Mon ordinateur, est depuis quelques heures, en grand deuil. L'appétit sanguinaire d'internet A encore frappé sur mon dur labeure À tout bien considérer, il n'est pas très net
Pour mon plus grand malheur, il a avalé mes vers: mes pensées vereuses au chant d'un gran mystère Avaient disparu de mon écran, fanant mes yeux Dun grand voile de chagrin orgueilleux
Mais ne se doutant pas à quelle vers, Il allait avoir à faire Je retrouvais subitement l'essence de ma vie : Tous se retrouvait, là sous mon regard surpris.
Ayant du subir la folie de ma matière, D'un gris douteux, il du les recracher sur ma page en vogue frôlant l'indigeston de mon blogue qui déblogue
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