| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Accueil >> xnews >> La salade Niçoise - Poèmes - Textes
Poèmes : La salade Niçoise
Publié par Marsu le 16-03-2022 09:57:18 ( 271 lectures ) Articles du même auteur



Je m'en vais, aujourd'hui, vous raconter
une belle histoire de salade Niçoise.
Parsemée de bien vieux croûtons* qui vous toisent
Mais crouistillant de bienveillance et dorées
À point lorsque ils flânent comme des anges martyres *.
Souvant serrés comme des anchois en rang d'oignon*
Sur les galets pointues , on les entend médire
Sur les italiens, qui hier encore, convoitaient ce comté*
Peu être pourriez vous encore entendre le canon*,
Battre le rappel, sous un soleil de plomb,
L'heure, tant attendue, d'un savoureux déjeuner
Sur un cour salaya* toujours animé et fleuri
De milles volets colorés, pareille à des yeux
Inquisiteurs.
J'y ajouterai un peu de verdur réfléchissante*
Pour digérer cette grande place carrelée
De senteurs provençale si chaire et apaisante.
Enfin, je l'asaisonerai d'un ciel alangui et étoilé
D'une douce soirée d'été sur la promenade des anglais.

Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
41 Personne(s) en ligne (4 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 41

Plus ...