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Poèmes : Je la savais là
Publié par modepoete le 11-12-2013 12:50:41 ( 899 lectures ) Articles du même auteur




Je la savais là, dans cette forêt
De la grande cité, rue des rosiers
Huitième étage sans ascenseur
Quand l’heure sonnait mon malheur

J’attends ses pas qui frappent cernés
Ma passion pressée, de venir se poser
Sur ses yeux purs, comme le ciel d’azur
Que je regarde, source qui me rassure

Serai-je coupable, de mon impatience
Quand sa silhouette est impertinence
Et lorsque sa beauté, je ne peux l’admirer
Laissant mes yeux pensifs, se lamenter

Ma patience, en son jeune délire retient
Le bruissement de ses pas qu’elle entretient
Au fond de mon cœur, comme un trésor
Qu’elle protègera, jusqu’à levée du vil sort

L’orage est venu, desservir son quartier
Dans le ciel d’amour, des cœurs privilégiés
Un coup de foudre altier, a frappé nos regards
Et deux âmes aimantes, se dénudent sans retard
☼ƑƇ

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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