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Luigi Chérubini
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Le 14 septembre 1760 à Florence naît Maria Luigi Carlo Zenobio

Salvatore Cherubini,



plus connu sous le nom de Luigi Cherubini mort le 15 mars 1842 à compositeur italien de style romantique de la fin du XVIIIe et du début du XIXe siècle, directeur du conservatoire de Paris, il meurt , 81 ans, le 15 mars 1842

En Bref

Le compositeur qui, le 10 août 1841, à l'âge de quatre-vingt-un ans, écrit un canon mélancolique sur le long énoncé de son nom — Luigi Carlo Salvatore Zanobi Maria Cherubini — reste surtout présent dans les mémoires pour ses violents démêlés, en tant que directeur du Conservatoire de Paris, avec Berlioz : leur différence d'âge est, il est vrai, de près d'un demi-siècle.
Fils d'un célèbre claveciniste, Né à Florence, Luigi Cherubini étudie à Bologne en 1778, puis à Milan, de 1778 à 1782, sous la direction de Giuseppe Sarti. C'est pendant cette période qu'il fait la connaissance du compositeur bohémien Václav Pichl, maître de chapelle auprès de l'archiduc Ferdinand d'Este, gouverneur autrichien de la Lombardie. En 1785, on donne deux de ses œuvres à Londres. En automne 1787, il est à Londres et est engagé par le roi. Il compose quelques morceaux pour le souverain, dont le King's Theatre.Cherubini a déjà écrit, à seize ans, nombre de compositions religieuses. Après avoir travaillé avec Sarti à Venise, il s'oriente vers le théâtre et, en 1784, présente à Londres sans grand succès quatre opéras. En 1786, il s'installe à Paris, qui restera sa résidence principale jusqu'à sa mort ; il y change sa manière en faveur d'un style dramatique et expressif sur des livrets français, dont la première manifestation est Démophon 1788. En même temps, il éprouve le choc de sa vie, fait d'autant plus remarquable qu'il est italien en interprétant, en tant que membre de l'orchestre de la loge olympique, les toutes récentes Symphonies parisiennes de Haydn. D'où la vénération qu'il vouera à ce maître, et aussi l'estime dont il bénéficiera de la part de Beethoven : il est, en effet, un des très rares auteurs d'opéras du temps à posséder la dimension symphonique

Sa vie

Né à Florence, fils d'un claveciniste du théâtre de la Pergola à Florence, Chéribini a déjà écrit à l'âge de treize ans, il fut d'abord initié au style religieux sévère, composa sa première messe à treize ans, puis étudia le style dramatique à Bologne, auprès du compositeur Sarti, écrivant également des sonates pour clavier dans l'esprit de Galuppi. À dix-neuf ans, il écrivit son premier opéra, Il Quinto Fabio 1780, encore dans l'esprit de Métastase, et donna à Milan, Florence, Venise, Rome et Mantoue une dizaine d'œuvres lyriques de genre seria ou semiseria, conçues à partir de livrets traditionnels, mais dénotant déjà une tendance à étoffer l'orchestration, ainsi qu'à privilégier les finales aux dépens de l'aria orné, comme le faisait Mozart à Vienne, à la même époque. Après s'être produit à Londres La Finta Principessa, 1785 ; Il Giulio Sabino, 1786, il fit représenter à Turin son dernier opéra italien Ifigenia in Aulide, 1788 et s'établit à Paris, où il se lia avec Viotti et Marmontel. Celui-ci écrivit à son intention un livret français, tiré de Métastase, pour Démophon 1788 ­ représenté sans grand succès à l'opéra. D'autres œuvres furent créées au théâtre Feydeau, dont Cherubini devait prendre la direction artistique.à seize ans, il écrit nombre de compositions religieuses.

Il s'installe en 1787 à Paris et il est nommé, en 1789, codirecteur du Théâtre de Monsieur, fonctions qu'il quitte en 1792.
Se sentant financièrement à l'aise, il épousa Anne Cécile Tourette le 12 avril 1794, fille d'un contre-ténor à la Chapelle royale de Louis XVI. Celle-ci lui donnera trois enfants dont Salvador Louis qui épousera Caroline Marcotte de Quivières, fille du collectionneur d'art Philippe Marcotte de Quivières, sœur de madame Henri Panckoucke et de Louis Marcotte de Quivières, nièce de Edmé Bochet et de Cécile Bochet.
En 1796, il est nommé inspecteur de l'enseignement au tout nouveau Conservatoire.

