Mon cher frérot,

Me revoici me revoilà avec une rage d'écriture. Alors :

Tes bons mots nous invitent à échanger des mots
Mais n’y vois là aucun désir d’une querelle,
Ni d’espérer le dernier mot dans ta chapelle.
Quelques mots à dire, sans vouloir être un fayot !

Et ce ne seront pas mes derniers mots,
Car je reviens ici à l’Orée immortelle,
Pour avoir le mot pour rire, sans esprit rebelle.
Et il était grand temps que j’en touche un mot !

Ah quel plaisir de te taquiner mon frérot !
En un mot comme en cent, c’est de l’amour à flot,
Qui veut saluer le poète tant aimé.

Et le fin mot de tout cela : reste toujours
Au milieu de notre orée, à notre secours,
Pour partager ta poésie si parfumée.

Vieux réflexe de vouloir répondre en poésie.

Bises du frérot.