 Les canons tonnent Les canons tonnent Les innocents entonnent Des prières aux hommes Pour qu’ils abandonnent La soif du pouvoir qui ballonne Leur liberté aphone Qu’à la paix ils s’adonnent Sur des terres qui garantissent Un avenir où vrombisse La joie, le bonheur qui détonne Homme avide de polynômes Que cesse votre axiome Du bien pris sur l’aune Des malheurs monotones Les religions ne doivent être aumône Pour faire valoir la mort des hommes Braves gens, crier le fort de votre voix Pour que demain enfin l’on entrevoit La fin des blessures de toutes vos demeures Où se nichent les innocents dans cette gageure Arche de pleurs étouffant d’ignorance leur joie Que la solidarité soit que la guère plus ne soit Que tous vos chez soi Soient recouverts par un ciel d’émoi Où seule la paix ordonnera sa loi ©ƒC
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