Le compositeur s'assura très rapidement une situation de premier plan à Paris, au lendemain de la mort de Gluck et de Sacchini, entre les derniers triomphes de Grétry et les premiers opéras de Le Sueur, Méhul et Boieldieu. Lodoiska, comédie héroïque, créée en 1791, confirma la puissante originalité de son talent. En 1794, il fit partie, auprès de Sarrette, de la commission d'inspecteurs chargée de l'établissement qui allait devenir le Conservatoire de Paris. Ses ouvrages suivants, toujours écrits dans la forme de l'opéra-comique avec dialogues parlés, témoignent d'une évolution entre le drame larmoyant, alors en honneur à Paris, et la comédie élégiaque et sentimentale d'esprit préromantique. Mais en 1797, en restaurant la tragédie antique dans un style faisant la synthèse de Gluck et des Italiens, il signait, avec la partition de Médée, l'acte de naissance du drame romantique.

Une quinzaine de partitions dramatiques suivent rapidement, dont Médée 1797, Le Porteur d'eau 1800 et Anacréon 1803. Mais ni le Consulat ni l'Empire ne lui sont favorables. Napoléon n'aime pas sa musique, qu'il trouve trop riche de notes, et le lui fait sentir.
En 1805, Cherubini est à Vienne, où il remet à Haydn un diplôme décerné par le Conservatoire de Paris et reçoit de lui le manuscrit de la symphonie no 103 du Roulement de timbales. Il y donne Faniska, dont la création 24 févr. 1806 a lieu entre celles des deux premières versions de Léonore de Beethoven. À son grand déplaisir, il doit, en décembre 1805, s'occuper des concerts organisés à Schönbrunn pour Napoléon, qui vient d'occuper la ville. De retour à Paris, il fait avec Les Abencérages 1813 des adieux provisoires à la scène lyrique il y aura encore Ali Baba, 1833.

