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Accueil >> xnews >> Le faux-semblant. - Poèmes - Textes
Poèmes : Le faux-semblant.
Publié par danielm le 19-10-2024 21:20:00 ( 64 lectures ) Articles du même auteur





Quelque part tu vis… Mon miroir respire.
Si tu savais combien est le nombre ?
D’avoir voulu te plaire… Me sentir sous tes caresses
Mais une barrière entre nous, cet âge…

« J’ai tellement vécu comme une perle dans ma solitude.
Que j’ai fini par l’aimer cet ingénieux.
Je me suis tellement détesté…
Que j’ai fini par ne plus être ce joyau. »

Combien de fois j’ai essayé de t’approcher ?
Prétendre sans jamais oser… Vouloir taire l’intrigue ?
Combien j’aurais aimé… Sentir ton parfum.
Te connaître, faire paraître cet amour.

- Je préfère être ce faux-semblant…
Car, ma vie n’est plus qu’une fanfare.
Sans tambours ni trompette… Je vieillis.
Juste un homme… Qui marche seul ?



De DanielM. Chanson.

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Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Happyday
Posté le: 20-10-2024 13:01  Mis à jour: 20-10-2024 13:01
Accro
Inscrit le: 29-04-2021
De: CONFOLENS
Contributions: 539
 Re: Le faux-semblant.
Bonjour Daniel

Merci de venir lire mes poèmes.
J'aime lire tes magnifiques poèmes qui me touchent..
Merci et encore merci

HAPPYDAY
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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