Quelque part… flotte sur notre chère France. Perdu sur ces rives… ma parodie qui se laisse vivre…
-Tu sais, l'amour c'est beau... regarde le condor là -haut.
Pour qu'elle entende mes vœux s'il y a un ange Que le vent vienne adoucir sa sagesse
-Tu sais… le vent, il triche avec les sons… une berceuse que pour nous deux
J'éponge les larmes... qui se retiennent. Celle qui s'en échappe… viennent se briser sur le récif de mon cœur.
-Tu sais… le bateau… il emporte nos rêves pour les bercer par ses flots.
Que ces mots lui parviennent… car la frénésie joue avec le vent Il souffle comme un parchemin pour écrire ces phrases.
-Tu sais… les vagues… là devant nous… il raconte notre histoire.
Elle qui par sa douceur… sa tendresse et son sourire Me font oublier la tristesse… ma mélancolie
-Tu sais… je serais le plus heureux dans tes bras, sers-moi fort.
Elle qui m'élève de ce bas monde comme un géant Et me montre le camaïeu de son univers
-Tu sais… j'ai besoin de si peu pour t'ouvrir, mon amour
< Le regard tourné vers le ciel, je prie pour qu'elle vienne À genoux les bras levés… je crie que je l'aime. Je la veux, j'ai le désir…>>
De Daniel, M.
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