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Accueil >> xnews >> La lumière triomphe sur l’ombre de l’échec - Poèmes - Textes
Poèmes : La lumière triomphe sur l’ombre de l’échec
Publié par julessteph le 24-01-2014 20:50:00 ( 878 lectures ) Articles du même auteur



‘‘La lumière triomphe sur l’ombre de l’échec’’

Retrouve-moi dans un désert sans fin, avec une bouteille de vin en main
Tout est si noir autour de moi Tout est si triste autour de moi
Marchant à l’infini en regardant l’horizon qui est sans fin, je cherche mon idéal mais en vain
Je me rends compte que je touche le fond
Le vent est chaud, le ciel est noir, mes ambitions spatiales dans mon verre sont mon pouvoir
Je m’approche de quelque chose, et soudainement, je tombe dans un trou noir.

Le ciel auquel je suis marié depuis tant d’années vient de me tromper
Je me sens trahi, moi qui a tant prier, voilà que je suis tombé

Dans ce trou, aucune lumière Ce si beau jour n’existe jamais
Mes cernes entrent en guerres J’ouvre mes veines, j’exprime mes peines
Je me perd me trainant Sur un mur de haine

Errance dans ce trou du siècle Que faire, je gratte les murs
Je ronge mes ongles longs et durs
Et je Tourne en rond ne sachant quoi faire

Ma tête tourne à l’envers comme si j’avais trop bu d’alcool
Le temps s’écoule, les aiguilles tournent, je rêve de tournesol
Mais le temps passe et je me tourne au sol
Ma tête tourne à l’envers, je regarde le soleil décrire une parabole
Plus Les secondes s’écoulent, et plus j’espère que l’eau du temps me mènera à la surface
Mais le temps s’écoule, oui et donc ne sèche pas mes larmes
Ce temps qui est une lame taillade mon âme et la mort me charme

Je ne peux pas m’apitoyer sur mon sort
Moi, j’ai tant marché dans ce désert, qu’abandonné, serais médiocre


Alors comme un chien, je creuse un terrier
Un terrier comparable à mes ambitions les plus fortes
Un terrier qui comblera ce trou dans lequel j’ai plus de force
Une goute puis plusieurs gouttes qui viennent du ciel tombent sur mon torse
La pluie abats ses lignes, le ciel ne m’a pas oublier
Il attendait juste que j’ouvre les yeux et que je rajoute du sable dans mon sablier

Cette pluie, cette eau de réussite
Elle tend les bras, je dois les saisir
Non loin de là , ce bord que j’ai tant convoité
Je le saisi et là, tout cet immense trou fait partie du passé

J’ai réussi à ressortir la tête de ce périple horrible
Le ciel devient tout à coup bleu
Le soleil m’éclaire telle une bénédiction
Me tournant, je continue de marcher vers mon horizon
J’ai juste les yeux ouvert, j’évolue de façon certaine
J’aperçois sur la terre beaucoup de clous, de trou et feux
Mais pour moi l’essentiel, c’est cette belle lumière lointaine

Devenir pilote, rêve de collégien
Maintenant le monde m’oblige à être collé aux gens

Comme mon précédent vers, je me détache toujours en fin
Comme un coureur en compétition, je me détache toujours en fin
Jamais rester avec d’autre personne pour ensuite le regretter en fin
Je prends du recul sur ma vie, quand les journées prennent fin
Essayer de balayer les mauvais esprits, passer ma vie au peigne fin
Comme un peintre sur sa toile avec son peigne fin,
Je dessine la vie dont je rêve sans fin

Homme, tu as des envies auxquels tu cogites
Ne crois pas qu’elles sont utopiques
Si l’échec est une femme, soit misogyne
Soi sensible aux sacrifices qui t’oblige

Mais après t’être battue pour enfin connaitre cette gloire

Tu te rappelleras de se souvenir comme étant comique
Tu apprendras que l’abandon est illogique
Tu seras convaincu qu’elle peut rendre le film d’une vie, horrible
Retient que l’abandon et la mort sont synonymes.

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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