Dans cette forêt, cette chaleur harassante, Puis une étincelle créant ce petit feu ; Qui va grandir, grignoter peu à peu le bleu, Las, personne n’a vu sa flamme caressante.
Sa chaleur générant cette risée brûlante, Le voici qui dessine un nouveau camaïeu, Noir, le réduire au plus tôt, tel sera l’enjeu, Avant qu’il ne mange de sa faim dévorante.
Les maisons, les campeurs, qui hantent la garrigue, Mais aussi ces pompiers harassés de fatigue, Attendant du ciel, ces fraîches gouttes d’argent...
Toutefois, il passera c’est sûr un ministre, Un masque sur le nez, nous expliquant comment, Depuis Paris, on évitera ce sinistre!
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