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Accueil >> xnews >> je ne mourrai pas - Poèmes - Textes
Poèmes : je ne mourrai pas
Publié par pabloemma le 26-12-2012 23:10:00 ( 992 lectures ) Articles du même auteur



Tant de fois
J’ai été choqué
Tant de fois
J’ai été délaissé.

M’observant dans le miroir,
Je me voyais atteindre un grand désespoir
Mes yeux s’éffondraient de larmes,
Je pleurais pour mon âme.

Je crois ne plus souffrir
Je crois ne pas mourir
D’un amour qui a rendu aigre mes plaisirs
D’un geste qui m’a écœuré
Et m’a affligé.

pabloemma
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Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
emma
Posté le: 27-12-2012 12:23  Mis à jour: 27-12-2012 12:23
Modérateur
Inscrit le: 02-02-2012
De: Paris
Contributions: 1494
 Re: je ne mourai plus
Attention à l'orthographe :

effondrer : mes yeux s'effondraient de larmes
mourir au futur : je ne mourrai pas

Bonne continuation !
Loriane
Posté le: 27-12-2012 15:15  Mis à jour: 27-12-2012 15:19
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9511
 Re: je ne mourai plus
Citation :
Tant de fois
J’ai été choqué
Tant de fois
J’ai été délaissé.

Les répétitions accentuent le discours.
Agréable

Deux erreurs :
"s'effondraient "
"je ne mourrai plus"

Merci
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.
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