Surintendant de la chapelle de Louis XVIII, professeur de composition puis directeur de 1822 à sa mort du Conservatoire, il se consacre presque exclusivement, durant cette dernière période, à la musique religieuse : Requiem pour l'anniversaire de la mort de Louis XVI interprété à Saint-Denis le 21 janvier 1817, second Requiem 1836 en prévision de ses propres funérailles, Messe pour le couronnement de Charles X. Il a cependant composé quelques partitions instrumentales, dont une Symphonie en ré majeur commandée par la Société philharmonique de Londres 1815.
En 1816, il devient surintendant de la Chapelle de Louis XVIII.
Par-delà son style un peu froid, il dispose d'un métier à toute épreuve, d'une solidité d'écriture que, hormis chez les plus grands, on ne retrouve chez aucun de ses contemporains. C'est ce qui conduit Berlioz lui-même, malgré ses rancunes personnelles, à voir en lui un modèle sous tous les rapports ; Beethoven en parle comme du meilleur compositeur de son temps ; Schumann lui accole l'épithète de magnifique ; Bülow voit en Brahms l'héritier de Luigi Cherubini et de Ludwig Beethoven ; Weber s'extasie sur ses chefs-d'œuvre.
Il retrouve le Conservatoire, où il exerce comme professeur de composition, avant d'en être nommé directeur en 1822. Il conserve cette fonction pendant vingt ans et ne l'abandonne que quelques semaines avant sa mort. Il a beaucoup contribué à rehausser la qualité de l'ensemble de la formation. Il a été actif dans l'organisation de manifestations publiques d'élèves, comme les exercices de musique et d'art dramatiques. Il a aussi permis la naissance de la Société des Concerts du Conservatoire. Il a également été franc-maçon, membre de la loge Saint-Jean de Palestine du Grand Orient de France.
Mais en 1797, en restaurant la tragédie antique dans un style faisant la synthèse de Gluck et des Italiens, il signait, avec la partition de Médée, l'acte de naissance du drame romantique. Éclipsée dans les pays latins par le succès de l'opéra de Mayr 1813 sur le même sujet, l'œuvre, enrichie de récitatifs chantés que les lois du genre avaient à l'origine interdits à Cherubini, devait entamer en Allemagne vers 1860 sa véritable et glorieuse carrière. En 1800 fut donné les Deux Journées ou le Porteur d'eau, un des plus grands succès de Cherubini.
L'échec d'Anacréon, en 1803, décida le compositeur à renoncer à sa manière légère. Puis, son inspiration étant à l'opposé des goûts de Napoléon, il partit en 1805 pour Vienne, où il suscita l'admiration de Haydn et de Beethoven. L'Empereur l'y retrouva, et malgré leur mésentente, le réinstalla dans ses fonctions d'inspecteur à Paris. Ce fut alors pour Cherubini, dans le cadre d'une semi-retraite auprès de la princesse de Chimay, un retour vers la musique religieuse, interrompu, occasionnellement, par la composition d'ouvrages lyriques, dont Pygmalion 1809, écrit pour le castrat Crescentini, fort prisé de Napoléon, et les Abencérages 1813. Son unique Symphonie fut destinée à la Société philharmonique de Londres 1815. Le retour des Bourbons permit à Cherubini de connaître une nouvelle ascension : il devint surintendant de la chapelle royale en 1814, membre de l'Institut en 1815 et, enfin, directeur du Conservatoire de 1822 à l'année de sa mort ; il reçut la cravate de commandeur de la Légion d'honneur en 1842.
Si l'on excepte Ali Baba 1833, refonte d'un ouvrage de jeunesse, ses trente dernières années furent dédiées à la musique religieuse Requiem à la mémoire de Louis XVI, 1816 ; Messe pour le sacre de Louis XVIII 1819, non exécutée ; Messe pour le sacre de Charles X 1825 ; Requiem pour voix d'hommes, 1836 et à la musique de chambre ­ ses six Quatuors 1814-1837, dont le deuxième 1829 est la transcription de sa Symphonie, constituent en ce domaine le sommet de la production française du temps.
La musique de Cherubini est la parfaite expression d'un homme dont l'image a été malencontreusement déformée par les railleries de Berlioz, qui, pourtant, l'admirait et sut l'imiter, et par le mépris où l'ont tenu des générations d'historiens. Sous des dehors austères, Cherubini cachait une âme sensible, et, prisonnier d'une pensée classique, il se sentait égaré dans la période romantique dont il traduisit néanmoins à merveille les premiers émois. Il faut, en effet, noter que Cherubini est le seul compositeur de première grandeur à avoir été à la fois contemporain de Mozart et de Beethoven. Ses sonates pour clavier et son premier opéra précèdent Idoménée et l'installation de Mozart à Vienne, son dernier Quatuor est postérieur à ceux de Beethoven et son ultime Requiem évoque celui de Berlioz, composé à la même époque. Cherubini avait, dès sa jeunesse, mal admis le carcan du vieil opera seria, dont il avait su étoffer l'orchestre, libérer le récitatif et développer les finales ; Démophon, avec ses récitatifs chantés et sa discrète colorature, avec son impossible tentative d'unir Gluck à Mozart et l'opera seria au goût français, échoua, alors que la veine élégiaque de Cherubini s'adaptait soudain avec bonheur à un nouveau type de sensibilité française. Les sujets idylliques d'Élisa, des Deux Journées, de l'Hôtellerie portugaise, ainsi que les divers ouvrages écrits en collaboration avec Boieldieu, son cadet de quinze ans, semblent opérer la synthèse idéale des styles de Piccinni, de Gluck et de Grétry, mais avec un tout autre raffinement harmonique. D'autre part, Lodoiska et Faniska ­ qui appartiennent au genre plus ambitieux de l' opéra héroïque, présentant une héroïne rédemptrice ­, et Anacréon, écrit pour l'Opéra de Paris, offrent une parenté avec Méhul, alors que les Abencérages, ultime tentative qui emprunte encore à Gluck sa raideur et ses structures fermées, témoignent de quelque anachronisme, au lendemain de la réussite de Spontini, qui venait alors de donner à Paris la Vestale et Fernand Cortez. Médée demeure donc l'œuvre la plus marquante de Cherubini ; elle présente en filigrane les prémices des réformes wagnériennes, par l'emploi de leitmotive principe également utilisé par le compositeur dans d'autres opéras, par le rôle de moteur donné à l'orchestre et par son écriture vocale qui se présente souvent comme un arioso tenant du récit et de l'aria et obligeant l'interprète à de grands intervalles dans la ligne vocale, avec un appui dramatique sans précédent.
Romantique malgré lui, contemporain de Rossini, mais étranger à son influence, admiré de Beethoven, Schumann, Wagner et Brahms, éduqué en Italie, Français d'adoption et honoré par l'Allemagne, Cherubini occupe un rôle éminent dans l'élaboration du romantisme musical européen.

