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Accueil >> newbb >> Georges Onslow [Les Forums - Le coin des Musiciens]

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Georges Onslow
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Le 27 juillet 1784, à Clermont-Ferrand naît George Onslow

compositeur français de musique classique, il eut pour maître Johann Baptist Cramer, Jan Ladislav Dussek et Nicolas-Joseph Hüllman, il est primé par l'acasémie de beaux-arts, il dedécé dans cette même ville, à 69 ans le 3 octobre 1853.

En bref

Ce compositeur français est né et mort à Clermont-Ferrand. De mère française et de père anglais fixé en Auvergne, il était le petit-fils du premier lord Onslow. À Londres, où il séjourne adolescent, il travaille le piano avec Johann Baptist Cramer, Jan Ladislav Dussek et Nicolas Joseph Hüllmandel. De retour à Clermont-Ferrand, il étudie le violoncelle. Pendant deux ans, il voyage en Allemagne et séjourne à Vienne. Vers 1806, il aborde la composition avant de compléter ses études à Paris avec Anton Reicha 1808. Il enseigne le piano et donne des concerts, comptant parmi les figures marquantes du clavier à l'époque romantique. En 1829, un accident de chasse le rend sourd d'une oreille, événement qu'il retrace dans son Quintette no 15 De la balle. En 1842, il succède à Cherubini comme membre de l'Institut, sa candidature étant préférée à celle de Berlioz.
Sa production comporte essentiellement des œuvres de musique de chambre qui traduisent une grande facilité d'écriture et un sens affirmé du rythme. Elles ne sont toutefois pas dépourvues de faiblesses, révélant un musicien très doué qui manquait parfois de concentration. On lui doit cinq sonates pour piano à deux et à quatre mains, six duos pour violon et piano, trois sonates pour violoncelle et piano, une dizaine de trios, trente-six quatuors à cordes, trente-quatre quintettes à cordes on l'a souvent comparé à Boccherini, aussi prodigue que lui dans ce domaine, des sextuors, septuors, octuors, nonettes, quatre symphonies et trois opéras-comiques, L'Alcade de la Vega 1824, Le Colporteur 1827 et Le Duc de Guise 1837.

Sa vie

George Onslow est une figure singulière de l'histoire de la musique : très largement et unanimement reconnu de son vivant, il est aujourd'hui pour ainsi dire oublié, et son œuvre, essentiellement consacrée à la musique de chambre pour cordes, est quasi absente du répertoire depuis plus d'un siècle en édition moderne.

Issu d'une ancienne famille de l'aristocratie anglaise, dont plusieurs membres jouèrent un rôle important dans la vie politique britannique trois d'entre eux furent speaker à la Chambre des communes.

Son père, Édouard, est venu s'installer à Clermont-Ferrand en 1781 à la suite d'un scandale familial qui l'avait contraint à quitter son sol natal. Rapidement intégrés dans la notabilité clermontoise, les Onslow mènent une vie paisible jusqu'en 1789, date à laquelle la Révolution vient compromettre leur sécurité.
Emprisonné en 1793 en raison de sa nationalité, et en dépit de sa connivence avec Couthon dont il était frère en maçonnerie, il est poussé à l'exil en 1797. Son fils aîné, George, l'accompagne dans ce qui va devenir pour lui un voyage d'étude.

