C’était un dimanche Quand je t’ai vu Sous l’ombre d’un pommier Assis comme un vieil homme Pourquoi t’as perdu le sourire de ta vie ? Je suis ici Marchant seule ce n’est pas l’envie de ma vie, Si le Paradis efface le passé noir Le printemps est un nouveau début Pourquoi tu es vide comme la nuit ? Quand tu me retiens Je sens l’orage sur tes rouges lèvres Les rêves seront ma joie de fatalité Je n’ai jamais revu la lumière de ces instants Ni la rivière de mon prison Je quitte vers l’horizon En cherchant mon destin Mes pensées n’ont pas de copains Jusqu’à la folie je m’en suis allé Pour casser mes souvenirs d’adultes.
|