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Nouvelles confirmées : Le Crépuscule des Demi-Dieux - Huitième Partie
Publié par dominic913 le 13-02-2012 10:30:00 ( 1051 lectures ) Articles du même auteur
Nouvelles confirmées



Evidemment, durant cette longue conversation, les personnages peuvent se faire surprendre par le comte de Lamoricière et ses amis. Dans ce cas, le comte de Lamoricière appelle immédiatement la garde. Une demi-douzaine de soldats en armes surgit immédiatement d’une salle voisine. Le comte de Lamoricière, Benjamin Chanteclous, Jacques, et les soldats, attaquent aussitôt les personnages, jusqu'à ce que ceux-ci soient neutralisés. Les prisonniers sont alors emmenés jusqu'à leurs chambres respectives, ou ils sont interrogés par un comte de Lamoricière furieux. Ce dernier veut absolument savoir s’ils ont entendu la conversation, et les sonde mentalement dans ce but. Puis, d’une manière ou d’une autre, encore plus furieux, il les quitte alors, le temps de réfléchir de ce qu’il convient de faire d’eux. Il laisse des soldats armés en permanence aux cotés des personnages, afin que chacun de leurs faits et gestes soit surveillé de près. Les personnages peuvent ètre également assez discrets pour ne pas se faire surprendre. Dans ce cas, ils peuvent discrètement quitter les lieux. Le passage secret se poursuit donc de plus en plus loin à l’intérieur des corridors et des salles du château. Ils pénètrent alors par inadvertance dans une salle qui semble ne pas avoir été visitée depuis plusieurs semaines. Celle-ci a les murs recouverts d’étagères sur lesquelles sont dispersés de vieux livres et de vieux parchemins poussiéreux et couverts de toiles d’araignées. Se trouvent également alignés des bocaux de toutes et de toutes sortes contenant des poudres multicolores, quelques organes humains indéfinissables. Au centre de la salle apparaissent plusieurs tables encombrées d’ustensiles destinés certainement a un usage alchimique. Repliées sur elles mêmes, dans un des coins les plus sombres du lieu, se trouvent cinq créatures mi-humaines, mi-félines. Ce sont des Hommes-chats. Ceux-ci attaquent les personnages s’ils font mine de toucher quoi que ce soit. S’il y a combat et qu’il tourne mal pour ces Hommes-chats, au bout d’un moment, ceux-ci s’enfuient en direction du corridor menant au passage secret. Par ailleurs, au fond de la pièce se dessine une porte s’ouvrant sur une petite bibliothèque dont les murs sont recouverts, du sol a plafond, d’étagères encombrées d’autres livres et parchemins poussiéreux et à moitié moisis, déchirés, miteux ou aux pages dévorées par les rats. Ces recueils sont, pour la plupart, rédigés en latin ou en français moyenâgeux ; ce sont des traités d’Histoire et de Religion. Quelques uns contiennent une multitude de dessins ésotériques, kabbalistiques. L’un de ceux-ci, notamment, cache un parchemin semblant dater du 13ème siècle – Documents 2, 3, 4, 5 - ; Plus loin dans ce livre se trouvent d’autres feuillets disparates sur lesquels apparaissent d’étranges formules destinées à invoquer des entités surnaturelles. De quelle manière les faire apparaître dans notre monde, comment les contrôler, et quels ingrédients utiliser pour cela. Enfin, un peu plus loin, à l’intérieur de cette bibliothèque, se trouve une table basse accompagnée de deux fauteuils, et, à proximité d’une cheminée au foyer allumé. Plus loin à l’intérieur du labyrinthe constituant ce passage secret, au bout d’un moment, les personnages semblent entendre des bruits de pas indistincts venus d’on ne sait où. Progressivement, ceux-ci paraissent se rapprocher d’eux. Et finalement, ils voient fugitivement apparaître une ombre. S’ils décident de se lancer à sa poursuite, et s’ils sont assez rapides, ils reconnaissent alors la silhouette du Père André. Celui-ci