Entre 1798 et 1806, il étudie le piano auprès de plusieurs maîtres, notamment Johann Baptist Cramer, Jan Ladislav Dussek et Nicolas-Joseph Hüllmandel qui enseignent à Londres ; des séjours en Allemagne et en Autriche lui permettent de parfaire sa formation d'instrumentiste.
Il ne se destine pas encore à la carrière artistique, et encore moins à celle de compositeur : l'étude du piano n'est qu'un des aspects de son éducation, au même titre que les mathématiques, l'Histoire, l'escrime, l'équitation, le dessin deux de ses frères se consacrèrent à la peinture, etc.
Du point de vue de ses parents, il s'agit davantage d'un talent de salon que d'une compétence professionnelle : du reste, il ne se produisit jamais en récital en tant que pianiste, et ce n'est qu'à Clermont qu'il accepta de temps à autre de faire applaudir ses dons d'improvisateur.
Il pratique également le violoncelle en amateur afin de compléter un quatuor d'amis avec qui il pratiquait le répertoire des maîtres, Mozart, Haydn, le jeune Beethoven. C'est en entendant l'ouverture de Stratonice, un opéra de Méhul, qu'il découvre sa vocation de compositeur : il est alors âgé de 22 ans.
Son premier essai, un recueil de trois quintettes, remporte un tel succès que ses amis, ses interprètes et Camille Pleyel, son éditeur, l'encouragent à persévérer. Quatuors et trios suivent aussitôt, mais il mesure rapidement ses lacunes et décide de compléter ses connaissances théoriques en se remettant aux bons soins d'Anton Reicha qui fut son seul et unique maître de composition. Son influence devait se révéler décisive, tant d'un point de vue esthétique que stylistique.
Il entame alors une brillante carrière qui fait de lui rapidement un compositeur incontournable de la vie musicale de la première moitié du XIXe siècle: les plus grands interprètes l'inscrivent à leur répertoire et son nom côtoie ceux de Mozart, Haydn et Beethoven dont on estime qu'il est le digne et unique successeur. Surnommé le Beethoven français, il est le seul, du moins en France, à se consacrer à la musique de chambre : avec 36 quatuors et 34 quintettes, il laisse une production exceptionnelle qui alimente durant plus de cinq décennies les principales sociétés de concert européennes, tout en faisant les beaux jours des éditeurs jusqu'aux États-Unis Schirmer.
C'est surtout en Allemagne qu'il rencontre la plus grande faveur : inscrit au panthéon des gloires germaniques, il jouit d'une faveur exceptionnelle auprès des musiciens et du public, dont Mendelssohn et Schumann furent les témoins vivants. Non content de réunir les suffrages de ses contemporains, et de bénéficier d'une diffusion éditoriale peu commune, il jouit également d'une large reconnaissance institutionnelle : membre de la plupart des sociétés philharmoniques d'Europe, il fut élu en 1842 à l'Académie des beaux-arts, devant Berlioz notamment.

À une époque où, à Paris notamment, on cultivait surtout le goût du vaudeville et de l'opéra-comique, il incarne la continuité de la grande école classique et sert d'alibi aux tenants d'une décadence de la musique dans un contexte marqué par la privatisation de la vie musicale. Les soirées de quatuor de Baillot à Paris, de Lindley à Londres, et de Zimmermann à Berlin étaient considérées comme les derniers refuges de la véritable musique et il devint le héraut des défenseurs de la tradition et de l'excellence instrumentales contre les dérives que représentaient, à leurs yeux, les romances, les quadrilles et autres musiques de divertissement.
Il n'en compose pas moins trois opéras, poussé à la fois par sa curiosité et le souci d'asseoir sa renommée L'Alcade de la Véga, 1824, Le Colporteur, 1827, et Le Duc de Guise, 1837 : en dépit de leur programmation à la salle Favart, les témoins de leur création sont unanimes à considérer qu'ils auraient mérité d'être montés à l'Opéra. Ses partitions lyriques étaient d'une densité et d'une complexité inhabituelles pour le public de l'époque et, en l'absence de livret de grande qualité critère rédhibitoire à l'époque, ils n'obtinrent qu'un succès d'estime, en dépit du fait qu'ils furent salués par la critique, et en particulier Berlioz qui défendit Le Duc de Guise avec enthousiasme.
Dans sa musique instrumentale et orchestrale, il préfigure le romantisme par la richesse de son harmonie, la prépondérance des chromatismes, le tempérament tempétueux et tourmenté de son écriture et la ferveur de ses thèmes lyriques : la difficulté d'exécution de ses quatuors et quintettes, déjà connue de son temps, constitue un des motifs de leur abandon par les interprètes.

Tout en ayant eu une brillante carrière internationale, et en dépit des sollicitations toujours plus nombreuses, il reste fidèle à l'Auvergne puisque, né à Clermont-Ferrand, il est également décédé dans cette même ville, ce qui le distingue des artistes « montés à Paris ». Très attaché à la capitale auvergnate, apprécié pour sa générosité concerts de bienfaisance, participation aux bonnes œuvres, etc., et son caractère courtois et affable, il fait rejaillir sur Clermont tout le prestige de son nom, sans que sa musique n'y soit jamais vraiment appréciée ni comprise. Il fut un châtelain respecté et entouré de bienveillance : véritable gentleman farmer, il met autant de talent à gérer ses propriétés qu'à négocier ses contrats avec Breitkopf & Härtel ou Maurice Schlesinger.

