Quand tu lances tes flatulences Ce vil grotesque puant dans la ville Dévides-tu le rance de ton opulence ?
Surpris du ton moqueur de ton bruit Ton regard fuit preste, le goguenard Il surprend, tes yeux inquiets du mépris
D’un silence étourdi, par ta mesurée patience Tu retiens l’air inquisiteur à ton maintien Pour fuir, cet acte divagant vers l’insolence
Quand soudain , explose l’éclat du pétrin Qui trompe ta raison, au son de la bombe Il atteint d’autres interprètes, bien plus malins
Mais il est parfois, un petit coup d’oeil par ci, Par là , et tu accompagne d’harmonie le vent Qui se va vers nulle part, pour emporter le temps Au concert d’une ballade, sur un air contrit Et seule la statue de Verdi témoin, là te sourit ☼ƑƇ
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