Son décès donna lieu à des funérailles nationales, durant lesquelles fut joué son Requiem en ré mineur. Cherubini repose au cimetière du Père-Lachaise division 11, section VII. Son tombeau a été conçu par l'architecte Achille Leclère et inclut notamment un buste du compositeur, surmonté d'un bas-relief d'Auguste Dumont représentant la Musique.

Å’uvres
Å’uvres musicales Å’uvres lyriques

Première édition de Médée, 1797.
25 janvier 1782 : Armida abbandonata, opéra en trois actes, créé au Teatro Pergola de Florence Teatro della Pergola ;
16 avril 1782 : Adriano in Siria, opéra en trois actes, créé au Teatro Armeni de Livourne ;
8 septembre 1782 : Il Mesenzio re d'Etruria, opéra en trois actes, créé au Teatro Pergola de Florence ;
janvier 1783 : Il quinto Fabio, opéra en trois actes, créé au Teatro Argentina de Rome ;
novembre 1783 : Lo Sposo di tre e marito di nessuno, opéra-bouffe en deux actes, créé au Teatro San Samuele de Venise ;
début 1784 : L'Alessandro nell'Indie, opéra en deux actes, créé au Teatro Nuovo Regio Ducale de Mantoue ;
26 décembre 1784 : L'Idalide, opéra en deux actes, créé au Teatro Pergola de Florence ;
2 avril 1785 : La finta principessa, opéra-bouffe en deux actes, créé au Kings Theatre de Londres ;
30 mars 1786 : Il Giulio Sabino, opéra en deux actes, créé au Kings Theatre de Londres ;
12 janvier 1788 : Ifigenia in Aulide, opéra en trois actes, créé au Teatro Regio de Turin ;
5 décembre 1788 : Demophoon, opéra en trois actes, créé à l'Opéra de Paris ;
18 juillet 1791 : Lodoïska, comédie héroïque en trois actes, créée au théâtre Feydeau à Paris, livret de Fillette-Loraux ;
1793 : Koukourgi, opéra comique en trois actes inachevé, il manque le final, livret de Honoré-Marie-Nicolas Duveyrier, opéra retrouvé à Cracovie ;
26 février 1794 : Le Congrès des rois, comédie en trois actes et en prose mêlée d’ariettes, en collaboration avec onze autres auteurs Henri Montan Berton, Frédéric Blasius, Nicolas Dalayrac, Prosper-Didier Deshayes, François Devienne, André Grétry, Louis Emmanuel Jadin, Rodolphe Kreutzer, Étienne-Nicolas Méhul, Jean-Pierre Solié et Trial fils à l'Opéra-Comique salle Favart, livret d'Ève Demaillot;
13 décembre 1794 : Éliza ou le Voyage au glacier du mont Saint-Bernard, opéra en deux actes créé au théâtre Feydeau, livret de Saint-Cyr ;
13 mars 1797 : Médée, opéra en trois actes (première version), livret de François Benoît Hoffmann, créé au théâtre Feydeau ;
25 juillet 1798 : L'Hôtellerie portugaise, opéra-comique en un acte, livret d'Étienne Aigan, créé au théâtre Feydeau ;
23 février 1799 : La Punition, comédie en un acte, créée au théâtre Feydeau à Paris, livret de Jean Louis Brousse-Desfaucherets ;
12 septembre 1799 : Emma ou la Prisonnière, opéra-comique en un acte en collaboration avec François-Adrien Boieldieu, créé au théâtre Montansier de Paris, livret de Claude Godard d'Aucourt de Saint-Just, Étienne de Jouy et Charles de Longchamps ;
16 janvier 1800 : Les Deux Journées ou le Porteur d'eau, opéra-comique en trois actes, créé au théâtre Feydeau à Paris ;
6 novembre 1802 : Médée, opéra en trois actes (deuxième version), créé à Vienne Autriche ;
4 octobre 1803 : Anacréon ou l'Amour fugitif, opéra-ballet en deux actes, créé à l'Opéra de Paris ;
25 février 1806 : Faniska, opéra en trois actes, créé au Theater am Kärntnertor à Vienne ;
30 novembre 1809 : Pygmalion, drame lyrique en un acte, créé aux théâtre des Tuileries à Paris ;
1er septembre 1810 : Le Crescendo, opéra-comique en un acte, créé à l'Opéra-Comique de Paris ;
6 avril 1813 : Les Abencérages ou l'Étendard de Grenade, opéra en trois actes, créé à l'Opéra de Paris sur un livret d'Étienne de Jouy ;
22 juillet 1833 : Ali-Baba ou les Quarante Voleurs, opéra en un prologue et quatre actes, créé à l'Opéra de Paris.

