Ils pensaient faire taire la douce grand-mère, Fragile du cœur dans sa maison de santé ! Qui si souvent dort, car son corps est épuisé, D'avoir vendu du vin, la femme pionnière !
Un matin elle est venue, cette troupe altière, La forcer à vendre au fils, ce qu'elle a créé, Ses initiales, a mis, puis a signé, Puis ils sont repartis, pour cacher leur misère !
Ils pensaient tous qu'au ciel, elle partirait vite, Mais la nature est rebelle, presque de suite, A rempli sa bourse, mais elle n'a rien dit !
Pour payer le séjour, sa maison ont su vendre Sans lui dire, car pour eux rien est interdit, Je reste le seul, qui son amour veut entendre !
SANSONNET
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