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Nouvelles confirmées : Le Crépuscule des Demi-Dieux - Septième Partie
Publié par dominic913 le 12-02-2012 12:26:33 ( 934 lectures ) Articles du même auteur
Nouvelles confirmées



Evidemment, les personnages peuvent essayer de bloquer la fermeture du passage secret, et y parviennent s’ils sont plus rapides que l’inconnu dans ses mouvements. S’ils n’y réussissent pas, ils peuvent chercher le mécanisme dissimulé dans le mur. Celui-ci est caché a l’intérieur de l’un des bas reliefs du montant du lit. Mais, dans tous les cas, l’inconnu s’enfuit au cœur du passage secret.

 

Après cet incident, les personnages peuvent décider d’attendre le retour du comte de Lamoricière et de Stephan de Hautecour. Dans ce cas, ceux-ci reviennent les voir au bout de deux heures d’attente. Stephan de Hautecour semble mécontent, voire, coléreux ; le comte de Lamoricière, par contre, est détendu et heureux. Le comte de Lamoricière demande dès lors aux personnages quelles ont été les circonstances qui les ont amené a croiser la route de Stephan de Hautecour et de ses amis. Il leur demande également pour quelle raison ils ont suivi ceux-ci jusqu'à Montauban. Par contre, dès que les personnages commencent à lui poser des questions au sujet des énigmes concernant leurs compagnons, le comte de Lamoricière leur dit que ce n’est rien qui puisse les intéresser. Quand les personnages lui demandent pourquoi ils sont ainsi séquestrés dans leurs chambres, le comte de Lamoricière leur répond que c’est à cause de ce qui se déroule a Montauban en ce moment, mais sans leur donner plus de précisions.

Les personnages peuvent également lui révéler l’incident concernant le passage secret, ainsi que l’homme qu’ils ont aperçu a l’intérieur de celui-ci. Le comte de Lamoricière semble surpris par ces révélations, et demande aussitôt aux personnages de lui donner davantage de précisions au sujet de cet incident. Puis, une fois l’entretien terminé, il ramène les personnages jusqu'à chacune de leurs chambres, sauf celle à l’intérieur de laquelle se trouve le fameux passage secret.

Lors de leur discussion avec le comte de Lamoricière, les personnages peuvent décider de ne pas lui parler de l’incident lié au passage secret. Dans ce cas, la conversation avec lui se poursuit normalement. Et une fois celle-ci terminée, le comte de Lamoricière les reconduit jusqu'à leurs chambres respectives ; y compris celle ou se trouve le passage secret.

Avant de les quitter, le comte de Lamoricière dit aux personnages qu’à partir du lendemain soir, ils seront libres d’aller et venir à leur guise à l’intérieur du château. Il dit aussi que les soldats devant la porte de leurs chambres seront retirés à ce moment là.

 

Dans tous les cas, les personnages peuvent décider d’activer de nouveau le mécanisme lié au passage secret, et d’ouvrir le mur à l’intérieur duquel celui-ci se dissimule. Dès lors, ils suivent un corridor sombre, poussiéreux, et par endroits encombré de toiles d’araignées. Puis, escalier en colimaçon qui descend. Salle abandonnée aux murs fissurés, et dont certaines parois se sont éboulées ; plusieurs ouvertures laissant apercevoir de nouveaux corridors semblables au précédent. Couloir jusqu'à une intersection au centre de laquelle se trouve une fontaine sculptée, mais à moitié écroulée sur elle même. Nouveau couloir aboutissant a un nouvel escalier en colimaçon qui descend. Autre couloir se terminant par une porte verrouillée mais très aisée à débloquer. Encore un corridor aux murs duquel apparaissent des cadavres plus ou moins récents, ainsi que des squelettes, enchainés a intervalles réguliers. Par ailleurs, plusieurs cadavres qui semblent vidés de leur sang, les yeux exorbités par la terreur et la souffrance, se discernent, également à intervalles réguliers, sur le sol poussiéreux du couloir. Ce dernier se termine par une seconde porte semblable à la précédente, et aussi aisée à déverrouiller. Cette dernière ouvre alors sur une salle de torture. Puis, une nouvelle porte, un croisement, un autre couloir avec un escalier qui monte, et qui aboutit a l’intérieur d’une salle caverneuse au centre de laquelle apparaît un puits grillagé, et aux murs de laquelle se discernent des ouvertures donnant sur de nouveaux corridors. Les personnages s’enfoncent donc dans un nouveau couloir ; a un moment donné, ils entendent des bruits de pas au loin, mais qui disparaissent bientôt. Encore un croisement en Y, mais ceux-ci se terminent en cul de sac. Or, au terme de chaque cul de sac, un levier est enchâssé dans chaque paroi du fond.

