Je suis las de ce temps, pour mon gazon, idoine, Qui quoi que j’en dise, m’évite d’arroser! Cadenassé chez moi, il me faut donc trouver, Un coupable voulant, que pousse bien l’avoine!
J’en connais bien une, avec son copain chanoine, Folle des nuages, censés tout apporter! Le bonheur, la tendresse, la joie d’exister, Plus efficaces que l’odorante pivoine!
La chanson dit que l’ouragan, elle manie, Faisant les stratus au-dessus de la prairie, Recouvrir de larmes le foin, le séneçon!
En te parlant de simplicité, de sagesse, Inondant son portrait riant sur l’horizon, Prête à fondre sur toi, en sublime princesse !
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