Triste, c'est vrai. Terrible et touchant.

Pourtant, en écho à tout ce qui a été donné, je voudrais partager ici ce poème amérindien :

"Tout ce qui n'est pas perdu".

Et même s'ils ne suffisent pas, les adresser à celle qui s'est isolée.

Pour lui dire merci, de la part du monde solidaire qu'elle a contribué à créer, même si personne ne lui a dit.

Bonsoir Berny,

Votre poème est percutant et me glace un peu.
Ma conviction personnelle est q'un tel événement ne doit pas conduire à une culpabilisation ou à une souffrance trop extrême chez les parents qui vivent cela. Par expérience, je demeure convaincu que les causes sont toujours multiples et ne peuvent se réduire à une seule responsabilité parentale. Mais ce sont eux qui la prennent toujours de plein fouet!
Nous ne pouvons que désirer rester dans l'espérance qu'un tel isolement ne demeure pas permanent.

Bien à vous.

Jacques