Parce que toutes les histoires commencent dans le ghetto du cœur humain sur ses murs se trouvent inscrits des graffitis de passion et de haine,là ou l'absurde se vit au quotidien et ou l'espoir vire au truncsen ,et,ou chaque instant s’imprègne d'un arrière gout de fuite.
Parce que le chemin parcouru se réduit à un non sens et que de l'Avenir se leve le voile du Doute on attend patiemment que la blessure s'estompe peu à peu en se disant pour se rassurer qu'on est pas seul à saigner.
Qui n'a rêver en cet instant de cette chrysalide qu'on abandonne pour atteindre d'autres latitudes en laissant les horizons familiers sous la poussière d'incertitude ;en s'éloignant de cette terre d'exil que sont les douces habitudes et ou seule s'épanouit la fleur d’indifférence?
Parce que toutes les histoires commencent dans le ghetto du cœur humain,je me suis laissé prendre à son barbelé et si je suis encore tout écorché c'est que ma mémoire s'est arrêtée sur une image gravée:
J'étais Icare elle a brûlé mes ailes!!