| A + A -
Connexion     
 + Créer un compte ?
Rejoignez notre cercle de poetes et d'auteurs anonymes. Lisez ou publiez en ligne
Accueil >> xnews >> Métamorphose - Poèmes - Textes
Poèmes : Métamorphose
Publié par dominic913 le 27-02-2013 14:43:57 ( 939 lectures ) Articles du même auteur
Poèmes



Des profondeurs les plus lointaines, des crevasses purulentes et nauséabondes, aux sommets les plus majestueux et les plus flamboyants, je parcours le monde à la recherche de celle qui a pris mon cœur. Moi qui ne suis qu'un humble parmi les humbles, je te cherche continuellement. Des Cités englouties d'Autrefois aux gratte-ciels luminescents, des sommets de l'Himalaya aux déserts de Gobi, des forêts les plus lointaines aux contrées les plus proches, je marche au-delà de cet Horizon nébuleux qui alimente ; cet imaginaire débordant qui me hante et surgit en moi indéfiniment.
Car, mon Aimée, tu es celle qui brule mon âme et qui déchire mes pensées. Tu illumine mes jours et arpente mes nuits. Je te suis sur toutes les routes de la Terre. Conduis-moi au-delà des frontières de notre Univers ; emmène moi avec toi en ces lieux étranges et maudits qui nous sont, depuis toujours interdits. Et offre moi par ton regard, cette clef éphémère nous ouvrant les portes des ces rêves de jadis ; ces songes démesurés qui font de nous des Etres Evolués partageant ces multitudes de Firmaments ; où Etoiles, Galaxies et Nébuleuses s'entremêlent jusqu'a en devenir Chaos permanent.
Et c'est par ce Grand Livre de la Vie au cœur duquel j'ai inscris ; ces quelques mots vantant mes désirs inassouvis ; que je poursuis cette aventure aux accords établis. Mais c'est aussi en me découvrant ainsi que je pérennise ce Destin d'itinérant ; par lequel je brise ce tabou imposant ; que je porte sur mes frêles épaules d'Implorant. Déchainant cette folie qui me prend ; à chaque fois que mon Esprit décadent se tend ; en direction de celle qui chante ses mille clameurs dans le Vent. Où mes gémissements et mes hurlements sont les seuls cantiques sanglants que tu ressens ; dans ta chair la plus éclatante ; car engendrée en ces Temps où Cosmos et Etres qui ont pour nom "Commencement" ; symbolisent à eux seuls ce frémissement dont nous sommes toi et moi les porteurs.
Dès lors, j'attends avec impatience cet instant générant ; ce bouleversement titanesque au cours duquel cités englouties d'Autrefois et gratte-ciels luminescents ; verront déferler cette Aube imposante ; qui accompagnera cette renaissance dont toi et moi mon Amour, nous sommes les manifestations les plus sidérantes...
Dominique

Article précédent Article suivant Imprimer Transmettre cet article à un(e) ami(e) Générer un PDF à partir de cet article
Les commentaires appartiennent à leurs auteurs. Nous ne sommes pas responsables de leur contenu.
Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 28-02-2013 19:25  Mis à jour: 28-02-2013 19:25
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9499
 Re: Métamorphose
Tu fais rêver :
Citation :
Dès lors, j'attends avec impatience cet instant générant ; ce bouleversement titanesque au cours duquel cités englouties d'Autrefois et gratte-ciels luminescents ; verront déferler cette Aube imposante ; qui accompagnera cette renaissance dont toi et moi mon Amour, nous sommes les manifestations les plus sidérantes...

Merci
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

Connexion
Identifiant :

Mot de passe :

Se souvenir de moi



Mot de passe perdu ?

Inscrivez-vous !
Partenaires
Sont en ligne
79 Personne(s) en ligne (25 Personne(s) connectée(s) sur Textes)

Utilisateur(s): 0
Invité(s): 79

Plus ...