Sur un océan de rimes Onduleraient les vers mélancoliques Aux reflets d'argent sublimes Les mots, résonneraient comme une supplique aux doutes parsemés d'angoisse : et, c'est en l'écriture, ma paroisse, que je trouverai la plus grisante des étreintes ; Dénouant de mon coeur l'oppressante illusion en des vers divins, faisant de mes peur des festins de réflexions et noyant mes larmes amères. Les vents porteraient au loin ces éphémères sur la terre de mes années mortes. Ainsi, iront les vers, juchés sur la proue des humeurs du temps.
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