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Accueil >> xnews >> Courtes secondes - Poèmes - Textes
Poèmes : Courtes secondes
Publié par Khaled le 25-03-2013 15:30:00 ( 824 lectures ) Articles du même auteur



« Une seule passion m'est dévastatrice :
Là, les rêves sont beaux, mais la peine est fatale.
Une passion ivre de bontés et délices,
Elle est le Bonheur profond... Ma ville natale...

Aujourd'hui, je reviens, mais elle me reproche,
Car ce fut un an, éloigné de ses merveilles,
Et je sens mon âme quand d'elle je m'approche
Tout près du Dieu qui lui seul de loin la surveille.

Kelibia ! Je ne puis oublier ta Mer et ta Nature,
La chaleur de tes gens, dans le Mal de ce monde,
Et ton Port et ton quai, et ton Fort et tes murs,
Et ton air qui fait de l'an des courtes secondes.

Je visiterai ta Mer, et je vais crier,
Et devant sa grandeur, toute ma vie s’achève,
Et quand la peine part, je prendrai mes papiers,
Pour revivre ensemble les plus beaux de nos rêves.»


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Auteur Commentaire en débat
Loriane
Posté le: 27-03-2013 15:05  Mis à jour: 27-03-2013 15:05
Administrateur
Inscrit le: 14-12-2011
De: Montpellier
Contributions: 9499
En ligne !
 Re: Courtes secondes
Un chant d'amour à ses racines, c'est beau.
Dans l'écriture on trouve quelques maladresses
Citation :
Car ce fut un an, éloigné de ses merveilles,


Car je fut un an, éloigné de ses merveilles,

Citation :
Et ton air qui fait de l'an des courtes secondes.
Et ton air qui fait d'un an de courtes secondes.


Citation :
Et quand la peine part, je prendrai mes papiers,

L'accord des temps veut : "Et quand la peine partira, je prendrai mes papiers",
ou "Et quand la peine part, je prends mes papiers",

Merci
Mes préférences



Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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