| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Accueil >> xnews >> Les croyances serviles - Poèmes - Textes
Poèmes : Les croyances serviles
Publié par modepoete le 13-08-2019 17:50:00 ( 415 lectures ) Articles du même auteur



Cliquez pour afficher l



Les croyances serviles

J’entends des profondeurs
Les croyances serviles
Qui se blessent malhabiles
Quand se pleurent leurs peurs

Humains au cœur d’humain
Qui n’a besoin d’un Dieu
Pour graver aux cieux
Sa grande bonté au matin

Celui qui n’a peur de sa fin
Sait que tout début à sa finitude
En cette seule convention de certitude
Que son pas ici bas peut vivre serein

Mais l’humain restera
En son cycle de vie ce loup
Qui rogne avec délice le plus faible
En ces actes, en ces mots dont il se joue
Comme fou voyou en son joug
Prétextant le Dieu puissant
Afin de s’arroger arrogant
La crédulité du peuple soumis
Tu ne tueras
Tu ne voleras
Tu ne désobéiras
Que cela soit
Vous dit-il sûr de soi
Quand bien même
Le frappe l’anathème
©ƒC



Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
39 Personne(s) en ligne (11 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 39

Plus ...