
Ô corps absent
Sur mon rêve présent Ô corps absent De la beauté charmante Qui cogne à ma porte délirante Mes suppliques tu entends Impassible dément Qui se va vantant Mon mérite gênant D'aimer comme un serpent Qui siffle rampant De mirifiques chants Louanges à l'aimé indifférent Par son silence transhumant Sur un irréel dépaysement Et mon rêve tenant Me libère défiant De mon réel imprudent A vouloir inquiétant Me rendre cet instant D'une absence qui m'hallucina O ta beauté, ô ta fiesta Je ne veux que L’aimer, l’aimer, l’aimer Quand sauras-tu me la concéder ©ƒC
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