pénètre dans la chambre où se trouvent les mécanismes rattachés aux passages secrets. Puis, il disparaît par la porte d’entrée de cette pièce, car elle n’est, ni fermée à clefs, ni surveillée par aucun soldat. Les personnages peuvent alors décider de pister le Père André en dehors de la chambre. S’ils sont assez discrets pour cela, ils le voient très vite entrer dans une salle adjacente à leur chambre. En écoutant à la porte, ils l’entendent très vite se mettre à discuter avec quelqu’un d’autre. Cet inconnu, qui dit se nommer Henri le Gueux, lui dit bientôt que le comte de Lamoricière vient de l’envoyer à Bordeaux pour prévenir ses amis qu’il a trouvé la trace des voleurs. Il rajoute que le comte de Lamoricière à l’intention, pour plus de sécurité, d’emmener ces détrousseurs à Toulouse, chez le duc de Bouillon et ses amis Frondeurs. Les personnages peuvent alors décider d’entrer dans cette salle afin de prendre les deux comploteurs en flagrant délit et leur demander quelques explications supplémentaires. Mais, juste avant qu’ils n’aient la possibilité d’intervenir, ils entendent une patrouille de soldats venir dans leur direction. S’ils se font surprendre par cette dernière, ils sont immédiatement appréhendés puis, emmenés au comte de Lamoricière. Le comte devient aussitôt soupçonneux à leur encontre, et leur demande ce qu’ils faisaient dans les couloirs de son château, alors qu’ils les avaient assignés à résidence dans une chambre fermée à clef. Il adresse d’ailleurs à un de ses conseillers présents d’effectuer une enquête à ce sujet. : Pour quelle raison il n’y avait pas d’homme de troupe à cet endroit ; pourquoi leurs portes n’étaient pas cadenassées. Puis, sans attendre d’explication de leur part, il les fait ramener dans leurs chambres respectives sous bonne garde. Il ordonne en outre qu’un soldat surveille la porte de chacune de leurs chambres en permanence. Quoiqu’il arrive désormais, les personnages sont considérés comme prisonniers à l’intérieur de leurs chambres, et sous bonne garde. Les événements suivants se sont produits d’une manière ou d’une autre, qu’ils y aient pris part ou pas : le Père André est sorti de l’une de leur chambre par le passage secret, afin de se rendre dans une pièce voisine ; un soldat s’est fait assassiné par une ombre furtive dans l’un des corridors du château. Le comte de Lamoricière à l’intention d’emmener les personnages jusqu'à Toulouse auprès du duc de Bouillon. De fait, à la nuit tombée suivante, alors que les personnages sont séquestrés dans leurs chambres depuis plusieurs heures, le comte de Lamoricière les y rejoint. Dès lors, il s’excuse auprès de ceux-ci d’avoir été obligé d’entraver leurs mouvements depuis leur arrivée au château. Il explique que, s’il les avait laissés libres, ses affaires vis-à-vis de certaines personnes en ville, auraient pu être bouleversées par leur présence inopportune dans les salles et les couloirs du manoir. Puis, il dit que, désormais, ils sont libres d’aller et venir où ils le souhaitent, et de faire ce que bon leur semble. Il leur demande juste d’être prudents, parce qu’un meurtre vampirique a té commis la nuit dernière dans un des corridors du château. Par la même occasion, le comte de Lamoricière essaye de sonder mentalement les personnages, afin de savoir si ce n’est pas eux qui sont à l’origine de ce meurtre, tout en leur apprenant qu’il va commissionner une enquête au sujet de ce forfait, afin d’en retrouver le coupable. Et, finalement, il quitte les personnages en précisant qu’il doit retourner à ses occupations ; en même temps, il dit aux soldats qui montaient la garde devant la chambre des personnages, qu’ils peuvent regagner leurs quartiers.

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
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