Tout en ayant une demeure à la campagne châteaux de Chalendrat à Mirefleurs, puis de Bellerive à La Roche-Noire, il conserva toujours ses appartements à Clermont : tout d'abord place Michel de l'Hospital qui s'appelait encore place du Marché aux bois au début du XIXe siècle, puis rue Pascal, au numéro 2, où il décède. Il repose au cimetière des Carmes, à côté de quelques-unes des grandes familles auvergnates. Sur la plaque de sa tombe, on peut lire la phrase d'Hector Berlioz 1829 : Depuis la mort de Beethoven, il tient le sceptre de la musique instrumentale.

Écouter sa musique

La musique de George Onslow est encore trop rarement à l'affiche des concerts, notamment dans ce qu'elle a de plus remarquable : la musique de chambre pour cordes. 36 quatuors et 34 quintettes forment le cœur de son catalogue musical et furent à l'origine de sa renommée partout en Europe et auprès des plus grands interprètes de son temps. De nos jours, et après la redécouverte qu'en fit Carl de Nys dans les années 1970-80 avec la participation du Quatuor Parrenin, quelques ensembles ont inscrit ponctuellement quelques partitions d'Onslow à leur répertoire Quatuor Debussy, Quatuor Coull, Quatuor d'Oxford, L'Archibudelli.
Plusieurs ensembles se consacrent depuis de nombreuses années à la réhabilitation de l'œuvre d'Onslow : le Quatuor Mandelring, qui a enregistré plusieurs CD pour le label CPO, et le Salon Romantique qui a enregistré deux CD chez Pierre Verany-Arion et un chez Lygia Digital extraits sur le site salon-romantique.com.
Mais c'est surtout au Quatuor Prima Vista que l'on doit de redécouvrir l'œuvre chambriste de George Onslow en concert, notamment en reprenant le flambeau de Carl de Nys au château de Valprivas où il a été invité chaque été de 2000 à 2010. Le Quatuor Prima Vista a joué Onslow un peu partout en France, mais aussi à Londres, New-York et Washington, ainsi qu’en Pologne et en Russie récemment à Saint-Pétersbourg.
En Auvergne, il s’est produit dans tous les sites onslowiens : Clermont-Ferrand chapelle des Ursulines, salon de la Mairie, château de Chalendrat, église de Pérignat-ès-Allier, château d’Aulteribe, Sermentizon, Mirefleurs, La Roche Noire, et Blesle. À ce jour, le répertoire onslowien du Quatuor Prima Vista comporte 14 quatuors à cordes, 5 quintettes à cordes et 1 quintette avec piano, ce qui en fait l’ensemble qui a interprété en concert le plus grands nombres de partitions du Beethoven français - une expérience que Prima Vista a partagée notamment avec le public de sa saison clermontoise de 1997 à 2009, ainsi que lors de la Journée Onslow et du festival des Soirées Onslow, deux manifestations dont il est le fondateur et qui sont, actuellement, les seules qui aient été dédiées à Onslow.

Quatuors et quintettes d'Onslow en concert :

Quatuor à cordes Opus 10 n°2
Quintette à cordes Opus 38
Quatuor à cordes Opus 56
Quintette à cordes Opus 74

