Le temps qui dissout la matière Un jour qu’il allait flatulent Ayant rongé une rombière Maquillée outrageusement
M’a dit fini ! La médecine Vois-tu petit je n’en peux plus ! Des pharmacies qui m’assassinent Et des instituts qui me tuent
La chirurgie et la plastique S’unissent faisant de leur mieux Pour que je mange synthétiques Des jeunes de plus en plus vieux
Certains portant des pesticides Mon œsophage est mis à mal Ne parlons pas des sucs acides De son transit intestinal
Puis concluant catégorique : Votre chair ne vaut pas bien cher Il lâcha un pet fantastique En m’assénant : peins le en vert !
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