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Accueil >> xnews >> la plage - Poèmes - Textes
Poèmes : la plage
Publié par phiphi6 le 10-12-2020 15:50:00 ( 388 lectures ) Articles du même auteur



La plage

Bientôt c’est l’été
Le soleil va chauffer
Les corps de filles
Sur cette plage,

Lorsque tu es venus
Pour la première fois
Tu t’es mise en bikini
Pour faire bronzette

Sous le regard attentif du
Goéland en train de rire,
En disant :- j’aime ta
Peau qui est douce

Comme tes lèvres
Humides sortant
De l’eau te rendant
Plus belle de jour en jour,

Et ton visage rayonne
Quand tu m’as vu
Avec des fleurs
Un peu bizarre

De les emmener
Au milieu de cette
Journée surtout
Sur cette plage

Qui est plus tôt pour
Les romantiques
Comme toi te
Laissant caresser

Par les bras de ton
Copain que tu aimes
Et avec qui tu as eu
Une petite fille.

Philippe.

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Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 16-12-2020 14:49  Mis à jour: 16-12-2020 14:49
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9499
 Re: la plage
Je comprends ton désir d'été, le soleil qui nous réjouit et nous fait vivre.
Quelques belles images .

1 Fofote à corriger :
Lorsque tu es venus

De les .... est une préposition qui appelle un complément , cette phrase est mal construite, tu as dû oublier une précision.

Citation :
De les emmener

Au milieu de cette
Journée surtout
Sur cette plage

De même dans cette phrase le sens n'est pas compréhensible :

Citation :
Qui est plus tôt pour


Les romantiques
Comme toi te
Laissant caresser
Merci pour ta participation.
LM
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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