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Accueil >> xnews >> Étendue - Poèmes - Textes
Poèmes : Étendue
Publié par Archange le 01-03-2013 14:40:00 ( 965 lectures ) Articles du même auteur




La lavande est superbe, les insectes butinent les fleurs,

La pluie tombe, ruissellent le long mon visage

Les yeux brillants observent mille perles fondues dans les herbes.

La douceur du vent effleure ma chevelure humide

Le ciel se dévoile d'un rayon de soleil, place à l'arc en ciel

Le papillon vole par delà le champ des brillants violacés


Je tourne la tête un instant,


La lavande est séchée les insectes envolés, plus de fleurs

La froideur frôle mes joues le souffre enivre mon nez

Les yeux mortifier scrutent l'étendue des paillettes de cendre

La poussière dévaste le paysage de sa robe grisâtre

Le ciel se couvre d'un manteau de brume et de nuages noirs

Le papillon meurt là dans le pré séché et dévasté....

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Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 04-03-2013 22:26  Mis à jour: 04-03-2013 22:26
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9499
 Re: Étendue
Les images sont belles mais j'aurai préféré le début à la fin !!
Joli !

Citation :
La lavande est séchée les insectes envolés, plus de fleurs
Plus de fleurs ! oh non ! sans fleurs c'est affreux.


Citation :
ruissellent le long mon visage
Manque un mot ?

Citation :
Les yeux mortifier
mortifiés ?

J'ai aimé, belle lecture
Merci
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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