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Poèmes : Valentine, la dulcinée
Publié par julessteph le 13-02-2014 23:40:00 ( 897 lectures ) Articles du même auteur



VALENTINE, la dulcinée

Valentine au couleur d’amandine dans ce jardin blanchâtre de tendresse
Yeux bleu et rouges à lèvres visage d’ange et bouche de déesse
Robe bleu et écharpe blanche tu me rappel la sainte vierge

Sur cette étendue enneigée, je te cours après espérant rattraper ton visage
Suis moi vers l’autre bout du rivage le ciel se mêle à tes yeux
Ce ciel maitre de l’univers et toi maitresse de mes vœux
Je me rappelle de ces milliers de pruneaux rouges étalés sur cette plage enneigée
Ce beau sourire courait à chaque fois criant mon nom d’un léger velouté
Il fallait l’attrapé pour ne pas la voir s’envoler
Je me rappelle de cette course à l’amour
Et aussi de cette cour ou j’ai senti tes bras sur mon cou
Tu sais j’attendais cette saint valentin comme un ouvrier attendant un jour férié
Je remercie le ciel de t’avoir voir enfanté, toi ma dulcinée c’est ton cœur que je veux hériter
Tu me manque ma chérie aux Couleur d’amandine
Galanteries et plaisanteries quand je te regarde
T’attendrir le plus possible, te sentir dans mes bras
Je me rappel de nos nuits de charme
Dans ces beaux cousins rouges, on s’étalait chaque soir
Entre la nuit et le soleil je restais planté te regardant corps et âme
Oui ! me tombe dessus le ciel
Lune et soleil se mêle
Merlin ne peut rien y faire
M’endormir dans tes bras à tout jamais ce soir tu es mon soleil
Mon cœur s’éveille puis vite s’éteint car Il Ya que toi dans mon sommeil


stephane

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Par une aquarelle de Tchano

Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui bat d'une aile à dessiner
Qui bat d'une aile à rédiger
Par une aquarelle de Folon
Il vole à moi un vieux cahier
Qui dit les mots d'anciens poètes
Les couleurs d'une boîte à crayons
Il souffle des mots à l'estrade
Où il évente un émoi rose
A bord de ce cahier volant
Les animaux font des discours
Et les mystères vous font la cour
A bord de ce cahier volant
Un âne triste monte au ciel
Un enfant soldat dort la paix
Un enfant poète baille à l'ourse
A bord de ce cahier volant
Vénus éteint la douce brune
Lune et clocher vont bilboquer
L'eau le soleil sont des amants
Les cages aux oiseux sont ouvertes
Les statues font des farandoles
A bord de ce cahier volant
L'hiver soupire le temps passé
La porte est une enluminure
Les croisées des lanternes magiques
Le plafond une aurore polaire
A bord de ce cahier volant
L'enfance revient pousser le temps.
.

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