiration exceptionnelles, mérite de figurer aux côtés de L'Amour et la vie d'une femme de Schumann.

Les dernières années

En 1897, il accepte à nouveau une tournée en Angleterre et en Hollande. À Amsterdam, il découvre l'orchestre du Concertgebouw de Willem Mengelberg, qu'il invite au festival de Bergen qu'il vient de créer. Une nouvelle tournée en France est annulée, à cause de l'affaire Dreyfus ; Grieg ne retournera à Paris qu'en 1903 : il aura alors à y affronter les antidreyfusards ainsi que la plume empoisonnée de Debussy. En 1901, il engage un jeune compositeur, Johann Halvorsen, pour noter les pièces populaires exécutées sur un violon très particulier, à double cordage, dont on joue dans la région de Hardanger le Hardangerfele : c'est une manière de préserver une partie du patrimoine musical norvégien. Grieg en tirera ses Slåtter, op. 72 Danses paysannes, une de ses œuvres harmoniquement les plus audacieuses.
Son œuvre ultime, les Quatre Psaumes pour chœur, d'une rare puissance et originalité, portera le numéro d'opus 74. La nouvelle tournée en Angleterre, prévue pour 1907, n'aura pas lieu :
Grieg miné par une tuberculose pulmonaire, Grieg s'éteint le 4 septembre 1907, couvert d'honneurs et salué comme l'un des grands bienfaiteurs de cette Norvège désormais libre.

Il sera enterré le 9 du même mois, à Bergen. Cinquante mille personnes suivront son cercueil au rythme de sa Marche funèbre pour la mort de Nordraak, écrite en 1866.

Gloire

De sa collaboration avec Henrik Ibsen naît la musique de scène de Peer Gynt, en 1876, qui connaît un extraordinaire succès, qu'il ne parvient pas à renouveler lors d'une tentative similaire avec le Sigurd Jorsalfar de Bjørnstjerne Bjørnson. Grieg abandonne alors tout espoir de réaliser cet opéra national dont il rêvait.
De 1876 à 1885, il traverse une période de crise. Il préfère alors se pencher sur le folklore et pour se tenir plus près de sa région d'origine, il se fixe en 1885 à Hop, au sud de Bergen, où il fait construire sa villa baptisée Troldhaugen. Là, il écrit une célèbre suite pour cordes, destinée à la commémoration du bicentenaire de la naissance du poète Ludwig Holberg.
Paris l'accueille entre 1889 et 1890, en 1894 puis en 1903. Son concerto pour piano, que joue Raoul Pugno, et les suites de Peer Gynt qu'il dirige lui-même obtiennent un très bon accueil. Partout où il passe, en Angleterre, en Italie, aux Pays-Bas, en Hongrie, en Pologne ou en Allemagne, ses tournées sont triomphales.
Miné par une tuberculose pulmonaire, Grieg s'éteint le 4 septembre 1907, couvert d'honneurs et salué comme l'un des grands bienfaiteurs de cette Norvège désormais libre.

Postérité

Son génie mélodique, la qualité de son écriture pianistique, l'audace de ses harmonies, qui parfois annoncent Claude Debussy, et enfin son inspiration nationale font de Grieg, toutes proportions gardées, une sorte de Frédéric Chopin scandinave.

Œuvres principales

Musique orchestrale Musique concertante Musique de chambre Pièces pour piano Musique lyrique Chœur et orchestre Transcriptions

Musique orchestrale

En automne, op. 11, ouverture de concert 1866
Suite pour cordes du Temps de Holberg, op. 40 1884
Peer Gynt : suite n° 1, op. 46, d'après la musique de scène Peer Gynt 1888
Olav Trygvason, op. 50, œuvre inachevée en trois mouvements pour chœur et orchestre
Suite lyrique, op. 54, orchestration de quelques pièces lyriques op. 54
Peer Gynt : suite n° 2, op. 55, d'après la musique de scène Peer Gynt 1891
Sigurd Jorsalfar, op. 56, suite orchestrale révisée en 1893
Danses symphoniques, op. 64 arrangement pour orchestre 1898
Deux pièces lyriques pour petit orchestre, op. 68, orchestration des 4e et 5epièces lyriques op. 68
Marche funèbre en mémoire de Rikard Nordraak, EG 107
Symphonie en ut mineur

Musique concertante

Concerto pour piano en la mineur, op. 16 1868

Musique de chambre

Sonate pour violon et piano nº 1, op. 8 1865
Sonate pour violon et piano nº 2, op. 13 1867
Quatuor à Cordes en sol mineur, op. 27
Sonate pour violoncelle et piano en la mineur op. 36
Sonate pour violon et piano nº 3, op. 45 1886-1887
Quatre danses symphoniques pour piano à quatre mains, op. 64 1896
Un Quatuor à cordes inachevé en Fa Majeur : 2 mouvements accomplis dont un scherzo d'une grande inventivité
Un trio pour piano, violon et violoncelle Andante con moto en 1 mouvement

Pièces pour piano Pièces lyriques

Soixante-six pièces lyriques opp. 12, 38, 43, 47, 54, 57, 62, 65, 68 et 71 (1867-1901)

Autres pièces

Quatre pièces, op. 1
Tableaux poétiques, op. 3
Humoresques, op. 6
Sonate en mi mineur, op. 7 1865
Vingt-cinq Chants et danses populaires norvégiens, op. 17 1869
Trois scènes de la vie populaire, op. 19
Ballade sur une mélodie norvégienne en forme de variations en sol mineur, op. 24 1875
Quatre feuillets d'album, op. 28
Improvisation sur deux mélodies populaires norvégiennes, op. 29 1878
Suite pour cordes du Temps de Holberg, op. 40 1884
Pièces pour piano d'après des mélodies de l'auteur, op. 41
Pièces pour piano d'après des mélodies de l'auteur, op. 52
Dix-neuf Chants populaires norvégiens, op. 66 1896
Dix-sept Danses paysannes norvégiennes, op. 72 1902
Stimmungen, op. 73 1901-1905

Musique lyrique

Quatre Lieder, op. 2
7 Kinderlieder
De nombreuses Mélodies sur des textes en allemand et en norvégien.

Chœur et orchestre

Peer Gynt, op. 23, musique de scène de la pièce du même nom d'Henrik Ibsen, 1875

Liens

http://youtu.be/O2gDFJWhXp8 Peer Gynt suites
http://youtu.be/fKfGDqXEFkE Concerto en mineur
http://youtu.be/bR3N1yBEGbw La chanson de Solveig
http://youtu.be/W7aAfEuRK5g Danses symphoniques
http://youtu.be/pZZkxLY9uqc Quartet 1 en mineur
http://youtu.be/s47tbA5cTX0 Sonates au violon
http://youtu.be/ByWhPFjBqhE Danses et chants de Norvège


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Posté le : 15/06/2014 00:40

Edité par Loriane sur 15-06-2014 16:57:46
Edité par Loriane sur 15-06-2014 18:14:58
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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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