Musique religieuse

Messes
Cinq messes perdues de 1773 à 1776
1808 : Messe en la majeur à trois voix
1808-1809 : Messe en fa majeur dite Messe de Chimay
1811 : Messe en ré mineur deuxième Messe Solennelle.
1816 : Messe en ut majeur
1819 : Messe solennelle en sol majeur, pour le sacre de Louis XVIII
29 mai 1825 : Messe en la majeur, troisième Messe Solennelle, pour le couronnement de Charles X, Reims
Motets
38 motets
Requiem
1816 : Requiem en ut mineur, pour chœur mixte, composé à la mémoire de Louis XVI en 1816.
1836 : Requiem en ré mineur, pour chœur masculin, composé pour ses propres funérailles en 1836.

Autres Å“uvres

une symphonie. Symphonie en Ré, achevée le 24 avril 1824. Première à Londres, le 1er mai 1824 - Enregistrée le 10 mars 1952 au Carnegie Hall de New York par le NBC symphony orchestra sous la conduite d'ARTURO TOSCANINI.
6 sonates pour le clavecin
6 quatuors
un quintette
une cantate
une ouverture
un Hymne au printemps pour la Philharmonic Society de Londres.
Hymne du Panthéon, sur un poème de Marie-Joseph Chénier, 1794

Discographie

Riccardo Muti est un spécialiste de l'œuvre de Luigi Cherubini.

Année Titre Genre Label
1980 Cherubini: Requiem pour la mort de Louis XVI.; Ambrosian Singers, Philharmonia Orchestra. Dir. Riccardo Muti Classical EMI Classics
1980 Cherubini: Messe solennelle pour le couronnement de Charles X.; Philharmonia Orchestra & Chorus. Dir. Riccardo Muti Classical EMI Classics
1988 Cherubini: Messe solennelle pour le sacre de Louis XVIII.; London Philharmonic & Chorus. Dir. Riccardo Muti Classical EMI Classics
2006 Cherubini: Missa solemnis. Ruth Ziesak, Marianna Pizolato, Herbert Lippert, Ildar Abdrazakov; Chœur et Orchestre Radio-Symphonique de Bavière. Dir. Riccardo Muti Classical EMI Classics

Notes et références

↑ Bien que la date du 15 mars soit communément admise, Frédéric Robert indique lui que Cherubini serait décédé le 13 mars 1842. Cf. Frédéric Robert, Cherubini Luigi, dans Jean-René Suratteau et François Gendron (dir.), Dictionnaire historique de la Révolution française, Quadrige/PUF, 2005, p. 217.

Publications

1835 : Cours de contrepoint et de fugue
Recueil de marches d'harmonies

Distinctions et décorations

1814 : chevalier de la Légion d'honneur
1815 : membre de l'Académie des beaux-arts
1841 : commandeur de la Légion d'honneur

Iconographie

Dominique Ingres, Tableau-portrait de Cherubini, dit aussi Cherubini et la Muse de la poésie lyrique, 1842, Musée du Louvre.
Jules Boilly, Luigi Cherubini, 1820, lithographie.
Edme Quenedey, Luigi Cherubini, Cabinet des estampes, Bibliothèque nationale de France.

Liens

http://youtu.be/laO7Zi6Zsm8 Requiem en mineur
http://youtu.be/kXA4fZ-tu0M Ouverture de Médée
http://youtu.be/_gTQr57w1o4 Ouverture du crescendo
http://youtu.be/4B1-UdwwTVg Ave Maria
http://youtu.be/PnD9P8IYhho Symphonie en majeur


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Posté le : 13/09/2014 18:56
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Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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