Catalogue de ses Å“uvres
Opéras
Titre Librettistes 1re représentation Composition Commentaires
Les deux Oncles (Opéra) 1806 un exemplaire daté du 6/12/1806
L'Alcade de la Vega (Drame lyrique) Bujec Opéra, 10 août 1824 1822-1824
Le Colporteur ou l'Enfant du bûcheron (Opéra-comique) Planard Opéra-Comique, 22 novembre 1827 1826
Guise ou les États de Blois (Drame lyrique) Planard, Saint-Georges Opéra-Comique, 8 septembre 1837 1835-1836
Quatuors à cordes
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
no 1 à 3 Si bémol Majeur; Ré Majeur, La mineur 4 1810
no 4 à 6 Do mineur, Fa Majeur, La Majeur 8 1815
no 7 à 9 Sol mineur, Do Majeur, Fa mineur 9 1815
no 10 à 12 Sol Majeur, Ré mineur, Mi bémol Majeur 10 1815
no 13 à 15 Si bémol Majeur, Mi mineur, Mi bémol Majeur 21 1823
no 16 à 18 Mi mineur, MI bémol Majeur, Ré Majeur 36 1828 arrangement des trois trios de l'opus 14
no 19 à 21 Fa dièse mineur, Fa Majeur, Sol Majeur 46 1833
no 22 Do Majeur 47 1833
no 23 La Majeur 48 1834
no 24 Mi mineur 49 1834
no 25 Si bémol Majeur 50 1834
no 26 Do Majeur 52 1834
no 27 Ré mineur 53 1834
no 28 Mi bémol Majeur 54 1835
no 29 Ré mineur 55 1835
no 30 Do mineur 56 1835
no 31 Si bémol Majeur 62 1841
no 32 Ré mineur 63 1841
no 33 Do mineur 64 1841
no 34 Sol mineur 65 1842
no 35 Ré Majeur 66 1844
no 36 La Majeur 69 1845
Duc de Guise 60 1838 arrangé en deux suites
Quintettes
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
no 1 à 3 Mi mineur, Mi bémol Majeur, Ré mineur 1 1806 à deux altos (celui en Mi b à deux violoncelles)
no 4 Sol mineur 17 1821
no 5 Ré Majeur 18 1821
no 6 Mi mineur 19 1821
no 7 Mi bémol Majeur 23 1821
no 8 Ré mineur 24 1824
no 9 Do Majeur 25 1824
no 10 Fa mineur 32 1828 avec contrebasse
no 11 Si bémol Majeur 33 1824 avec contrebasse
no 12 La mineur 34 1824 avec contrebasse
no 1 3 Sol Majeur 35 1824 avec contrebasse
no 1 4 Fa Majeur 37 1829 à deux violoncelles
no 15 Do mineur 38 1829 dit « La Balle » à deux violoncelles
no 16 Mi Majeur 39 1829 à deux violoncelles
no 17 Si mineur 40 1830 à deux violoncelles
no 18 Mi bémol Majeur 43 1832 à deux violoncelles
no 19 Do Majeur 44 1832 à deux violoncelles
no 20 Ré mineur 45 1832 à deux violoncelles
no 21 Sol mineur 51 1834 à deux violoncelles
no 22 Mi bémol Majeur 57 1835 à deux violoncelles
no 23 La mineur 58 1836 à deux violoncelles
no 24 Ré mineur 59 1837 à deux violoncelles
no 25 Fa mineur 61 1839 à deux violoncelles
no 26 Do mineur 67 1844 violoncelle et contrebasse
no 27 Ré Majeur 68 1845 à deux violoncelles
no 28 Sol mineur 72 1847 à deux violoncelles
no 29 Mi bémol Majeur 73 1847 à deux violoncelles
no 30 Mi mineur 74 1848 à deux violoncelles
no 31 La Majeur 75 1848 à deux violoncelles
no 32 Ré mineur 78 1848 à deux altos
no 33 Do mineur 80 1851 à deux altos
no 34 Mi Majeur 82 1851 à deux altos
Sonates pour violon et piano
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
no 1 à 3 Ré Majeur, Mi bémol Majeur, Fa mineur 11 18
no 4 Fa Majeur 15 18
no 5 Mi Majeur 29 18
no 6 Sol mineur 31 18
Sonates pour violoncelle et piano
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
no 1 à 3 Fa Majeur, Do mineur, La Majeur 16 18 partie violoncelle prévue pour alto
Trios pour violon, violoncelle et piano
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
no 1 à 3 La Majeur, Do Majeur, Sol mineur 3 18
no 4 à 6 Mi mineur, Mi bémol Majeur, Ré Majeur 14 18
no 7 Ré mineur 20 1822
no 8 Do mineur 26 1823
no 9 Sol Majeur 27 1823
no 10 Fa mineur 83 1851-1852
Å’uvre pour hautbois et piano
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
Andantino sans opus 1843 inédit (album de G. Vogt)
Quintettes pour violon, alto, violoncelle, contrebasse et piano
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
