Une belle plante, dans la fleur de l'âge

se sentais plus: c’était une Narcisse .

Des pensées plus vertueuses et sages

Ne pouvaient plus la sentir　: car assise

Sur son orgueil, elle comptait fleurette

À des Immortels pour lesquelles d’autres fleurs

Se fanaient d’amour　; elle se reflète

Dans les tumultueuses eaux des chasses heures

Tu t’engages sur des chardons bien ardents

Lui teint un ciste au thym assez insistant.

A trop écouter l’Echo de ton égo

L’Ephemère, avec toi, Tombera à l’eau

Lotus et mouche cousue　; elle arrive

Souffle le vent aux plantes à fleur de peau.

Sa cruelle beauté a traversé le Cour d’eau.

Se Genêt risque l’ humeur végétative

elles ne veulent pas que d’autres Hommes Pendus

Viennent fleurir la tombe de ses conquêtes

Elles (se) sont décidées à faire une requête

Auprès du très grand vénérable pin perdu

Etant lui-même un être vraiment éperdu,

Accépetera de sécher son beau corsage.

Mais l’empire des chants de sa beauté perdue

Ne fanera jamais les les pensées sauvages.

Avec ces histoires de pieds gonflés d'orgueil

Il y aurait vraiment de quoi se sentir mal dans ses racines