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Poèmes : Frisssons
Publié par harmosava le 07-10-2015 18:00:00 ( 1232 lectures ) Articles du même auteur



Frisson de joie
Je l’ai quand tes bras me frôlent, doucement
Quand tu me susurre à l’oreille, je t’aime
Je l’ai quand je pense à toi
Rien qu’à l’idée de savoir que cette nuit, tu vas me faire perdre la tête
Une dernière fois,
Tous mes sens sont en éveilles
Je l’ai ce frisson,
Frisson d’angoisse
Je sais que demain tu vas devoir partir
Frisson de peur,
Vas-tu revenir,
Tu me l’as souvent répété
« Attend moi, le temps passe vite »
Pourquoi, il faut que tu partes encore pour cette mission,
Quand on s’est connus, je savais que ce moment aller arriver.
Frisson de crainte!
Déjà un mois sans toi et pas de nouvelle.
Que t’ont-il fait,
Savent –t-ils que chaque nuit, je pleure dans ce grand lit vide
Les aléas de la vie, me font perdre la confiance,
Reviens-moi, je veux à nouveau ressentir ce grand frisson
Frisson d’allégresse
Enfin, ton retour, je vais pouvoir te serrer
Te cajoler, te sentir en moi.
Je te déshabille lentement,
Laisses toi faire, je prends les rênes
Je vais soigner ses blessures
Te faire oublier les mauvais moments que tu as passés.
Caresse subtile, baisers passionnés
Frisson de jouissance
Je suis là, et je ne partirai plus,
C’était la dernière, cette fois
M’as-tu dis,
Frissons enivrants
Frissons d’amour.

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Auteur Commentaire en débat
Istenozot
Posté le: 08-10-2015 16:26  Mis à jour: 08-10-2015 16:26
Plume d'Or
Inscrit le: 18-02-2015
De: Dijon
Contributions: 2303
 Re: Frisssons
Bonjour Harmosava,

J'ai bien aimé le crescendo des frissons.
Mais, en musicien, j'ai voulu lui donner mon propre rythme en modifiant la ponctuation et, au passage, en corrigeant les quelques fautes d'orthographe que j'ai pu détecter.
J'apprécie encore mieux votre texte ainsi :

"Frissons de joie !
Je l’ai quand tes bras me frôlent, doucement,
Quand tu me susurres à l’oreille, je t’aime.
Je l’ai quand je pense à toi.
Rien qu’à l’idée de savoir que cette nuit, tu vas me faire perdre la tête
Une dernière fois.
Tous mes sens sont en éveil.
Je l’ai ce frisson!

Frissons d’angoisse!
Je sais que demain tu vas devoir partir.

Frissons de peur!
Vas-tu revenir;
Tu me l’as souvent répété.
« Attend moi, le temps passe vite ».
Pourquoi, faut-il que tu partes encore pour cette mission?
Quand on s’est connu, je savais que ce moment allait arriver.
Frisson de crainte!
Déjà un mois sans toi et pas de nouvelle.
Que t’ont-ils fait,
Savent-ils que chaque nuit, je pleure dans ce grand lit vide.
Les aléas de la vie, me font perdre la confiance.
Reviens-moi, je veux à nouveau ressentir ce grand frisson.

Frissons d’allégresse!
Enfin, ton retour; je vais pouvoir te serrer
Te cajoler, te sentir en moi.
Je te déshabille lentement,
Laisses toi faire, je prends les rênes
Je vais soigner tes blessures,
Te faire oublier les mauvais moments que tu as passés.
Caresse subtile, baisers passionnés.

Frissons de jouissance!
Je suis là, et je ne partirai plus.
C’était la dernière, cette fois,
M’as-tu dis?

Frissons enivrants,
Frissons d’amour!"

Bon courage à vous dans vos prochains écrits.

Bien à vous.

Jacques

Répons(s) Auteur Posté le
 Re: Frisssons harmosava 19-10-2015 21:13
    Re: Frisssons Loriane 19-10-2015 23:16
      Re: Frisssons harmosava 21-10-2015 15:09
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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