 

Premier Passage Secret : Le levier du premier passage secret ouvre une paroi donnant sur un long couloir. Au bout d’une centaine de mètres, celui-ci aboutit à une porte. Derrière, se trouve une crypte dont les murs sont recouverts de fresques représentant la vie de Saint Théodard ; elles sont à moitié effacées par le temps. Au bout de cette salle apparaît un escalier en colimaçon qui s’élève vers le haut. Celui-ci mène jusqu'à l’intérieur d’une salle faisant office de cave : des caisses de nourriture et des bouteilles de vin y sont entreposés. A son extrémité apparaît une porte, puis un couloir se terminant par un croisement. Ensuite, il s’agit d’un nouveau petit passage permettant de pénétrer dans une salle à manger ; à une des extrémités de celle-ci se discerne un autel religieux orné d’une grande croix chrétienne. Dans l’un des murs de cette pièce, se trouve une autre porte, qui ouvre sur des cuisines. Plusieurs cuisiniers, accompagnés de prêtres et de sœurs s’y activent ; les cuisiniers y sont en train de préparer le souper. Ils sont surpris de voir les personnages débouler dans la pièce. Les prêtres commencent alors a interroger les nouveaux venus sur leur présence en ces lieux, et de quelle manière ils sont parvenus à pénétrer à l’intérieur du monastère saint Théodard sans se faire remarquer, et sans que l’alarme soit donnée. Puis, l’un des prêtres décide bientôt d’aller chercher son supérieur, un dénommé « père André ».

A ce moment là, les personnages peuvent décider d’empêcher quiconque de donner l’alerte, et encore moins, d’aller chercher le père André. Ils doivent alors se battre contre les prêtres et les cuisiniers ; a moins qu’ils ne décident de s’enfuir et de rebrousser chemin jusqu’au passage secret.  

Dans le cas ou le père André les rejoint dans la cuisine, celui-ci se met aussitôt a questionner les personnages sur la raison de leur présence au sein du monastère saint Théodard ; mais aussi, de quelle manière ils y ont pénétré, puisque personne ne les y a vu entrer. D’autant que les portes du monastère sont closes durant la nuit. Quoiqu’il en soit, furieux, le père André raccompagne ensuite les personnages jusqu'à la porte extérieure du monastère. Le long du parcours, il leur dit qu’il va en référer au comte de Lamoricière afin d’avoir une explication sur la manière dont ils ont pénétré dans une enceinte appartenant à l’Eglise Catholique. Puis, il leur fait quitter l’enceinte du monastère en refermant la porte de ce dernier a clef derrière eux. Et les personnages se retrouvent à l’intérieur de l’une des nombreuses petites ruelles du centre ville de Montauban.

Dès lors, les personnages peuvent décider de rentrer directement au château du comte de Lamoricière. Dans ce cas, ils déambulent encore quelques temps dans les ruelles sombres et tortueuses de la cité, avant de parvenir a retrouver leur chemin vers la citadelle. Mais, pour y rentrer, ils doivent trouver un moyen de retourner dans leurs chambres sans se faire remarquer des sentinelles qui montent la garde sur ses remparts, ainsi que dans ses couloirs et ses salles. Parce que s’ils se font surprendre dans les couloirs, d’une manière ou d’une autre, les soldats les amènent directement au comte de Lamoricière. Ce dernier les interroge alors sur les raisons et les moyens dont ils ont usé afin de sortir du château. Puis, il les fait raccompagner jusqu'à leurs chambres sous haute surveillance, et demande a ce que leur contrôle soit renforcé. Il exige enfin que des soldats soient établis a demeure dans chacune des pièces, jusqu'à nouvel avis.

Si les personnages ne se font pas surprendre durant leurs déambulations à travers les corridors du château afin de retrouver leurs chambres, ils s’y enfoncent de plus en plus loin. De fait, alors qu’ils marchent à l’intérieur d’un couloir désert, soudainement, ils aperçoivent une ombre furtive et très rapide traverser les lieux. Celle-ci disparaît aussitôt ; elle va d’ailleurs si vite qu’il est impossible de s’élancer à sa poursuite, même pour un vampire de constitution moyenne. Mais, s’ils s’avancent ensuite vers l’endroit où ils l’ont entrevue, ils distinguent sur le sol de légères traces de sang frais. Et, un peu plus loin de là, ils découvrent le cadavre encore chaud d’un soldat qui patrouillait dans les environs quelques instants auparavant.

En auscultant le cadavre du soldat, les personnages se rendent immédiatement compte qu’il a été vidé de son sang, et qu’il porte à la carotide la morsure d’un vampire. Mais, à peine ont-ils le temps d’effectuer ces premières constatations, qu’ils entendent des bruits de pas venir dans leur direction. Il s’agit d’une patrouille de soldats qui les capturera s’ils ne s’enfuient pas et ne se cachent pas rapidement. S’ils sont arrêtés, ils sont immédiatement et sans ménagement amenés devant le comte de Lamoricière. Ce dernier les accuse dès lors du meurtre de son homme de main, les interroge sur la manière dont ils ont bien pu sortir de leurs chambres, et pour quelle raison, ils s’en sont évadés. Puis, il les sondera tour à tour grâce à ses pouvoirs de vampire pour en savoir plus, pour découvrir si les personnages ne lui cachent pas quelque chose, ou, s’ils lui ont dit toute la vérité au sujet de cette affaire. Finalement, il les fait ramener dans leurs chambres, dont les portes sont désormais sous surveillance constante d’une troupe de soldats.

