Chaque matin tu te lèves
En peignoir, car en dessous tu étais
Nues cachant ton intimité
Et un jour tes yeux ont croisés les miens
Sans peur, nous étions sur la côte
Toujours face à la mer sereine
Pour la journée, tandis la boule de feu
A tout de suite mis la nature joyeuse
Sensuelle comme une femme
Parce qu’elle dessine
Alors que le poète écrit des poèmes
Rien qu’en regardant la beauté
Chaque jour, c’était un rêve
Et tellement jolis à réaliser
Trop tentant de voir
Une femme sans faire de différences
Car les femmes ça ne court pas les rues
Rien qu’avec ton cœur tu sens les choses
Intenses qui font partit de la vie
Tous les problèmes s’enfuit au galop
Impure pour libérer mon esprit
Qui gambade dans le crane
Un jour, ses souvenirs vont t’appartenir
Et je ferais tous pour que tu rentres dans ma tête
Quelqu’un de confiance comme toi m’a dis de foncer
Une femme proche de moi, c’est ma sœur
Elle m’écrit souvent par mails
Toujours prête à sympathiser avec
Une femme pour connaître
Et sûrement elles s’entendront
Surtout pour discuter
Irrésistiblement
Naturellement
Tête sur les épaules
Et bien dans sa peau
Respirant la vie
En philosophant
Sur les mots
Sans limites
Alors que les mots
Noirs devient clair
Tout les jours
En mots croisés
Sortit de nulle part.

Philippe.