no 1 Si mineur 70 1846 partie second violoncelle prévue (à la place de la contrebasse)
no 2 Sol Majeur 76 1847 arrangement de la symphonie no 4
no 3 Si bémol Majeur 79 bis 1851 partie second violoncelle prévue (à la place de la contrebasse)
Quintette à vent (flûte, hautbois, clarinette, cor et basson)
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
Fa Majeur 81 1851
Sextuors pour flûte, clarinette, cor, basson, contrebasse et piano
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
no 1 Mi bémol Majeur 30 1824
no 2 La Majeur 77 bis 1848 arrangement de Nonette
Septuor pour flûte, hautbois, clarinette, cor, basson, contrebasse et piano
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
Si bémol Majeur 79 1849
Nonette pour flûte, hautbois, clarinette, cor, basson, violon, alto, violoncelle et contrebasse
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
La mineur 77 1848
Å’uvres pour piano
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
Sonate Do mineur 2 1806
Airs écossais varié Mi bémol Majeur 5 1810
Toccata Do Majeur 6 1810
Duo no 1 pour piano à quatre mains Mi mineur 7 1816
Variations sur l'air Charmante Gabrielle La mineur 12 1816
Introduction, variations et finale Sol mineur 13 1816 sur l'air Aussitôt que la Lumière
Duo no 2 pour piano à quatre mains Fa mineur 22 1823
Thème anglais varié La Majeur 28 1824
Andante pour piano sans opus 1824 album de M. Szymanouwska
Allegro agitato pour piano Sol mineur sans opus sans date inédit (album de F. Mendelssohn)
Allegro agitato pour piano Si bémol mineur sans opus sans date inédit
Allegro moderato Fa dièse mineur sans opus sans date inédit
Andantino con moto pour piano Mi mineur sans opus 1844 inédit (album de J.P. Dantan)
Mijmering sans opus 1844 Édition particulière hollandaise
six pièces Mi bémol Majeur, La Majeur, La bémol Majeur, Si bémol Majeur, Mi Majeur, Mi Majeur sans opus sans date Flaxland
Fantaisie composée sur l'Ange gardien Si bémol Majeur sans opus 1849 romance d'Adolphe Favre (1847)
Sonate no 2 sans opus sans date inédite
Pièce en trio sans opus 1841 inédite
Symphonies
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
no 1 La Majeur 41 1830
no 2 Ré mineur 42 1831
no 3 Fa mineur 32 1833 arrangement du quintette opus 32
no 4 Sol Majeur 71 1846
Å’uvres vocales
Titre Tonalités Opus Composition Commentaires
La Garde du corps, (romance) 1815
La jeune Grecque, (romance avec chœurs) 1826 Paroles de Jean-Joseph Vaissière
Le premier Baron chrétien, (nocturne) 1826 Paroles de Charles Hubert Millevoye
Ave Maria à quatre voix 1838 Paroles de J. J. Vaissière
Caïn ou la mort d'Abel pour basse et orchestre 1846 grande scène dramatique - paroles de Saint-Hilaire
Cantique à la Sainte-Vierge sans date partition au château d'Aulteribe
Le Printemps, nocturne 1826
Accompagnement d'une romance Souvenirs d'Auvergne 1841
Les Regrets; romance sans opus sans date Mme Guérin
Le Dante dans le Paradis, ballade vocale sans opus 1835 inédit album de Rossini

Å’uvres principales

Trio pour piano et cordes opus 83

Hommages

Un collège porte son nom à Lezoux Puy-de-Dôme.
Des rues portent son nom à Clermont-Ferrand, Gerzat, La Roche-Noire et Riom Puy-de-Dôme, et à Pertuis Vaucluse, ainsi qu'une esplanade aux Martres-de-Veyre (Puy-de-Dôme.

Liens

http://youtu.be/3AIIkurPK6A Symphonie N°1
http://youtu.be/WOh5tTQ71WI Piano trio en majeur
http://youtu.be/UQ4KHrs4oQA Nonet en mineur



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Posté le : 25/07/2014 15:19

Edité par Loriane sur 26-07-2014 22:24:18
Edité par Loriane sur 27-07-2014 10:49:02
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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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