Par contre, si les personnages parviennent à échapper aux soldats en maraude après ce meurtre mystérieux, ils arrivent finalement jusque dans le corridor où se situent leurs chambres. Ils pénètrent à l’intérieur de celui-ci, juste au moment où le Père André s’y faufile, après être sorti de la chambre où se trouve le passage secret ; il se glisse précipitamment dans la pièce ou l’attend son interlocuteur, après les avoir aperçu ou non.

 

Second Passage Secret : Le levier déclenche l’ouverture d’une porte secrète laissant apparaître l’intérieur d’une salle de lecture. Les personnages peuvent y voir une cheminée où est allumé un feu. Des livres s’entassent sur de nombreuses étagères. Quelques uns sont d’ailleurs ouverts et s’étalent sur une table basse. Aux cotés de cette dernière, il y a un fauteuil ouvragé ; il est installé a moins d’un mètre de la cheminée. Apparaissent encore contre les murs deux portes. Derrière la paroi de l’une d’entre elle résonne des voix. Parmi elles, les personnages peuvent d’ailleurs aisément reconnaître celles du comte de Lamoricière, de Benjamin Chanteclous, et de Jacques.

En étant discret, les personnages peuvent donc entendre la conversation qui est en train de se dérouler dans la pièce adjacente à celle-ci. De fait, le comte de Lamoricière est en train de dire à ses deux amis que, désormais, il est certain de savoir à quelle « Race » appartiennent les personnages et leurs compagnons. Il dit également qu’il sait que ce sont les amis des personnages qui détiennent les quatre cubes magiques qui ont été dérobés à Thibaut de Frontenac durant l’insurrection de Bordeaux, il y a maintenant quelques semaines de cela. Il poursuit en expliquant qu’il faut absolument trouver un moyen de convaincre ces derniers a l’accompagner, lui et son armée, jusqu'à Toulouse. Il dit encore que cela ne pourrait que les aider a mener à bien leurs propres affaires, tout en profitant de l’appui de leurs amis « humains » et frondeurs. Il poursuit en disant que, malgré tout, avant de partir de Montauban, il doit s’occuper de ce qui est en train de s’y passer. Il dit qu’il faut également profiter de la situation afin continuer à soulever la région contre Mazarin et la reine mère, et ainsi, grossir l’armée qu’il est en train de constituer, à destination de Toulouse. Il dit que, plus son armée sera importante lorsqu’il arrivera à Toulouse, plus l’appui qu’il obtiendra auprès du duc de Bouillon ne sera important. Plus son influence sera alors décisive auprès de ce dernier, afin qu’il leur accorde un libre accès aux endroits de la cité qu’ils veulent atteindre en toute discrétion.

Au terme de cette étrange conversation, le comte de Lamoricière charge alors Jacques d’aller récupérer « ce qu’il sait », à l’endroit ou cela a été caché. Il charge également Benjamin Chanteclous de rejoindre Villemur le plus vite possible. Celui-ci doit y informer Robert de Got que le comte de Lamoricière se mettra en route dans une semaine, et qu’il sera accompagné de son précieux chargement. Il lui dit de dire a Robert de Got, que celui-ci doit attendre, comme convenu précédemment, le comte de Lamoricière. Ils doivent se retrouver à Villemur au lieu de rendez vous qu’ils ont fixé la dernière fois ou ils se sont rencontré. Et, évidemment, Robert de Got devra ètre accompagné de l’armée que lui même aura réunie de son coté.

Finalement, au terme de cette longue conversation, le comte de Lamoricière, Benjamin Chanteclous et Jacques décident de se séparer. Et la porte donnant sur la pièce dans laquelle se trouvent actuellement les personnages s’ouvre sur les trois interlocuteurs.

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Auteur Commentaire en débat
dominic913
Posté le: 12-02-2012 12:31  Mis à jour: 12-02-2012 12:31
Plume d'Or
Inscrit le: 06-02-2012
De: Valognes
Contributions: 312
 Re: Le Crépuscule des Demi-Dieux - Septième Partie
Progressivement, la petite et la grande Histoire se rejoignent, et se mèlent l'une a l'autre, auréolées d'une aura de mystère entourant les Personnages, leurs compagnons de voyage et le comte de Lamoricière. Les intriguent se nouent encore un peu plus ; les complots également ; les buts de certains se dévoilent, leurs intentions aussi. Mais beaucoup de choses, d'événements, restent encore à venir...
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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